Cinq ans jour pour jour aprĂšs la fondation de Blockchain Partner (15/03/2016), les Ă©quipes dirigĂ©es par Claire Balva, PrĂ©sidente, Alexandre Stachtchenko, Directeur GĂ©nĂ©ral et Maxime Hagenbourger, Directeur technique, rejoignent les Ă©quipes de KPMG France pour former la rĂ©fĂ©rence du conseil blockchain et crypto-actifs. En cinq ans, le marchĂ© des blockchains et cryptomonnaies a considĂ©rablement Ă©voluĂ© : aprĂšs une large phase de dĂ©couverte et dâexpĂ©rimentations par les organisations, les projets impliquant des briques âblockchainâ nĂ©cessitent de plus en plus dâexpertises sectorielles pointues dans les divers domaines oĂč ces innovations se dĂ©veloppent (finance, assurance, industrie, distribution, immobilier, etc.). Nos clients sont de plus en plus demandeurs dâaccompagnement en droit, fiscalitĂ© et gestion des risques tout au long de leurs projets. De façon logique, Ă mesure que les usages des blockchains se dĂ©ploient et que les cryptomonnaies se font une place au sein des entreprises, la palette des compĂ©tences recherchĂ©es sâĂ©largit. Pour pouvoir rĂ©pondre au mieux Ă ces besoins, nous avons dĂ©cidĂ© de nous allier Ă KPMG France, leader de lâaudit et du conseil. Cette intĂ©gration nous permet en effet dâenrichir considĂ©rablement notre offre de services. Les expertises sectorielles sur lesquelles sâappuie KPMG France seront prĂ©cieuses pour accĂ©lĂ©rer le dĂ©ploiement de ces technologies dans les logiques « mĂ©tiers », au plus prĂšs des besoins existants des organisations. Par ailleurs, KPMG France dispose dâune expertise juridique et fiscale largement reconnue, qui profitera Ă nos clients existants et Ă venir. Au-delĂ de nos complĂ©mentaritĂ©s dâexpertises, nous partageons avec KPMG France une vision commune de lâĂ©volution de ce marchĂ©, qui nâen est quâĂ ses dĂ©buts. La crypto-Ă©conomie, dont les usages restent encore Ă©mergents mais en forte croissance, constitue une vague dâinnovations de grande ampleur qui rebat les cartes de lâĂ©conomie numĂ©rique et ouvre la voie Ă de multiples opportunitĂ©s. |
Podcast Ichimoku RĂ©pondre Ă Â une Interview c'est gratifiant et agrĂ©able, mais quand la demande Ă©mane de quelqu'un que l'on apprĂ©cie et dont on admire le travail alors ça devient un vrai bonheur. J'ai eu rĂ©cemment la chance d'ĂȘtre interviewĂ© par le trĂšs talentueux et sympathique Tradosaure dans le cadre de sa sĂ©rie Podcasts avec ...
