La DeFi avance grâce à Huobi – La plateforme Huobi ne souhaite pas manquer le train en marche de la finance décentralisée. Pour prendre part à l’écosystème, la plateforme annonce le lancement de Huobi DeFi Labs, axé sur la recherche et le financement d’initiatives DeFi.

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Huobi DeFi Labs : les grandes lignes

La nouvelle a été rendue publique hier lundi 3 août, par le biais d’un communiqué de presse.

Ainsi, la seconde plateforme d’échange en termes de volume a annoncé la création du Huobi DeFi Labs. Cette plateforme sera dédiée à « la recherche, l’investissement, l’incubation » de projets DeFi.

Cette initiative sera menée par Sharlyn Wu, Directeur des Investissements d’Huobi et anciennement Directeur du Pôle Blockchain de la China Merchant Bank International. Ce dernier sera entouré d’une équipe de 4 agents de recherche et d’investissement.

« Il est passionnant de voir la puissance de l’économie sans autorisation se déchaîner à l’échelle mondiale. Cependant, il reste de nombreux problèmes à résoudre sur le plan théorique et technique. », Sharlyn Wu

Un budget de dizaines de millions de dollars

Dans un premier temps, Huobi Group a prévu d’allouer des « dizaines de millions de dollars » à un fonds d’investissement géré par le Huobi DeFi Labs.

Ces fonds seront alloués à 3 principaux domaines :

• La recherche sur les théories et technologies financières sous-jacentes ;
• L’investissement et l’incubation de projets DeFi ;
• La collaboration avec les meilleurs projets DeFi pour servir l’ensemble de l’écosystème.

Ce projet ambitieux pourrait bien faire éclore les protocoles DeFi de demain. Espérons tout de même que l’écosystème actuel bénéficiera bel et bien de l’expertise de Huobi, comme annoncé.

L’article La richesse sans banques – Ce géant veut faire main basse sur la DeFi, à coup de millions de dollars est apparu en premier sur Journal du Coin.

Les bitcoins ne se multiplient pas par magie – Les arnaques se suivent et se ressemblent dans la cryptosphère. Surfant sur les rêves de rendement délirants de ses victimes, un petit malin a cru bon de lancer un fonds d’investissement en bitcoins censé faire de ses membres les investisseurs de légende de demain. Mais tout ne s’est pas déroulé exactement comme annoncé pour ce fonds baptisé sobrement le “Banana Fund”.

La peau de banane

Ce sont les autorités américaines qui ont annoncé la nouvelle : un individu non nommé aurait contrôlé pendant plusieurs années un supposé fonds d’investissement, fonctionnant en réalité comme une vulgaire pyramide de Ponzi.

Se servant des fonds récoltés auprès de ses victimes pour s’amuser en tradant des cryptomonnaies, le margoulin aurait ainsi réussi à amasser 557 bitcoins et 1,73 million de dollars (en USDT). Avec ses gains conséquents, il se serait acheté une maison sous le soleil d’Espagne.

Fin de partie pour le Ponzi

Après une enquête approfondie de l’U.S. Secret Service (USSS), l’homme à l’origine de cette machination a été identifié. CoinDesk s’avance d’ailleurs à faire une hypothèse concernant son identité, estimant qu’il serait britannique et s’appellerait Richard Matthew John O’Neill.

Toujours selon CoinDesk, les autorités américaines seraient sur la piste d’O’Neill depuis le courant de l’année 2019. Ces derniers auraient alors obtenu le gel du compte de trading de l’opérateur du Banana Fund sur Poloniex.

Si peu de détails ont fuité, on sait que le Secret Service aurait réussi à récupérer une bonne partie du butin amassé par le suspect : ce sont ainsi 482 bitcoins et la quasi totalité des dollars tether qui pourraient bientôt être redistribués à leurs propriétaires, selon l’évolution de la procédure.

L’article Bitcoin n’a pas la banane – Les services secrets américains font tomber une énorme pyramide de Ponzi est apparu en premier sur Journal du Coin.

Investir dans Bitcoin plutôt que des actions ? – Les frères jumeaux Winklevoss, fondateurs de la plateforme d’échange Gemini, sont connus pour faire partie des premiers milliardaires grâce à Bitcoin. Cameron Winklevoss continue d’être très bullish sur le roi des cryptos. Il le compare même aux actions des GAFAM au début des années 2000.

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Passer à côté de Bitcoin, l’erreur du siècle ?

Il y a quelques jours, Cameron Winklevoss s’était enthousiasmé par rapport au prochain bull run de Bitcoin, en le décrivant comme sans précédent.

Aujourd’hui, l’investisseur milliardaire insiste à nouveau sur le fait que ne pas miser sue Bitcoin serait, selon lui, une erreur de taille :

« Ne pas posséder de Bitcoin aujourd’hui sera une décision d’investissement encore pire que de ne pas avoir investi dans les actions Apple, Google, Amazon et Microsoft au début des années 2000. »

Not owning #Bitcoin today will be a worse investment decision than not investing in $APPL, $GOOG, $AMZN, and $MSFT in the early 2000's.

— Cameron Winklevoss (@winklevoss) August 1, 2020

En effet, par rapport au précédent marché haussier de Bitcoin et des cryptos en 2017, deux facteurs majeurs se seraient ajoutés pour garantir un futur grand succès au marché des cryptomonnaies :

« Contrairement à 2017, ce début de hausse est mené par Bitcoin en tant que protection contre l’inflation et par le FOMO [peur de rater une occasion d’investissement] sur la DeFi [finance décentralisée] du réseau Ethereum ».

