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Pourquoi les baleines Solana comparent-elles ce token Ă  0,08 $ au SOL ? Atteindra-t-il 21 $ en 2024 ?

January 22nd 2024 at 05:19
Une baleine crypto

Dans le domaine de l'investissement en cryptomonnaies, de nouveaux projets émergent avec des promesses d'innovation et de croissance. Un token en particulier a attiré l'attention des baleines Solana : Retik Finance. Avec un prix modeste de 0,08 $, Retik Finance a suscité des comparaisons avec Sol (SOL), la formidable blockchain qui a connu une ascension fulgurante ces derniers temps. Cet examen minutieux n'est pas infondé, car Retik Finance a montré des utilités uniques et un potentiel important, conduisant à des projections pour atteindre 21 $ d'ici 2024. Dans cet article, nous examinons les facteurs qui ont incité les baleines de Solana à établir des parallÚles entre Retik Finance et SOL.

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Crypto : L’Europe forge son avenir numĂ©rique

January 21st 2024 at 20:00
Des piÚces de la crypto phare au sein du cercle formé par douze étoiles du drapeau européen

L’évolution du marchĂ© crypto n’a pas ralenti ces derniers mois malgrĂ© les nombreux dĂ©fis du secteur. Le constat est le mĂȘme en ce qui concerne la rĂ©glementation. En Europe particuliĂšrement, les rĂšgles de fonctionnement de cette industrie en pleine expansion ne cessent de s’épaissir. L’objectif des institutions rĂ©glementaires europĂ©ennes Ă©tant d’établir un certain Ă©quilibre entre la protection des investisseurs et la stabilitĂ© financiĂšre. Ceci, mĂȘme si l’on peut craindre un affaiblissement de l’innovation, principe fondamental au progrĂšs de la crypto. Dans les lignes qui vont suivre, on s’intĂ©ressera aux initiatives rĂ©glementaires crypto en cours, en examinant leur impact sur l’attractivitĂ© du marchĂ© europĂ©en pour les acteurs du secteur.

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Un cours en français sur le protocole « Ordinals »

January 21st 2024 at 18:42

Ordinals est un nouveau protocole construit sur Bitcoin qui apporte de nouvelles opportunitĂ©s, de nouveaux risques et de belles promesses. C’est un protocole Open-Source qui peut changer beaucoup de choses sur Bitcoin. Pour ce faire je propose ici une base de cours la plus complĂšte possible. Je ne pense pas ĂȘtre capable de rĂ©diger la totalitĂ© [
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Bitcoin-Ethereum : La corrĂ©lation historique entre les deux cryptos s’effondre !

January 21st 2024 at 18:00
PiĂšces du bitcoin et de l'ether,les deux cryptos phares

Historiquement, le bitcoin (BTC) et l’ether (ETH) sont liĂ©s dans les mouvements du marchĂ©. Une rĂ©cente Ă©tude menĂ©e par Kaiko Research Ă  ce sujet montre un certain inversement de cette tendance crypto.

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Ethereum : Le staking explose suite Ă  la derniĂšre mise Ă  jour !

January 21st 2024 at 17:30
Logo de la blockchain Ethereum

La mise à jour Shapella, également connue sous le nom EIP-4895, facilite les retraits de jalonnement des validateurs sur Ethereum. Désactivée en septembre 2022 lors du passage au proof of stake (PoS), cette fonctionnalité avait été relancée aprÚs sa mise à niveau en avril 2023. Une opération qui a eu un impact positif sur le staking sur Ethereum.

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OĂč est passĂ© le bitcoin ? Seulement 10% de BTC en circulation !