Claire Balva, CEO de Blockchain Partner, a publiĂ© dans le magazine Revue Banque une tribune sur les Monnaies Digitales de Banque Centrale.Â
Morceaux choisis :
« Face au succĂšs grandissant des cryptoactifs, les banques centrales se positionnent. Elles souhaitent utiliser une âblockchainâ, mais sans toutefois basculer dans la âcryptoâ.Â
En rĂ©alitĂ©, une blockchain est philosophiquement incompatible avec un acteur tel quâune banque centrale : ce protocole se caractĂ©rise par une forte dĂ©centralisation. Il ne peut donc ĂȘtre contrĂŽlĂ© par un acteur unique. Câest le cas des blockchains publiques en particulier : chacun peut librement accĂ©der au registre, et participer au rĂ©seau. Le bitcoin fonctionne selon ce principe. Une banque centrale, si elle crĂ©ait une blockchain publique pour gĂ©rer sa monnaie, perdrait de facto son pouvoir de crĂ©ation et de gestion monĂ©taire.Â
Les projets de MDBC privilĂ©gient ainsi naturellement les blockchains dites âprivĂ©esâ. Câest le cas de la Banque de France qui, dans ses rapports âMonnaie digitale de banque centrale : une, deux ou aucune ?â et âLa monnaie digitale de banque centraleâ ainsi que dans ses expĂ©rimentations menĂ©es depuis 2020, envisage lâutilisation dâune blockchain privĂ©e pour une MDBC âde grosâ et non âde dĂ©tailâ. »
[âŠ]
« Finalement, une MDBC, telle quâelle est envisagĂ©e aujourdâhui en Europe et en France, concurrencera probablement plus lâĂ©cosystĂšme traditionnel (utilisant de lâeuro) que lâĂ©cosystĂšme des cryptoactifs. Cela nâest pas nĂ©cessairement un problĂšme: lâobjectif principal derriĂšre la crĂ©ation dâune MDBC est dâapporter plus de compĂ©titivitĂ© aux banques centrales, en particulier Ă lâĂšre de la digitalisation.Â
Mais cela montre surtout que lâEurope se trompe de combat. A vouloir rendre la banque centrale compĂ©titive, elle en oublie une autre rĂ©alitĂ© : une MDBC ne suffira pas Ă rendre lâeuro lui-mĂȘme compĂ©titif dans le nouvel environnement technologique des cryptoactifs. «Â
[âŠ]
« Ce point est dâautant plus critique que les infrastructures blockchain comptent dĂ©jĂ des stablecoins, câest-Ă -dire des cryptoactifs dont le cours est indexĂ© sur des monnaies traditionnelles. Certains ont dĂ©jĂ acquis un statut de rĂ©fĂ©rence dans le secteur : les quatre plus grands stablecoins (Tether, USDC, Dai et Binance USD) reprĂ©sentent Ă eux quatre 96% de la capitalisation totale des stablecoins (voir Graphe). Ils sont tous les quatre indexĂ©s sur le dollar, ce qui renforce incontestablement lâinfluence monĂ©taire des Etats-Unis. »
[âŠ]
« Contre lâhĂ©gĂ©monie du dollar dans cet Ă©cosystĂšme, les projets actuels de MDBC français ou europĂ©ens nâapportent aucune rĂ©ponse. Or, câest bien lĂ que tout lâenjeu se situe : la vraie question ne devrait pas ĂȘtre la compĂ©titivitĂ© des banques centrales dans un monde qui se digitalise, mais la compĂ©titivitĂ© de lâeuro face aux cryptoactifs â et donc face au dollar.
La solution serait de concurrencer ces outils sur leur terrain, en crĂ©ant un stablecoin indexĂ© sur lâeuro. Ce dernier pourrait par exemple ĂȘtre adossĂ© Ă la blockchain Ethereum sur laquelle est dâores et dĂ©jĂ construit lâessentiel des services de finance dĂ©centralisĂ©e. Lâurgence, pour la compĂ©titivitĂ© de lâeuro, ne semble donc pas tant de crĂ©er une MDBC, mais de crĂ©er un stablecoin euro, quâil soit une MDBC ou une monnaie commerciale. »
On a beau faire, on a beau dire, on est toujours surpris par la fabrique de l'opinion.
Dans un pays oĂč la culture mathĂ©matique est tellement faible que la seule chose que l'on remarque quand le chef du gouvernement se trompe (ou nous trompe) avec un graphique dont l'axe des abscisses est dĂ©calĂ© de 6 jours et celui des ordonnĂ©es (*) de 30%, c'est l'inversion du drapeau français sur une slide de son pĂ©nible show... il y a peu Ă espĂ©rer des « dĂ©bats » sur un sujet techniquement complexe, philosophiquement innovant et politiquement radical comme Bitcoin.
La hausse du bitcoin, la bulle du bitcoin, la folie du bitcoin ont ressurgi ces derniÚres semaines, avec peu de « variants » par rapport à la précédente édition en fin 2017.
En gros, ça donne quelque chose comme ça :
Parce que fondamentalement un « débat » n'est qu'un spectacle qui, ne coûtant rien à produire, occupe l'écran entre deux publicités. Ce n'est pas un exposé, ni une conférence, ni un MOOC. Un universitaire sérieux ne devrait point s'y produire ni un esprit distingué s'y exhiber.