Unlike 2017, this rally is being driven by BOTH #Bitcoin as an inflation hedge and #Ethereum DeFi FOMO.

— Cameron Winklevoss (@winklevoss) August 1, 2020

Une nouvelle génération réellement prête à préférer Bitcoin aux actions ?

Même si quelques sondages ont révélé un intérêt certain de la génération Y (née entre les années 80 et 90) pour investir dans les cryptomonnaies plutôt que dans les actions classiques, c’était nettement moins le cas pour les générations antérieures.

On constate d’ailleurs ce double compromis dans les hausses actuelles, qui sont constantes, aussi bien du côté des actions des grands groupes que de celui des principales cryptos, Bitcoin en tête.

Il faut toutefois noter que, là où Bitcoin semble partir vers son ancien plus haut avec un énorme potentiel devant lui, les actions des GAFAM commencent à tutoyer les cieux depuis un trop longtemps. Or, comme le dit très bien un diction boursier : « Les arbres ne montent jamais jusqu’au ciel. La Bourse est faite du même bois. ».

L’article Bitcoin, l’opportunité d’une vie ? Les rivaux de Zuckerberg sonnent l’alerte est apparu en premier sur Journal du Coin.

Ethereum explose un nouveau record – Le réseau Ethereum a fêté son anniversaire en bonne et due forme. En plus d’avoir dépassé la barre des 400 $ brièvement, il fête les 1 000 milliards de dollars échangés depuis son lancement.

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ETH à 400 $ pour un bref instant

2 jours après son cinquième anniversaire, le cours de l’ETH a brièvement atteint la barre des 400 $.

Ainsi, aux premières lueurs du dimanche 2 août, l’ETH a valu 406 $. Une valeur qui n’avait pas été atteinte depuis août 2018.

En pratique, l’ascension a commencé le 1er août avec un prix d’échange de 354 $ par ETH. Tout au long de la soirée, les marchés ont entraîné le cours à la hausse avec un gain de 15 % en l’espace d’une dizaine d’heures.

Malheureusement, la fête aura été de courte durée. En effet, le cours a perdu 8 % dans l’heure qui a suivi les 400 $, pour ramener le prix de l’ETH à 373 $.

L’ETH a depuis repris du poil de la bête, alors qu’il s’échange à un prix unitaire de 390 $ au moment de la rédaction.

1 000 milliards de dollars échangés depuis la création d’Ethereum

Bien que les 400 $ n’aient été que de courte durée, le réseau Ethereum a tout de même quelques bonnes nouvelles pour se remonter le moral.

Ainsi le 31 juillet, jour anniversaire de la création du réseau, celui-ci a dépassé 1 milliard de dollars échangés depuis sa création, ce qui est un nouveau record.

Comme nous pouvons le voir, la valeur de l’ETH a connu une hausse spectaculaire au début de l’année 2018. Depuis, la valeur a augmenté de manière relativement constante pour finalement atteindre le billion. Notons tout de même qu’une hausse plus affirmée se dessine au cours des derniers mois.

Pendant ce temps, ce sont les mineurs qui se sont frottés les mains. En effet, une corrélation semble exister entre la courbe des échanges et celle des revenus des mineurs.

Une relation de cause à effet semble imaginable, au regard de l’augmentation en parallèle avec frais de transaction sur le réseau. Pour rappel, ces frais sont actuellement distribués aux mineurs, en plus des récompenses de blocs. Plus il y a de frais, plus les revenus sont importants.

Cette situation pourrait cependant changer, avec le déploiement de l’EIP 1559.

Ces données viennent s’ajouter à la liste maintenant longue des records battus par Ethereum récemment. Le réseau semble suscite un intérêt grandissant et le cours de l’ETH pourrait bien continuer à suivre cette tendance.

L’article Ethereum, le réseau qui valait 1 000 milliards $ – L’ETH touche les 400 $ avant de se faire torpiller est apparu en premier sur Journal du Coin.

Les CRO vont remplacer les MCO – Depuis la création de Bitcoin par Satoshi Nakamoto en 2009, de nombreuses cryptomonnaies ont vu le jour, et certaines ont disparu de la circulation. Ce sera bientôt le cas du token MCO, qui sera transformé en token CRO de Crypto.com.

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Adieu, les MCO ! Bonjour, les CRO améliorés !

Dans une annonce faite ce lundi 3 août, la société Crypto.com, bien connue pour ses cartes de débit crypto, explique qu’elle va procéder au swap (l’échange) de ses anciens jetons MCO. Ils seront ainsi convertis en jetons CRO, mais garderont toutes ses anciennes fonctionnalités.

Attention ! L’échange ne sera pas automatique. Les possesseurs de MCO devront effectuer cette conversion avant le 2 novembre 2020.

Dès aujourd’hui, les détenteurs de MCO peuvent les échanger via l’application Crypto.com. Le taux de conversion est fixé à 27,6439 CRO pour 1 MCO.

Passée la date du 2 novembre, les jetons MCO n’auront plus aucune fonction ni utilité dans l’écosystème de Crypto.com. Seuls les CRO existeront, et regrouperont toutes les fonctionnalités des deux jetons actuels.

Quant aux 15,8 millions de MCO détenus par Crypto.com, ils seront purement et simplement détruits par burn, en les envoyant vers une adresse dont personne ne possède les clés privées.

Un bonus de 20%, mais des rangs plus difficiles à atteindre (MIS À JOUR !)

Pour inciter ses utilisateurs à effectuer le swap MCO vers CRO le plus rapidement possible, Crypto.com propose aux plus réactifs d’entre eux un bonus de 20 % sur le taux de conversion.