January 21st 2024 at 16:30
By: Eddy S.
Bitcoin crypto

Alors que les fonds d'investissement et grandes fortunes se précipitent sur le Bitcoin, ils ne contrÎlent qu'une petite fraction de la crypto

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Seconde Ă©dition de la Bitcoinference (Ă  Marseille)

January 21st 2024 at 13:20

Suite Ă  une premiĂšre Ă©dition Ă  La Baule en mai 2023, la seconde Bitcoinference aura lieu Ă  Marseille le 2 fĂ©vrier 2024. « La Bitcoinference est une table ronde ouverte au public, rassemblant particuliers et professionnels, novices et passionnĂ©s. Plongez au cƓur de l’univers fascinant du Bitcoin et des cryptomonnaies au contact d’experts français renommĂ©s. Assistez [
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Bitcoin meetup Ă  Magny-les-Hameaux (Yvelines)

January 20th 2024 at 13:19
By: Joan

« Meetup sous format de rendez-vous mensuels pour parler Bitcoin et sujets connexes. Nous sommes associĂ©s au programme Ambassadeurs de DĂ©couvre Bitcoin. Les sujets abordĂ©s gravitent autour de Bitcoin : la monnaie et son impact sociĂ©tal, l’économie, l’écologie, la politique. Chaque Meetup essaiera de tourner autour de thĂšmes en prĂ©sentant une des facettes de Bitcoin, pour amener [
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Mark KarpelĂšs envisage d’installer sa nouvelle sociĂ©tĂ© en France

January 19th 2024 at 17:52

Dans une interview rĂ©alisĂ© par The Big Whale, Mark KarpelĂšs Ă©voque son projet d’agence de notation dĂ©diĂ©e aux plateformes d’échange de cryptomonnaies. Ungox est actuellement enregistrĂ© aux États-Unis dans le Delaware, mais il souhaite dĂ©mĂ©nager le siĂšge en France. L’ex CEO de MtGox revient Ă©galement sur ses mĂ©saventures au Japon, la liquidation de sa plateforme [
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Conférence : Du coquillage au bitcoin

January 18th 2024 at 17:54
By: Joan

« Du coquillage au bitcoin, percez les mystĂšres de la monnaie » – ConfĂ©rence gratuite Ă  Bressuire suivie d’un quizz interactif. Organisateur : Emmanuel Harrault, avec le soutien de @SwissBitcoinPay et @bitstack_ OĂč ? – CinĂ©ma Le Fauteuil Rouge, 7 Espace Bocapole Ă  Bressuire (dĂ©partement des Deux-SĂšvres) Quand ? – Jeudi 25 janvier 2024 Ă  20h00 En [
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L’ETF Bitcoin de BlackRock passe la barre du milliard de dollars

January 18th 2024 at 16:40

MalgrĂ© la baisse du cours de ces derniers jours, l’iShares Bitcoin Trust (l’ETF Bitcoin au comptant de BlackRock), nĂ©gociĂ© depuis le 12 janvier, a passĂ© aujourd’hui mercredi la barre du milliard de dollars d’actifs sous gestion. « Nous sommes ravis de voir l’IBIT atteindre cette Ă©tape au cours de sa premiĂšre semaine, ça indique une forte [
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Qu’est-ce qu’un explorateur de blocs Bitcoin et comment l’utiliser ?

January 17th 2024 at 19:22

Afin de prĂ©venir la double dĂ©pense des bitcoins, le protocole exige que toutes les transactions soient annoncĂ©es publiquement. Les nƓuds du rĂ©seau doivent ainsi avoir accĂšs Ă  chaque transaction et en conserver une trace en mĂ©moire. Pour les organiser et les horodater, on les inclut dans ce que l’on nomme une blockchain. Puisque ces donnĂ©es [
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Enigma Nakamoto – Episode 7

January 17th 2024 at 15:17

RĂ©alisĂ© par Ur₿an.Täž°ch21, le podcast Enigma Nakamoto vous propose d’explorer les origines insolites de Bitcoin Ă  travers les archives qui nous sont parvenues. La page du podcast : https://open.spotify.com/show/3ATL48DyQ99Lr7dn0i76X8 Episode 7 : 2011, les dĂ©buts chaotiques des plateformes d’échange Episodes prĂ©cĂ©dents Episode 1 : La prĂ©histoire de Bitcoin : Les listes de diffusion cypherpunks et [
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Bitcoin meetup Ă  Bordeaux