D'autre part la place des monnaies numériques dans le paysage médiatique n'étant pas encore celle du menu sans porc, qui transforme n'importe quelle assemblée de lymphatiques en horde de furieux, ni celle des mérites comparés de l'hydroxychloroquine, de l'ivermectine ou des anticorps monoclonaux pour lesquels il existe déjà des milliers d'experts ennuyeux (à mourir) le spectacle est un peu court.
La « production » charge deux ou trois jeunes filles de trouver des intervenants : elles en trouvent quelques-uns, grĂące Ă Google, auxquels elles signifient qu'ils ont Ă passer le soir mĂȘme au studio, et Ă Paris naturellement. Cela restreint fatalement l'Ă©chantillon, mais qu'importe.
La jeune personne m'appelle, m'avoue avec un gloussement irrésistible qu'elle n'y connait rien, me demande le nom d'autres experts qui justement seraient taillables et corvéables à l'instant puisque moi j'entends rester tranquille au vert. Le temps que je les lui fournisse (pas mauvais bougre, dans le fond) une de ses collÚgues en a trouvé deux ou trois autres, dont un qui a déjà fait le tour de dix autres plateaux pour expliquer que ce n'est pas une monnaie, ce n'est pas une monnaie, ce n'est pas une monnaie.
Arrive le soir ou le lendemain, j'ai le rĂ©sultat Ă l'Ă©cran. Jamais de quoi regretter d'ĂȘtre dans les gradins plutĂŽt que sur le sable. En 2017, j'avais Ă©crit sur LinkedIn un article que j'avais intitulĂ© La «folie» Bitcoin dans les mĂ©dias français. Je l'ai re-publiĂ© rĂ©cemment, sans changer trois mots. Je continue de penser qu'il n'est pas trĂšs nĂ©cessaire de se justifier.
Depuis 2017, certes, les questions se sont faites un peu moins brutales, et on nous Ă©pargne le topo sur « la blockchain ». Des gens comme Yves Calvi ou Philippe Soumier proposent mĂȘme (enfin...) un format convenable.
Il y a eu évidemment un « basculement psychologique » (le terme est d'Olivier Babeau) chez les interviewers comme chez certains interviewés.
Chez les premiers, on sent la fatigue (mĂȘme M. Lenglet met de l'eau dans son vin) voire parfois, quand mĂȘme, comme un zest de rancune : pourquoi diable ces bitcoineurs ont-ils cru utile de multiplier les prĂ©cautions en 2017, au lieu de nous dire franchement que ça vaudrait le prix d'une voiture trois ans plus tard ?
Chez certains des hĂ©ros de la cryptomonnaie, et c'est le plus rigolo pour les initiĂ©s, il y a eu aussi depuis 2014 ou 2017 un effet « chemin de Damas ». Plus personne n'ose dire que la monnaie n'est qu'un cas d'usage sans grand intĂ©rĂȘt de la technologie blockchain.
Mais entre le temps perdu à expliquer ce que signifie la décentralisation, éluder les questions sur le cours, réfuter l'ineptie sur l'impossibilité d'acheter ses croissants à Paris en bitcoin, recadrer les chiffres sur les usages criminels et renvoyer les balles sur la consommation énergétique, que peut bien dire d'utile, d'instructif, d'éclairant ou de motivant l'expert venu pour expliquer et qui sert de Rétiaire dans cette petite arÚne ?
Parce que, de son cÎté, le Mirmillon de l'establishment connaßt son métier.
Que ce soit un ponte comme Minc, pratiquement à cÎté de ses mocassins, ou des économistes déjà vus plus de mille fois comme Jean-Marc Daniel, Philippe Bechade, Philippe Murer, on n'a jamais rien de nouveau.
Ils sont là pour taper, ils tapent. Ils n'ont pas bougé d'un pouce, pas modifié leurs incantations d'un iota.
Ces joutes risibles m'ont donné quelques occasions d'allonger encore un peu la liste des lauréats du Prix Tulipe. Mince bénéfice !