Ainsi, tous les détenteurs de MCO qui procéderont à l’échange avant le 2 septembre recevront un total de 33,1726 CRO pour 1 MCO. Crypto.com précise que les MCO peuvent être échangés même s’ils sont actuellement stakés (mis en jeu).

Par contre, comme le signale Larry Cermak de The Block sur Twitter, les différents paliers pour les cartes de débit cryptos seront bien plus difficiles à atteindre. En effet, là où il fallait 50 MCO pour atteindre le premier rang (Rubis), il faudra désormais 5 000 CRO, et ainsi de suite pour chaque palier. Avec un swap qui donnera seulement 1382 CRO pour 50 MCO (éventuellement 1658 CRO avec le bonus de 20 %), les niveaux de cartes seront au moins 3 fois plus onéreux à obtenir. (OBSOLETE)

Une réaction rapide

Il n’aura pas fallu beaucoup de temps à crypto.com pour mettre à jour les tarifs d’accès pour ces fameuses cartes. La carte Ruby nécessitera le stacking de 1000 CRO ce qui revient donc à moins cher que 50 MCO ! Clairement sur ce coup, l’entreprise hongkongaise a été à l’écoute de sa communauté.

New CRO staking tiers for Visa cards: https://t.co/YgkUvXIoqo pic.twitter.com/4pNifs7tz8

— Crypto.com (@cryptocom) August 4, 2020

Autre petit souci : seule l’application Crypto.com permet de procéder au swap. Si vous possédez vos MCO dans un wallet privé ou sur une plateforme d’échange, il faudra obligatoirement les transférer vers l’application.

À ce sujet, attention aux arnaques ! Les tentatives de hameçonnage ou les fausses applications risquent de fleurir, donc assurez-vous de faire le transfert vers l’application légitime de Crypto.com.

Cette simplification de l’écosystème de Crypto.com vers un seul token unifié semble une bonne chose. On notera toutefois que, même avec le généreux bonus proposé, les différents niveaux de cartes de débit crypto vont être bien plus chers à acquérir.

L’article Cette cryptomonnaie historique va disparaître, et vous ne pourrez rien y faire est apparu en premier sur Journal du Coin.

Dans la vidéo du jour, Alex de Block Interview vous explique les bases de la finance décentralisée et de son écosystème en perpétuelle mutation !

L’article Des prêts sans banque, des taux record – L’épargne à l’heure de la finance décentralisée est apparu en premier sur Journal du Coin.

Dans son rapport du deuxième trimestre 2020, MoneyGram annonce avoir récolté 15,1 millions de dollars de la part de la firme Ripple. Cette prime est versée en XRP via la plateforme On-Demand Liquidity (ODL).

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Ripple a déjà investi 50 millions de dollars dans MoneyGram. Depuis le partenariat conclu entre les deux entreprises en 2019, MoneyGram utilise la plateforme ODL. Cette couche du réseau permet d’effectuer des paiements transfrontaliers en XRP.

Selon le géant américain des transferts de fonds internationaux, la récompense versée par Ripple correspond à des « frais de développement du marché ». Le montant varie en fonction du volume généré par MoneyGram.

Lors du premier trimestre 2020, MoneyGram a reçu 16,6 millions de dollars en XRP. Pour le second semestre 2019, il s’agissait de 11,3 millions de dollars. En tout, MoneyGram a reçu, depuis le début de l’année 2020, 31,3 millions de dollars de récompenses en XRP. Les récompenses totales attribuées par Ripple à MoneyGram s’élèvent donc à 43 millions de dollars. Cet argent est destiné à abreuver la plateforme ODL de liquidités.

C’est une bonne opération pour MoneyGram. L’entreprise de transfert de fonds annonce avoir réalisé un bénéfice de 8,8 millions de dollars sur le deuxième trimestre seul 2020.

L’article Le mal-aimé de la cryptomonnaie – Ripple verse 15,1 millions de dollars à MoneyGram est apparu en premier sur Journal du Coin.

Bitcoin fait de nouveau l’objet d’une rançon – Un voyagiste américain, connu sous le nom de CWT, vient de payer une rançon de 414 bitcoins cette semaine, après s’être vu subtiliser 2 To de données.

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Le ransomware Ragnar a encore frappé. Après avoir été introduit dans le système informatique de CWT, ce sont les données financières, stratégiques et RH de l’entreprise qui ont été chiffrées et rendues inaccessibles.

« Nous confirmons qu’après avoir interrompu temporairement notre système informatique, l’incident est clos et nous sommes de retour en ligne. » Annonce de CWT

Sous peine de voir les informations subtilisées être détruites, l’entreprise a du céder au chantage et payer la somme de 4,5 millions de dollars en bitcoin à une équipe de hackers encore non identifiée.

Selon Reuters, la demande des pirates s’élevait à l’origine à 10 millions de dollars en Bitcoin. Cependant, crise du Covid-19 oblige, l’entreprise n’a pas été en mesure de payer une telle somme. Les hackers ont donc dû revoir leur demande à la baise à cause de la crise économique actuelle.

La récurrence des ransomwares menace sérieusement l’équilibre des entreprises ayant une approche centralisée de la gestion de données. Entre 2013 et 2017, c’est l’équivalent de 22 967 bitcoins qui ont été obtenus à des fins malveillantes.

Après l’attaque de Twitter, qui a placé bitcoin au centre de l’attention, c’est le cas de CWT qui vient ternir un peu plus l’image de l’or numérique. Malgré cette image galvaudée, la crypto de Satoshi Nakamoto ne cesse d’attirer les investissements et pourrait vivre, selon les observateurs, un nouveau bullrun historique dans les mois à venir.