January 17th 2024 at 12:28

Meetup au coworking Le Node, 12 rue des Faussets Ă  Bordeaux, organisĂ© par @BitcoinBordeaux jeudi 18 janvier 2024 Ă  partir de 19h00. Pour le meetup du 18 Janvier nous aurons donc 4 « Lightning talk », des prĂ©sentations rapides sur diffĂ©rents sujets. Le but Ă©tant d’évoquer plusieurs thĂšmes et quand mĂȘme laisser du temps pour boire un [
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Quelles sont les alternatives pour rĂ©duire sa pression fiscale ?

January 4th 2024 at 17:16
By: Daniel
La pression fiscale, reprĂ©sentant la part des impĂŽts et taxes dans les revenus, constitue une prĂ©occupation majeure pour de nombreux contribuables. Face Ă  cette rĂ©alitĂ©, plusieurs alternatives se profilent pour allĂ©ger cette charge. À travers ce contenu, on vous dĂ©voile quelques solutions possibles. Optimisation de la gestion de patrimoine L’optimisation de la gestion de patrimoine [
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143 - Préfaces (réflexions masquées et à peine philosophiques)

January 3rd 2024 at 19:15

Je poursuis ce que j'ai écrit sur l'aventure de la Préface à l'Acéphale par quelques réflexions sur le sens que les bitcoineurs pourraient attribuer à cette pratique parfois mondaine, au-delà de ce que Frédéric Lordon dénonçait non sans raison comme  une pratique sociale tout à fait hétérogÚne à la logique de la chose intellectuelle.

Et d'abord, pour ceux qui n'ont point fait de latin, dissipons un possible malentendu. La pré-face n'est point ce que l'on mettrait devant sa face, du bas latin facia (« portrait »).

Trouver un prĂ©facier n'est donc pas une pratique qui consisterait Ă  cacher son vrai visage derriĂšre un masque (celui dessinĂ© par David Lloyd et dont tout le monde se sert sans licence) – ce qui serait dĂ©licieusement bitcoinesque – ni mĂȘme Ă  cacher l'anonymat relatif de qui n'est pas encore auteur derriĂšre un visage plus cĂ©lĂšbre – ce qui pourrait bien relever de cette vanitĂ© sociale qu'un intellectuel exigeant comme Lordon dĂ©nonce Ă  bon droit.

Le mot prĂ©face vient du latin praefatio et dĂ©signe l'action de parler d'abord ou en premier, et ce qui se dit ainsi. Le mot dĂ©rive du verbe praefor dans lequel on retrouve la racine qui donne aussi bien la fonction phatique du langage que le forum oĂč s'Ă©nonce la parole.

Plus de masque donc ? Pas si sûr.

Parce, que, dans le thĂ©Ăątre antique, le masque Ă©tait tout sauf un accessoire neutre ou stĂ©rĂ©otypĂ©. Il en existait une trĂšs grande variĂ©tĂ©, selon le rĂŽle, les circonstances, ce que l'on voulait faire du personnage ou en laisser paraĂźtre. Pourrait-on dire que l'acteur choisissait son masque comme l'auteur choisit aujourd'hui son prĂ©facier ? Peut-ĂȘtre. D'ailleurs certains masques (souvent pour rire, il est vrai) reproduisaient les traits de personnalitĂ©s bien connues.