La conclusion : moins il y a de gens importants sur le plateau, mieux c'est. Cela diminue l'exposition des no-coiners et de leurs naïvetés de béotiens. Autant conseiller à Papi et Mamie, dans leur cuisine, de regarder Bapt&Gael, ils perdront moins leur temps !
Et, dût l'orgueil hexagonal en souffrir, des émissions suisses comme le Forum de la RTS peuvent aussi s'avérer plus utiles, un peu comme la presse belge pour rectifier les erreurs de M. Castex, sans vouloir en faire une affaire personnelle....
Pour le grand public, enfin, et pour en rester aux rigolos, j'ai trouvĂ© que le petit sketch d'Alexis Le Rossignol valait bien des explications fumeuses d'Ă©missions qui prĂ©tendaient nous informer. A ma connaissance, il n'a pourtant mĂȘme pas eu droit, comme Nabilla en janvier 2018, Ă un petit gazouillis de l'AMF (**). A croire qu'en distanciel les gardiens du Temple ne surveillent mĂȘme plus ce qui se trame dans le vaste monde !
NOTES
(*) Ils sont tellement linĂ©aires (pour ne pas dire plats) qu'ils n'ont pas mĂȘme songĂ© Ă inscrire les contaminations sur une Ă©chelle logarithmique : ce ne serait pas faux, ce serait mĂȘme assez justifiable, et le gogo en retirerait une rassurante impression de promenade de santĂ©, pardon pour le jeu de maux.
(**) Parmi les nombreuses choses que je ne regrette pas d'avoir écrites, mon billet Genre Vénus, sur l'affaire Nabilla. Le site Bitcoin.fr a marqué le troisiÚme anniversaire de ce petit événement en posant la question : et si Nabilla avait raison ?
La startup française Sorare vient de lever 50 millions de dollars supplémentaires pour le développement de son jeu de fantasy football basé sur la blockchain. Il s'agit de la plus importante levée de fonds du secteur des cryptomonnaies en France depuis celle de Ledger en 2018.
Lâarticle La startup française Sorare lĂšve 50 millions de dollars pour son jeu blockchain est apparu en premier sur Cryptoast.
Pourquoi Bitcoin provoque autant de dĂ©bat ? Ca sert Ă quoi le bitcoin ? Pourquoi parle-t-on autant du bitcoin en ce moment ? Quâest-ce qui pousse les patrons Ă investir autant en bitcoin ? Elon Musk, câest le nouveau gourou du bitcoin ? Câest quoi cette histoire sur la raretĂ© du bitcoin ? Demain, on pourra acheter sa baguette en bitcoin ? [âŠ]
Lâarticle Brut. Huit questions trĂšs simples sur Bitcoin est apparu en premier sur Bitcoin.fr.
Craig Wright, le dĂ©fenseur du Bitcoin SV (BSV) qui prĂ©tend ĂȘtre Satoshi Nakamoto sans jamais le prouver, vient dâinitier une des attaques lĂ©gales dont il a le secret. Il intente une action en justice contre des dĂ©veloppeurs du Bitcoin, Bitcoin Cash et Bitcoin SV afin de rĂ©cupĂ©rer des BTC qui auraient Ă©tĂ© dĂ©robĂ©s en fĂ©vrier 2020.
Lâarticle Craig Wright intente un procĂšs aux dĂ©veloppeurs de Bitcoin (BTC) est apparu en premier sur Cryptoast.
Je suis rĂ©cemment intervenu dans le podcast de Contrepoints pour parler de Bitcoin et de cryptomonnaie avec Pierre Schweitzer. Au-delĂ de lâĂ©volution du prix du bitcoin (prix qui se situait autour des 51 000 $ / 42 000 ⏠au moment de lâenregistrement), il y a en effet beaucoup Ă dire sur le sujet.