L’article Données personnelles prises en otage – CWT doit payer la rançon en bitcoin est apparu en premier sur Journal du Coin.

Une V2 qui voit enfin le jour – Bancor est un projet d’échanges décentralisés présent dans la cryptosphère depuis 2017. C’est dans un climat plutôt favorable, pour les DEX, que Bancor annonce la sortie de la version 2 de son protocole.

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Bancor V2

Ça y est ! Annoncée en avril dernier, la mise à jour du protocole Bancor vient d’être publiée sur le mainnet d’Ethereum.

#BancorV2 Launcheshttps://t.co/UzU35NZTOg

— Bancor (@Bancor) July 31, 2020

À travers cette nouvelle version, Bancor tente de résoudre certains problèmes inhérents aux protocoles d’échanges décentralisés.

Ainsi, Bancor met en avant 3 fonctionnalités principales, parmi les évolutions qu’apporte la V2 :

• L’exposition à un seul jeton ;
• L’atténuation des pertes permanentes ;
• L’amplification de la liquidité par 20.

L’exposition à un seul jeton

Dans un premier temps, les pools de liquidités de Bancor V2 diffèrent des autres DEX, car elles n’autorisent l’exposition qu’à un seul jeton.

En d’autres termes, sur une pool ETH/DAI, les fournisseurs de liquidités devront fournir, soit de l’ETH, soit du DAI, mais pas les deux. Cette méthode s’oppose à des protocoles, comme Uniswap, qui obligent l’utilisateur à fournir des liquidités sur les deux actifs de la paire.

L’atténuation des pertes permanentes

Dans le cas des DEX à liquidity pool classiques, l’apport d’un utilisateur est calculé en pourcentage des fonds de la pool détenus. Ainsi, si un utilisateur ajoute 1 ETH et 380 DAI à la pool ETH/DAI d’Uniswap, les balances de chacun des actifs évoluent dans le temps. S’il souhaite faire un retrait, il retirera la valeur initiale, mais pas forcément les jetons dans les quantités qu’il a déposés initialement.

Ceci arrive lorsque l’un des deux actifs de la paire voit son cours augmenter, sans que le protocole ne le mette à jour. De ce fait, il y a toujours la même valeur de chaque côté de la balance, alors qu’en réalité, l’un des deux actifs a vu sa valeur augmenter. En pratique, des acteurs profitent de ce mécanisme pour faire de l’arbitrage au profit des fournisseurs de liquidité.

Avec Bancor V2, ces « pertes permanentes » sont mitigées. Comme l’explique l’annonce :

« Tous les fournisseurs de liquidités faisant partie de la pool devraient pouvoir retirer le même montant que celui qu’elles ont mis en jeu, plus une part des frais que le pool a gagné pendant leur période de mise en jeu. »

Pour ce faire, le protocole recalcule dynamiquement la part de chacun des actifs, pour que la valeur de chaque côté de la balance soit toujours égale.

L’amplification de la liquidité

Les différentes améliorations que nous venons de voir ont permis à Bancor de mettre en place un concept novateur : l’amplification de la liquidité.

Celui-ci permet à la pool de se comporter comme si elle disposait de 20 fois plus de liquidités. Ainsi, lors de swaps, ceci permet de drastiquement diminuer le slippage (différence entre le prix réel d’un actif et le résultat d’un swap).

Un lancement en bêta

Ce lancement de Bancor V2 reste cependant une version bêta. Ainsi, la plateforme a fait le choix de mettre en place un plafond concernant les liquidités. De ce fait, les pools pourront réunir un maximum d’1 million de dollars en liquidité (500 000 dollars de chaque jeton).

« Une fois que le plafond de liquidités d’un pool est atteint, plus aucun fournisseur de liquidités ne peut rejoindre le pool jusqu’à ce que le plafond soit supprimé. » Annonce de Bancor V2

En outre, d’autres fonctionnalités devraient arriver dans les jours et semaines à venir. Cela inclurait des statistiques concernant les pools ainsi que leurs rendements.

L’article Débarrassés des banques ! – Taux d’intérêts hallucinants, finance libre : Bancor lance sa V2 ! est apparu en premier sur Journal du Coin.

Accrochez vos ceintures ! – Après plusieurs mois de calme plat, les cours de Bitcoin nous font subir de véritables montagnes russes ces derniers jours. Après une phase très haussière qui a explosé la barrière des 10 000 dollars, le BTC a franchi les 11 000 dollars dans la foulée, avant de nous faire un “aller-retour” impressionnant de 12 000 à 10 500 dollars.

Il faut avoir le cœur bien accroché avec Bitcoin

Si vous naviguez dans les eaux houleuses de la cryptosphère depuis un certain temps, vous êtes peut-être habité aux “lames de fond” qui viennent de temps en temps submerger les cours de Bitcoin (BTC).

C’est exactement ce qui vient de se produire ce dimanche 2 août. Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessous, du cours de Bitcoin contre le dollar américain, le roi des cryptos a joué avec nos nerfs. Après avoir brièvement atteint les 12 100 dollars, le cours du BTC s’est effondré aussi bas que 10 550 dollars. Bitcoin a fait cette chute de plus de 1 500 dollars en moins de 30 minutes.

Une hécatombe de près d’un milliard de $ de positions acheteuses

Du côté du marché des contrats à termes (futures) sur les cryptomonnaies, ce 2 août a été un véritable bain de sang.