Un autre fait est plus douteux : ces masques – dont Aristote qu'il faut Ă  tout prix citer pour paraĂźtre sĂ©rieux avouait ignorer l'origine – auraient selon certains auteurs anciens modifiĂ© la voix, la rendant plus grave, voire auraient servi de porte-voix. Aucune expĂ©rience moderne n'a pu confirmer cette idĂ©e, qui repose peut-ĂȘtre sur une (autre) fausse Ă©tymologie, qui ferait dĂ©river le nom latin du masque (personna) de personare qui signifiait  retentir . La voix du prĂ©facier, donc, et pas seulement son nom (inscrit sur la couverture) porterait le message du livre, le rendant plus grave, plus puissant.

Pour un bitcoineur, va-t-on dire, tout ceci est absurde. Satoshi n'a pas eu besoin de préfacier et il m'est arrivé de songer que, quitte à sacrifier à des usages de lettrés (celui de la préface a ses historiens et ses anthologies : écoutez cette savoureuse chronique) sans doute conviendrait-il plutÎt que nous fassions débuter nos livres par une Dédicace à l'égard du grand anonyme.

Il n'y aurait aucune flagornerie à cela et pour ma part, modeste historien du Bitcoin, je me verrais bien comme l'illustre Froissart faisant hommage de ses Chroniques au roi d'Angleterre (oui, parce que né à Valenciennes, l'homme était du Hainaut, comme Philippine, la bonne reine qui fit gracier les bourgeois de Calais ; mais ceci est une autre histoire, juste un clin d'oeil à mon ami belge André) et donc genou à terre devant Satoshi (qui pour le coup pourrait rester masqué). Mais mon ami suisse Lionel va encore dire que je suis monarchiste au moins de coeur.

Revenons Ă  Bitcoin : il y a tout de mĂȘme un mot Ă  considĂ©rer, celui de validation. Si CNRS Éditions nous avait demandĂ© une prĂ©face, c'est Ă  dire un prĂ©facier, ce ne pouvait ĂȘtre que pour cela. Non pas l'obligation d'obtenir le Nihil obstat de quelque censeur (car les Ă©conomistes sont de modernes ecclĂ©siastiques) chargĂ© de vĂ©rifier la conformitĂ© de notre ouvrage au dogme, mais de trouver un penseur quelqu'il soit mais qui accepte de risquer sa propre rĂ©putation en nous donnant une sorte d'Imprimatur. Cette validation-lĂ  pouvait ĂȘtre donnĂ©e par l'Ă©vĂȘque mais aussi par un universitaire ; elle n'indiquait pas que le signataire fĂ»t en accord avec le contenu, ni que celui-ci fĂ»t exact ou mĂȘme impartial.

Alors, dira-t-on, et pour rester conséquent : chez nous la validation est distribuée. En regard, ce que je décris est plutÎt du genre PoA. Certes !

Il y a une grande question, qui a fait l'objet le 18 octobre dernier, d'un live sur Radio Chad. Le titre de l'émission était  la décentralisation nous rend-elle plus intelligents ?  Je cite les mots de l'animateur, Anthony :  Nous les crypto bros, évoluons dans un environnement qui nous demande d'agir de maniÚre responsable. Et pourtant, nous n'avons pas l'air beaucoup plus aguerris que les normies lorsqu'il s'agit de produire ou traiter de l'information. Quels avantages nous procurent notre sensibilisation aux réseaux décentralisés ? Quels inconvénients ? Sommes-nous suffisamment équipés face à la désinformation ?. J'y renvoie (c'est ici, notamment à partir de la 11Úme minute).

Ma rĂ©ponse Ă©tait qu'en matiĂšre de circulation de la chose intellectuelle, l'optimum Ă©tait sans doute ni la dĂ©centralisation (le dĂ©sordre de X) ni la centralisation (la langue de bois de toutes les Pravda) mais la distribution. La circulation de l'information, de la rĂ©flexion, de l'opinion, comme l'Ă©change de la parole doivent se faire avec un mix d'accĂšs de tous, de visas par un certain nombre de validateurs (pas forcĂ©ment des institutions : cela peut ĂȘtre sur une base rĂ©putationnelle) mais aussi de normes : de nous-mĂȘmes nous devons accepter que toute parole n'est pas, du seul fait qu'elle a Ă©tĂ© Ă©noncĂ©e, forcĂ©ment vraie, respectable, exacte, informĂ©e, performative. Chacun de nous doit rĂ©flĂ©chir Ă  ce qui norme un discours.