Les thÚmes suivants y sont abordés :
Voici lâĂ©pisode du podcast :
Le service de cartes numĂ©riques de football, des tokens NFT sur Ethereum, boucle un nouveau tour de table. Le Français Sorare lĂšve 40 millions dâeuros en SĂ©rie A, auprĂšs notamment du footballeur Antoine Griezmann. Moins dâun an aprĂšs une premiĂšre levĂ©e de fonds, Sorare attire une fois encore des capitaux. En juillet 2020, lâĂ©diteur de jeu de fantasy football et de cartes numĂ©riques, levait 4 millions dâeuros. Quelques mois plus tard, câĂ©tait 3,7 millions. A cette occasion, lâentreprise française accueillait parmi ses investisseurs le joueur du FC Barcelone Gerard PiquĂ©. La derniĂšre levĂ©e de fonds de Sorare, une SĂ©rie A, [âŠ]
Lâarticle Avec ses cartes NFT sur Ethereum, Sorare lĂšve encore 40 millions dâeuros est apparu en premier sur Cryptonaute.
Du Bitcoin Ă vendre pour seulement 6.100 dollars alors que le crypto-actif cote Ă plus de 50.000 dollars ? Des utilisateurs dâun exchange, PDAX, nâont pas hĂ©sitĂ© longtemps. Ce prix Ă©tait toutefois une erreur et le service rĂ©clame la restitution du BTC. Les soldes sâappliquent-ils Ă©galement au Bitcoin ? Câest ce que la mĂ©saventure de lâexchange philippin PDAX (Philippine Digital Assets Exchange) pouvait laisser penser. Le 16 fĂ©vrier, la crypto-bourse proposait Ă lâachat du BTC Ă un prix trĂšs attractif. En effet, la premiĂšre des cryptomonnaies se nĂ©gociait alors sur la plateforme au cours de 300.000 pesos philippins, soit lâĂ©quivalent dâenviron 6.100 [âŠ]
Lâarticle Du Bitcoin Ă seulement 6000$ : lâoccasion Ă©tait trop belle est apparu en premier sur Cryptonaute.
LâĂ©diteur MicroStrategy dĂ©bourse 1 milliard de dollars pour acquĂ©rir 19.452 Bitcoin. Et le PDG Michael Saylor ne prĂ©voit pas de sâarrĂȘter lĂ . Sa stratĂ©gie : se concentrer sur son cĆur de business et lâachat de Bitcoin. MicroStrategy nâest pas un investisseur lambda. LâĂ©diteur ne se sent donc pas concernĂ© par la rĂ©cente mise en garde de Bill Gates Ă lâĂ©gard de la volatilitĂ© de Bitcoin. Preuve en est, lâentreprise vient dâallouer 1 milliard de dollars au crypto-actif. Quelques jours plus tĂŽt, la firme annonçait lâĂ©mission de nouvelles obligations afin de financer sa prochaine acquisition de Bitcoin. LâopĂ©ration Ă©tait un succĂšs avec [âŠ]
Lâarticle Trop cher le Bitcoin ? MicroStrategy paie 52.765$ le token est apparu en premier sur Cryptonaute.
Les cryptomonnaies adossĂ©es au dollar ont le vent en poupe. Cela quâil sâagisse du leader Tether (USDT) de ses versions plus dĂ©centralisĂ©es comme le DAI, ou liĂ©es Ă une plateforme dâĂ©change comme le BUSD. Quelques exemples emblĂ©matiques au sein dâune offre en matiĂšre de stablecoins qui ne cesse de grossir au fil des mois. Et [âŠ]
Lâarticle BCE vs stablecoins en euro â Un droit de veto est exigĂ© est apparu en premier sur CryptoActu.
Les frais de transaction du rĂ©seau Ethereum sont-ils devenus trop Ă©levĂ©s pour les utilisateurs ? Pas si lâon en croit les volumes dâĂ©change des exchanges dĂ©centralisĂ©s (DEX), qui ont explosĂ© tous leurs records en ce dĂ©but dâannĂ©eâŠ
Lâarticle Ethereum : malgrĂ© les frais, les volumes dâĂ©change des DEX ont explosĂ© est apparu en premier sur Cryptoast.
Podcast réalisé par Pierre Schweitzer pour le journal en ligne Contrepoints. Invité : Ludovic Lars, ingénieur et expert des cryptomonnaies. Source : https://anchor.fm/contrepoints
Lâarticle Bitcoin : comprendre la rĂ©volte monĂ©taire du siĂšcle est apparu en premier sur Bitcoin.fr.