Alors que le 27 juillet a été une journée de bear trap (piège à baissiers) sur Bitcoin, ce dimanche a été l’exact inverse : un immense bull trap (piège à haussiers). Selon le site Coinalyze, plus de 954 millions de dollars de positions acheteuses ont été liquidées, à travers les 8 principales plateformes d’échanges proposant des futures de cryptos.

Quand on regarde dans le détail, la liquidation des contrats à terme sur Bitcoin constitue à elle seule 549 millions de dollars sur ce montant (57,5%). Les baleines (les gros investisseurs) ont dû vouloir violemment faucher les stop loss (limite de perte) des petits poissons, entraînant cette cascade de liquidations et cette chute vertigineuse.

Pas de panique ou de pessimisme excessif toutefois : pour l’instant, le cours du BTC reste solidement ancré au-dessus d’un support situé entre 10 500 et 11 000 dollars. Si l’on observe les mouvements de prix sur les dix derniers jours, Bitcoin reste clairement haussier au stade actuel.

Avec les cryptomonnaies, il faut se préparer à vivre de véritables ascenseurs émotionnels. Cette nouvelle classe d’actifs, avec relativement peu de liquidités, peut rapidement connaître d’importants mouvements de prix, aussi bien à la hausse qu’à la baisse. Tout investisseur souhaitant évoluer (et survivre) dans la cryptosphère doit garder cela en tête.

L’article Week-end de l’enfer pour Bitcoin – Une envolée… et un effondrement de 1500$ en quelques minutes ! est apparu en premier sur Journal du Coin.

Les placements financiers classiques n’ont plus la côte – La crise liée au Covid-19 crée la crainte d’une dépréciation monétaire. Les citoyens sont à la recherche de meilleurs rendements financiers, et Bitcoin semble devenir une option plus que crédible.

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Changement d’horizon

Dans son dernier article, la rédaction de Bloomberg met en scène Brian Harrington, 28 ans, désemparé face à l’annonce d’une nouvelle baisse des rendements annuels générés via son compte courant. Passant de 2 à 1,03 %, le jeune Américain est obligé de réagir et entame ce qu’il conçoit comme une « chasse aux rendements attractifs ».

Après avoir longuement considéré les cryptomonnaies, l’or ainsi que la bourse, il veut, dans les semaines à venir, placer 15 000 $ de son épargne personnelle dans Bitcoin.

En effet, malgré le crash subi par l’or numérique en mars 2020, ses performances ont de quoi faire pâlir les investisseurs les plus aguerris, avec une appréciation de l’ordre de 70 %, dépassant de loin les performances du S&P 500 et de l’or.

Le dollar au centre des préoccupations

Dans un environnement macro-économique instable, cette recherche de nouveaux rendements attractifs n’est pas motivée par l’avidité, mais plutôt par la crainte de voir son épargne réduite à néant par une inflation sans précédent.

Rares sont les citoyens qui comprennent les enjeux des politiques monétaires mises en place par les banques centrales. Toutefois, la dévaluation du dollar devient le deuxième stimulus économique, qui fera permettra aux Américains d’obtenir un chèque de 1200 dollars.

En effet, même si le qualificatif de dévaluation monétaire paraît exagéré, les faits, quant à eux, sont bien réels : c’est la pire performance du dollar depuis 10 ans.

Bien loin de nous la théorie d’une course aux dollars, aspirant les économies émergentes dans son sillon et faisant vaciller euro et autres monnaies fiat. La politique économique de la FED et son injection massive de liquidités a fortement remis en cause la suprématie américaine. Les souhaits d’émancipation asiatiques initiés par la Chine ainsi qu’une chute historique du PIB de 32 % font craindre le pire aux citoyens d’outre-Manche.

Si les perspectives économiques ont de quoi effrayer, les alternatives sont bel et bien réelles et prêtes à accueillir les personnes déçues des politiques monétaires étatiques. Comme le rallye de Bitcoin en 2017 a été entraîné par la spéculation, certains observateurs estiment que le prochain sera, cette fois-ci, provoqué par la peur.

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Banzai – C’est le Nikkei qui nous l’apprend : la contre-offensive monétaire vient d’arrivée, et elle est pourrait bien faire oeuvre de destruction créatrice. Pour contrecarrer les plans de Libra, la cryptomonnaie de Facebook, une coalition asiatique soutenue par la Chine serait sous le point d’être levée.

La Chine sonne la révolte

Après la DCEP, le gouvernement chinois est sur tous les fronts pour enrayer l’hégémonie du dollar et prendre à revers les projets privés tels que Libra. Bien décidé à faire de l’Asie “le pôle économique du 21e siècle”, le gouvernement chinois serait en train d’encourager une initiative monétaire régionale, rassemblant Japon, Corée du Sud et Hong Kong.

A l’image de Libra et de son projet originel, ayant pour caractéristique d’être liée à plusieurs devises internationales, la nouvelle monnaie panasiatique se verrait adossée au yuan chinois, yen japonais, won coréen et au Hong Kong dollars.

Inutile de préciser que si cette initiative venait à voir le jour, les procédures de libre échange commerciaux entre les participants n’en seraient que facilitées. Cette nouvelle zone constituerait le premier pôle économique d’ampleur, totalement affranchie du dollars.

Matthew Graham, CEO de Sino Global Capital nous livre lui aussi, une analyse concordante:

“Cette nouvelle monnaie, à notre avis, ajoute de la crédibilité à la thèse que la première ambition de Pékin est de contrer l’hégémonie du dollar. De telles initiatives risquent de se multiplier dans les mois à venir, et elles seront accueillies à bras ouvert par le gouvernement chinois”

Des dissensions politiques trop fortes pour une option monétaire commune ?