MalgrĂ© ou Ă  cause d'Internet, le forum de l'information dĂ©centralisĂ©e en temps rĂ©el et 7/7 (oĂč les acteurs centralisĂ©s ou officiels sont massivement prĂ©sents, on ne le dira jamais assez) ce sont concrĂštement : de fausses nouvelles (produites pour une trĂšs bonne part par les gouvernements) et de fausses images, de fausses agences et de faux think tank, de fausses Ă©coles et de fausses acadĂ©mies, de faux experts et de vrais voleurs (clin d'oeil Ă  mon ami Émilien).

Dans ces conditions, qu'une entreprise qui publie un auteur (surtout inconnu) demande la caution d'un universitaire ne me parait pas aussi  hĂ©tĂ©rogĂšne Ă  la logique de la chose intellectuelle  que le pensait Lordon. Qu'un docteur en philosophie, professeur d'UniversitĂ©, comme Jean-Joseph Goux mette son nom sur la couverture de l'AcĂ©phale, qu'un savant reconnu par Satoshi lui-mĂȘme comme Jean-Jacques Quisquater mette le sien sur un livre suivant m'a semblĂ© honorable pour moi et intĂ©ressant pour mon lecteur.

Inversement, mettre mon propre nom comme préfacier sur un livre, qu'il ait été écrit par un ami comme Alexis Roussel ou par quelqu'un que je n'avais pas encore rencontré in the real life comme son co-auteur Grégoire Barbey ou plus récemment par Ludovic Lars, représente à mes yeux un redoutable honneur.

Inutile de dire que, quoique conscient du grand respect que ces personnes suscitaient dans la communauté, j'ai lu leurs manuscrits ligne par ligne et le sourcil froncé : exactement ce que ne semblent pas faire tous les people signataires de tribunes et de contre-tribunes, ou des intellectuels diva comme Nassim Taleb retirant sa préface à Saifedean Ammous aprÚs avoir changé d'avis comme le vent change de sens. La signature du préfacier n'est pas le poinçon légal attestant que vous avez entre les mains du métal fin : c'est plutÎt à mes yeux un poinçon de maßtre. Il en est de meilleurs que d'autres, comme pour les auteurs.

Un dernier mot, tout personnel, sur ma façon de concevoir une préface quand j'ai achevé la lecture du manuscrit.

Je dirais qu'elle est harmonique. Si le livre ne m'évoquait rien, mieux vaudrait le dire gentiment à l'auteur. S'il fait résonner quelque chose en moi, n'est-ce pas dans cette résonance qu'il faut que j'aille chercher de quoi apporter les quelques lignes qu'il attend de moi ? En me les demandant à moi, Alexis ou Ludovic savaient qui j'étais : un homme qui vit un pied dans le passé et un autre dans le présent, les yeux dans tous les sens. J'ai donc évoqué Rousseau et Spinoza, Neufchùtel et Amsterdam aprÚs avoir lu Notre si précieuse intégrité numérique, d'Alembert et l'esprit élégant du Paris des LumiÚres aprÚs avoir lu L'élégance de Bitcoin.

C'est aussi une maniÚre de garder à l'esprit l'antique métaphore attribuée à Bernard de Chartres, utilisée par Guillaume de Conche puis par des savants précurseurs comme Isaac Newton et Blaise Pascal, puis par la NASA pour donner son nom à la mission Apollo 17, la derniÚre à emmener des hommes sur la lune au 20Úme siÚcle et enfin par Google Scholar au nÎtre.

142 - Préfaces (quelques échanges avec des philosophes)

January 1st 2024 at 19:00

Lors d'un rĂ©cent live consacrĂ© Ă  mon ami et co-auteur Adli Takkal Bataille, ont ressurgi, sur la chaĂźne du Faune, quelques questions classiques (comment nous nous sommes rencontrĂ©s, pourquoi nous obstinons-nous Ă  nous voussoyer, comment avons-nous trouvĂ©, si tĂŽt, un Ă©diteur prĂȘt Ă  mettre un gros ₿ sur une couverture ?) et une plus rare : pourquoi avons-nous fait prĂ©cĂ©der le texte de l'AcĂ©phale d'une prĂ©face ?

Dans le cours mĂȘme de l'Ă©mission, j'ai pu retrouver et lire en direct une correspondance Ă©changĂ©e avec FrĂ©dĂ©ric Lordon, oĂč celui-ci s'excusait fort courtoisement de n'avoir pas le temps d'Ă©crire la chose, mais en soulignait aussi l'inutilitĂ© Ă  ses yeux.

C'est là une pratique sociale tout à fait hétérogÚne à la logique de la chose intellectuelle, laquelle, totalement autosuffisante, n'a besoin d'aucun rehaussement préfacier 

Il se trouve que je partageais pour une bonne part son argumentation. Mais je dois avouer que (non binaire Ă  ma façon) je comprenais aussi la requĂȘte de notre Ă©diteur.

Il m'a semblĂ© que, quelques annĂ©es plus tard, et comme en avant-propos Ă  la nouvelle annĂ©e, je pourrais tenter de retracer l'historique de mes Ă©changes avec les uns et les autres jusqu'Ă  notre rencontre avec Jean-Joseph Goux, qui accepta avec simplicitĂ© et gentillesse de nous prĂ©facer. Je reviendrai dans un prochain billet sur le sens que, finalement, j'accorde Ă  cette  pratique sociale  Ă  laquelle j'ai moi-mĂȘme sacrifiĂ© dans les deux sens.

La prestigieuse maison CNRS Éditions Ă  qui nous avions proposĂ© le projet en dĂ©cembre 2015 avait Ă©tĂ© formelle : oui Ă  Bitcoin sur la couverture (alors mĂȘme que les Ă©diteurs cette annĂ©e-lĂ  n'entendaient publier que sur la blockchain) et mĂȘme oui Ă  la monnaie acĂ©phale (excellent suggestion d'Adli). Mais Ă  la condition que nous nous trouvions un prĂ©facier.

DĂšs lors, il s'agissait moins pour moi de discuter ou d'analyser la pertinence de la requĂȘte que de m'exĂ©cuter. L'accord s'Ă©tait vite fait avec Adli sur le fait qu'il revenait au grey hair de mener les dĂ©marches ; de mĂȘme nous Ă©tions convenus qu'il Ă©tait impossible de solliciter un banquier ou un Ă©conomiste et qu'il aurait Ă©tĂ© peu pertinent de demander cela Ă  un ami historien. Restaient les philosophes, qui semblent conçus pour prĂ©facer Ă©lĂ©gamment les ouvrages en quĂȘte de respectabilitĂ©.

Deux Ă©vĂ©nements avaient nourri mon carnet d'adresses de gens que je pouvais dĂ©marcher : la Nuit Sciences et Lettres Ă  l'École normale supĂ©rieure (le 3 juin 2016: voir ici pour le rĂ©cit et l'enregistrement hĂ©roĂŻque de cette confĂ©rence fort bien accueillie pour le reste) et la confĂ©rence Bitcoin Pluribus Impar tenue dans le mĂȘme lieu presque un an plus tard.

Autant le premier Ă©vĂ©nement, organisĂ© par l'École, avait Ă©tĂ© assez simple Ă  concevoir pour moi, dans le dĂ©lai imparti de deux mois environ, autant le second, dont le Cercle du Coin devait ĂȘtre maĂźtre d'Ɠuvre, s'avĂ©ra complexe et me tint sur le pont plus d'un an.