La connaissance du passé régional nous invite à rester précautionneux tant les divergences et dissensions historiques demeurent présentes.

Selon le Nikkei, les puissances asiatiques seraient prêtes à considérer cette option monétaire commune. En effet, après son exclusion du consortium Libra, le Japon travaille d’arrache-pied sur une nouvelle monnaie numérique. Cependant, le pays ne semble pas en mesure d’assurer la diffusion conséquente de cette nouvelle devise et craint d’être entraîné dans une spirale isolationniste.

Partagé entre nouvel ordre économique et géopolitique, il se pourrait que le Japon ferme les yeux sur un passé régional houleux, et se rapproche économiquement de ses voisins.

Selon David Birch, l’auteur de The Currency Cold War: Cash and Cryptography, Hash Rates and Hegemony, le futur monétaire est en train de se jouer sous nos yeux.

“La course monétaire est similaire à celle de l’espace, mais pour l’argent, le système tel que nous le connaissons touche à sa fin. Ceci est loin d’être une prédiction folle, et ce qui arrive après se résume au choix entre: un affrontement entre la sphère publique et privée, un affrontement entre l’est et l’Ouest, ou global contre local”

Nul doute que le gouvernement américain et l’occident doivent observer cette situation avec grande attention. L’impact économique et géopolitique d’une telle initiative pourrait à jamais, modifier les échanges internationaux. 

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Sweet spot ? – Bienvenue dans cette analyse quotidienne qui fait le point sur l’évolution du prix d’Ethereum, ou plutôt de sa crypto native, l’ether.

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Ethereum à plus de 230 $

Nous en parlions hier : la paire ETHUSD était confrontée à 2 scénarios cohérents, mais malheureusement opposés. Hier le marché s’est envolé, dessinant des queues de kangourou sur 99% des actifs.

Le marché semble donc avoir choisi la voie, et nous partons au Nord.

Ethereum : les jeux sont faits ?

La question peut se poser. Le scénario qui s’est déroulé hier sur Ethereum a tous les traits d’un piège baissier : du volume, le franchissement significatifs de niveaux très importants…. suivis d’une aspiration inverse qui clôture sur un pattern de bougie bullish. Le train pourrait déjà être parti.

Et bien non. Ethereum consolide toujours en journalier, et la kangaroo tail ne s’est pas encore complètement réalisée sur cette unité de temps. Le marché n’est donc pas encore ébullition, et nous vivons peut-être encore, que de simples frémissements.

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PS : la queue de Kangourou d’Ethereum est de 6,7%

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Kangaroo tail… ? – Bienvenue dans cette nouvelle analyse quotidienne qui fait le point sur l’évolution du prix de Bitcoin.

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Bitcoin fait frissonner les acheteurs

La journée d’hier fut passionnée sur les places de marchés des cryptomonnaies. Bitcoin a très mal démarré la journée, avec une baisse significative jusqu’au support des 9 000 $, le franchissant même pour atteindre 8 900 $. La MM50 était aussi challengé.

Sur le marché, c’était le grand frisson…

Les haussiers ne se sont cependant pas laissé faire et ont répondu présent. La bougie journalière est impressionnante, mais le match s’est joué en réalité en 4h qui prévenait les baissiers.

Bitcoin a-t-il une queue de Kangourou ?

Riez spéculateurs, mais cela n’en est pas moins profitable. Une “queue de kangourou” ou Kangaroo tail pour les puristes anglophones est un pattern avec grosso modo 2 facteurs :

• Un pattern de bougie : une bougie +/- directionnelle baissière, suivie d’une PinBar, suivie d’une bougie directionnelle +/- haussière
• Une divergence d’un oscillateur (le RSI normalement)

Et là bingo : on pourrait en lire en intraday, mais l’opportunité serait déjà passée et moins propre. Ici, nous avons une belle opportunité qui sera confirmée ou infirmée cette nuit :

Bitcoin a-t-il la plus grosse du marché ?

Cette question semble triviale et pourtant, elle est tout à fait pertinente. Une stratégie pourrait être de mesurer l’amplitude de toutes les queues du marché pour déterminer les actifs les plus volatils.

Un petit insight : en moyenne, la bougie journalière d’hier a clôturé à +7,3% entre son plus haut et son plus bas.

Attention néanmoins : le principe de la volatilité est qu’elle agit dans les deux sens. De plus, il y a une relation inverse entre la taille de la queue et la taille de votre position : plus votre queue est longue, plus votre stop sera éloigné, et donc votre position petite.

Faut-il acheter de l’Ethereum (ETH) aujourd’hui ? »

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Goldman Sachs a encore récemment fait démonstration de son hostilité envers Bitcoin, mais JPMorgan – l’autre méga-banque internationale – semble avoir retourné sa veste pour de bon. La bonne tenue du cours prouverait qu’il est une classe d’actif « mâture ».

Bitcoin réussit haut la main son stress test de crise financière

La multinationale bancaire JPMorgan Chase & Co a fait un sacré chemin depuis que son PDG, Jamie Dimon, avait qualifié Bitcoin de « fraude ». Déjà, courant mai, on apprenait que JPMorgan acceptait les plateformes d’échange Coinbase et Gemini comme clients.

Et dans un rapport récent révélé par Bloomberg, JPMorgan va même jusqu’à dire que le comportement de Bitcoin a été « majoritairement positif » suite aux krachs de la mi-mars sur l’ensemble des marchés.

Dans ce rapport intitulé « La cryptomonnaie passe son premier stress test : or numérique, pyrite, ou quelque chose entre les deux » les experts de JPMorgan analysent les variations de cours de Bitcoin, et les comparent avec d’autres classes d’actifs.