Mais compte-tenu de l'ambition qui était la nÎtre, celle de proposer des regards croisés, j'avais pu contacter et échanger avec des nombreuses pointures, philosophes compris.

DĂšs avril 2016 je tentais ma chance auprĂšs de Michel Serres, Ă  qui j'adressais une belle lettre dactylographiĂ©e. Il y rĂ©pondit quelques jours plus tard par ces mots touchants  Cher camarade, merci beaucoup de votre lettre et bravo pour votre projet. Merci aussi de votre demande. Malheureusement, mon grand Ăąge et mon Ă©tat de santĂ© m’interdisent d’ajouter une obligation Ă  un emploi du temps dĂ©jĂ  impossible Ă  tenir. Je suis au bout du rouleau !! AmitiĂ©s Michel Serres .

Les semaines puis les mois suivants, nous donnĂšrent, Ă  Adli et moi, plusieurs occasions d'entendre Ă  la radio ou de voir sur les Ă©crans notre grand malade, qui se portait assez bien. C'Ă©tait devenu un running gag entre nous que de nous signaler ses Ă©piphanies. Et Ă  ce jeu Adli dĂ©crocha au bout d'un an le pompon en dĂ©couvrant en premier l'Express 3431 du 5 avril 2017. Entre temps une Ăąme charitable m'avait indiquĂ© le type de fortifiant dont le maĂźtre aurait eu besoin pour satisfaire Ă  ma supplique (et mĂȘme la posologie). Nous ne pouvions pas suivre. Je le croisai finalement Ă  Blois, six mois plus tard. Il semblait un peu fatiguĂ© Ă  l'arrivĂ©e, mais capable de tenir une heure de confĂ©rence que je sĂ©chai pour faire le tour des libraires prĂ©sents avant de participer Ă  la table ronde rĂ©unie sur un sujet bien mal libellĂ© : du bitcoin Ă  la blockchain : peut-on avoir confiance dans une monnaie virtuelle ?.

Avant mĂȘme l'Ă©mouvant dĂ©faussement du pĂšre de Petite Poucette, j'avais contactĂ© FrĂ©dĂ©ric Lordon, avec un argumentaire ajustĂ©. J'avais en effet assistĂ© en septembre 2015 Ă  la prĂ©sentation de son Imperium Ă  la Librairie de Paris oĂč sa prĂ©sence avait rassemblĂ© une vĂ©ritable foule et cela m'avait donnĂ© quelques accroches.

Il me répondit négativement mais avec beaucoup de gentillesse et d'élégance. C'est cette réponse que j'ai rapidement lue durant le live déjà mentionné. Je l'attache ici in extenso :

Comme je l'ai dit, je partageais sa rĂ©serve. Sur le fonds, ce qui est bien plus intĂ©ressant, sa franchise me plut. Nous Ă©changeĂąmes un peu, sans invectives et je conclus cela en m'abritant derriĂšre Karl Marx, qui s’enthousiasmait pour le dĂ©veloppement des chemins de fer sans que cela vaille approbation de l’enrichissement des Rothschild.

L'échange avec Paul Jorion, en août 2016, fut bien moins plaisant. Ce n'était pas un philosophe, mais cet anthropologue, expert financier, essayiste, avait annoncé dÚs 2005 la crise financiÚre mondiale à venir, ce qui lui avait assuré une certaine notoriété en 2008. Et puis nous avions des connaissances communes, je suivais son blog, je savais ses doutes sur Bitcoin mais je pensais qu'une préface intelligemment critique était une option sensée et je me voyais conduit à élargir le cercle des proies possibles. Mal m'en prit !