Ainsi, même au pire moment de la panique liée à la pandémie du COVID-19, sa valorisation en dollars n’est que brièvement passé en dessous de ses coûts de production.

Bitcoin : plus une « action » que de « l’or » ?

La bonne réaction de Bitcoin, et des cryptomonnaies en général, font dire aux analystes de JPMorgan que cela leur assure une certaine « longévité en tant que classe d’actifs ».

Toutefois, leurs mouvements de prix semblent indiquer que les cryptoactifs continuent d’être « utilisés davantage comme un véhicule de spéculation que comme un moyen d’échange ou une réserve de valeur. »

Cela reste cependant à relativiser avec d’autres classes d’actifs. Ainsi, bien que Bitcoin ait connu une forte baisse de liquidité au plus fort de la crise, cette liquidité s’est rétablie tout aussi vite.

Toutes ces bonnes performances de Bitcoin en 2020 font dire aux experts de la JPMorgan que cela démontre la croissance et la maturation du marché.

Tous les voyants semblent au vert pour l’avenir proche de Bitcoin. En plus du sursaut d’intérêt des investisseurs institutionnels pour les cryptos, même de très grandes banques – jusqu’ici réfractaires – admettent désormais le potentiel de Bitcoin.

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On remet les gants et on y retourne : bienvenue pour une nouvelle analyse du marché des cryptomonnaies dans son ensemble. Ici, nous prenons de la hauteur, et nous nous dotons d’un œil d’aigle en cherchant à répondre à quelques questions simples : le marché monte-il ou descend-il ? Comment circulent les flux de capitaux au sein du marché ? Où va l’argent ?

Comment se comporte le marché des cryptomonnaies ?

De toute évidence :

• A long terme, il monte ;
• A moyen terme, il stagne…
• A court terme, il monte !

Le seul scénario qui selon nous mérite d’être envisagé est de chercher des achats sur une cryptomonnaie cotée en USD, ou de rester en dehors du marché.

L’idée si l’on est actif serait donc se positionner sur les plus belles configurations avec une gestion du risque court-termiste. Si le marché est avec nous, nous prendrons une tendance de moyen terme qui repasserait haussière. Si cela stagne à moyen terme ou que la tendance se retourne, nous serons chassés du marché.

Où va l’argent dans les cryptomonnaies ?

Nous savons donc que nous sommes prêts à entrer sur le marché s’il y a des opportunités. Continuons à dérouler la procédure nous menant à un achat.

Bitcoin ou les altcoins ?

Certaines périodes ont démontré qu’il valait mieux acheter du Bitcoin, et retourner se coucher. D’autres ont montré l’inverse, et ce fut notamment le cas de la période haussière qui a précédée le coronavirus. Est-ce toujours le cas ?

Ce graphique répond à la question :

Rappel : tout ce qui se situe en dessous du trait noir sous-performe le marché. A l’inverse, ce qui se situe au-dessus sur-performe le marché.

À court terme, les altcoins ont sur-performé Bitcoin (fenêtre graphique de 15 jours). À très court terme en revanche, nous pourrions avoir un changement qu’il s’agira de surveiller. Ce changement impliquerait que Bitcoin prendrait la main et deviendrait l’actif le plus fort du marché.

Quelle altcoin ?

Maintenant que nous savons que sur les 15 derniers jours, les altcoins ont sur-performé le marché comparativement à Bitcoin, nous allons creuser le sujet en cherchant à savoir où mettre le nez : faibles capitalisations ? Fortes capitalisations ? Au milieu ? Où est-ce que l’on doit tirer ? 🎯

Ce graphique ne laisse pas non plus de doutes sur le sujet : il faut aller trifouiller dans les faibles capitalisations. Depuis l’ATH de la capitalisation du marché (lorsque Bitcoin est venu taper les 10 500$) :

• Les low capitalisations ont gagné 10%
• Les mid capitalisations ont gagné… 0%
• Les big capitalisations ont perdu 3,3%

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Conclusion crypto trading #25 : rechercher des achats sur les faibles capitalisations

La conclusion est donc la même que la semaine dernière : nous continuons de rechercher des achats sur les cryptomonnaies à faible capitalisation. Les principales capitalisations continuent de perdre la main, même si nous avons vu ce matin qu’Ethereum pouvait être une opportunité intéressante.

Egalement, l’indice des faibles capitalisations présente un avantage certain : on peut l’acheter directement sur la plateforme FTX exchange.

Il pourrait être pertinent d’aller chercher en plus des positions sur quelques crypto-pépites, d’acheter quelques contrats de cet indice.

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Les smart contracts ont été une révolution pour l’ensemble de l’industrie crypto. Suite à Ethereum, d’autres projets ont souhaité faire de même, comme EOS, Steem, Tron ou Cardano. Malheureusement pour eux, aucun de ces “Ethereum-killer” n’arrive a rivaliser.

Ethereum représente 82% des Dapps

Dans son dernier developper repport en date, l’entreprise Outlier Ventures a analysé l’ensemble des protocoles à smart contract sur les 12 derniers mois, pour comparer leur activité en termes de développement et d’utilisateurs.

Les résultats présentés placent Ethereum à la première place, que ce soit en nombre de smart contracts ou d’applications décentralisées (Dapps). En effet, le réseau héberge 78,9% des smart contracts et 82,1% de l’ensemble des Dapps. Nous retrouvons EOS a la seconde place avec 9% des smart contracts et Dapps, suivi de Steem avec 3% des smart contracts et 2% des Dapps.

C’est également Ethereum qui arrive en première place en nombre d’utilisateurs journaliers, avec 32 000 utilisateurs quotidiens contre moins de 15 000 pour EOS que nous retrouvons à la seconde place.

Il n’aura fallu que quelques mois à la blockchain Klaytn, lancée en 2019, pour atteindre le top 5, que se soit en nombre de contrats qu’en termes d’utilisateurs journaliers.

Polkadot au cœur d’un développement actif

Comme nous l’avons vu précédemment, le rapport traite également du développement de chacun des protocoles.

Alors que certains protocoles comme EOS ou Bitcoin Cash ont été témoins d’un important déclin de leur activité de développement, avec des baisses respectives de 85% et 62% de l’activité, d’autres progressent.

Les deux concurrents Polkadot et Cosmos ont tous deux connu une hausse respective de 44% et 15% de l’activité de développement. La blockchain Polkadot qui a récemment déployé son mainnet a vu le nombre de développeurs ayant participé au projet passer de 80 a plus de 110.

La concurrence dans les blockchains continue de faire rage. Jusqu’à présent, Ethereum a su conserver sa place de reine des blockchains à smart contracts. Cependant, des projets comme Polkadot ou Cardano pourraient bien la rattraper.

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Mi-figue, mi-raisin – Bienvenue dans cette analyse quotidienne qui fait le point sur l’évolution du prix de Bitcoin.

Bitcoin en hebdomadaire

En hebdomadaire, Bitcoin tergiverse sous les 10 000 dollars depuis maintenant une grosse quarantaine de jours.

A noter que la clôture s’est faite sur une hésitation très similaire à la précédente, à une différence près. il y a quinze jours, nous nous se dirigions vers les 10 000 dollars alors que la semaine dernière, nous avons plutôt fait demi-tour.

Les niveaux-clé hebdomadaires sont situés à 8 000 et 10 000 dollars.

Le cours du BTC en journalier

En journalier, Bitcoin a déjà démarré en trombe – plus de 4,5% séparent le plus haut et le plus bas du jour et, spoiler : ça pointe en bas.

Les 9 000 dollars sont pour le moment défendus par les haussiers, et il le faut. Le franchissement de ce niveau pourrait annoncer une correction qui dure, voire un retournement de marché.

En plus de la structure de marché qui tend vers le baissier (structure soulignée en bleu), certains pivots dynamiques importants (MM50, EMA50) ont déjà été traversés aujourd’hui.

La clôture donnera des informations très pertinentes, qui plus est pour ouvrir la semaine.

L’article Bitcoin lundi 15 juin : le fil du rasoir des 9 000 $ est apparu en premier sur Journal du Coin.

L’écosystème DeFi continue de se développer sur Ethereum. Aave fait parti des protocoles avec la croissance la plus impressionnante depuis le début de l’année 2020. Ce dernier vient de dépasser les 100 millions de dollars.

Aave, un protocole de lending décentralisé sur Ethereum

Aave est un protocole d’emprunt et d’épargne décentralisé lancé en janvier 2020. Ainsi, deux types d’utilisateurs sont mis en relation :

• Épargnants, déposent des fonds pour générer un intérêt dessus.
• Emprunteurs, empruntent des fonds contre un intérêt.

En plus des prêts par sur-collatéralisation, que nous retrouvons également chez MakerDAO et Compound, Aave introduit le flash loan.

Un flash loan est un emprunt dont la durée de vie est restreinte à une transaction. Ainsi, un utilisateur peut emprunter des fonds, les utiliser et les rembourser au sein d’une unique transaction sur Ethereum.

Aave dépasse les 100 millions

En fin de semaine dernière, le protocole a passé un jalon historique avec le franchissement de la barre des 100 millions de dollars impliqués dans le protocole.

We've officially reached the $100M market size milestone! 🥂🎊🎉

Much ❤️ to the Aave & DeFi Fam. We could not have done this without all of your feedback and support!

Data credits to @defipulse 🙏

🔊sound on pic.twitter.com/v4UXQKpFue

— Aave (@AaveAave) June 10, 2020

Cela positionne Aave à la quatrième place des protocoles DeFi en termes de fonds bloqués, derrière Maker, Synthetix et Compound. Une situation qui ravit Stani Kulechov, CEO d’Aave :

« Le fait que le marché ait atteint une taille de 100 millions de dollars quelques mois après le lancement confirme que la finance décentralisée est de plus en plus populaire et qu’il est plus facile d’interagir avec elle. », Stani Kulechov.

La récompense de l’innovation

La croissance du protocole n’a rien d’anodin. En effet, Aave ne fait que récolter la gloire de son innovation.

Depuis son lancement, Aave essaye de se démarquer de ses concurrents en proposant des fonctionnalités uniques et innovantes. Nous avons d’ores et déjà abordé les flash loans, mais l’innovation ne s’arrête pas là.

À la fin du mois de mai, Aave annonçait l’ajout des Uniswap Liquidity Tokens comme collatéral lors d’un prêt. Pour faire simple, lorsqu’un utilisateur dépose des fonds sur les pools de liquidité Uniswap, il reçoit des jetons Uniswap. Ce sont ces jetons qui sont désormais utilisables pour effectuer un prêt.

Cette méthode est innovante, car elle permet de contracter un prêt tout en restant exposé aux frais générés par Uniswap.

Aave est disponible sur le wallet Argent (voir notre tutoriel vidéo).

Cette croissance pourrait bien continuer dans les semaines ou mois à venir, notamment avec l’ajout probable du jeton de gouvernance du protocole (LEND) sur Coinbase.

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