Il me répondit du tac au tac : Merci de m'avoir contacté. Comme vous le savez sans doute, je suis violemment opposé au Bitcoin et à la blockchain dont je considÚre qu'ils font partie d'un projet libertarien d'enracinement irréversible de l'ordre inégalitaire présent. En participant à un colloque patronné par un organisme favorable à ces deux choses, je contribuerais à leur donner une certaine légitimité, ce que je refuse absolument.

Les procédés récemment employés par D. Cayla ou N. Hadjadji n'ont rien présenté de follement nouveau à mes yeux !

Je tentai d'argumenter :  L’affirmation selon laquelle le bitcoin participe d’un projet d’enracinement de l’ordre inĂ©galitaire mĂ©riterait selon moi d’ĂȘtre nuancĂ©e. Sauf Ă  verser dans les utopies sans monnaie, ou les expĂ©riences de papier (c’est le cas de le dire) de monnaies locales, fondantes etc. lesquelles n’ont jamais eu de succĂšs que dans les journaux (et encore, en aoĂ»t) toute monnaie est inĂ©galitaire. L’amusant, avec le bitcoin, est qu’il s’agit d’une autre inĂ©galitĂ©. L’aventure a fait apparaĂźtre une richesse nouvelle. Si le bitcoin vaut un jour 10 ou 100.000 euros, des jeunes que je connais pourront enfin se payer l’appartement que j’avais acquis Ă  leur Ăąge, moyennant une dette de 7 ans de mon salaire, et qui vaudrait aujourd’hui 30 ans du salaire qu’on ne leur offrira sans doute pas. 

Ceci ne me valut qu'un nouveau dĂ©boire :  Merci pour vos explications. J'ajouterai celle oĂč vous prĂ©sentez le Bitcoin comme une dĂ©merde individuelle permettant Ă  quelques chanceux de s'acheter un appartement Ă  ma liste Ă  charge.  Je ne cherchais pas Ă  aller plus loin. Je suis toujours le blog de ce sympathique boomer (de 11 ans mon aĂźnĂ©, la photo a bien plus de 10 ans).

Aux derniÚres nouvelles il ne réside pas dans un habitat participatif éco-construit ou dans une banlieue prolétaire mais dans une maison individuelle à la lisiÚre de l'une des villes les plus agréables de France, vue campagne, 3 kilomÚtres to the beach. Pas de quoi figurer dans le classement Forbes, mais selon l'appli DVF, grosso modo la valeur des appartements parisiens dont je parlais.

AprĂšs cela, l'Ă©change avec Bernard Stiegler me parut badin. Il me rĂ©pondit lui aussi nĂ©gativement en avril 2017 :  La premiĂšre raison est que je suis surchargĂ© de travail et n’ai pas une minute Ă  moi avant bien longtemps, l’autre est que mon point de vue sur le bitcoin n’est pas suffisamment Ă©tayĂ©, et j’essaie de ne jamais prendre une position Ă  la lĂ©gĂšre - ce qui est plus facile Ă  dire qu’à faire. Or Ă©crire une prĂ©face est prendre une position. La question de la monnaie est par elle-mĂȘme d’une extrĂȘme complexitĂ©, et l’avĂšnement du bitcoin s’inscrit dans cette complexitĂ© et y ajoute de nouveaux Ă©lĂ©ments, mais il faut avoir une idĂ©e claire de ce qu’est la monnaie pour parler sĂ©rieusement du bitcoin. En outre la question de la block chain qui se tient en amont de cela doit ĂȘtre traitĂ©e d’abord pour elle–mĂȘme. Avec toutes mes excuses, et bien cordialement. 

Bref, son point de vue était déjà assez étayé pour mettre la blockchain en amont, métaphore hydraulique dont je n'aurai jamais le fin mot.

Le philosophe dépressif nous quitta en août 2000, un an aprÚs Michel Serres, mais avec 20 ans de moins que l'immortel, lequel fut le seul de mes réfractaires dont j'aie forcé la main. Il me devait une préface et pour Objective Thune nous partßmes de ses écrits tintinesques pour nous parer de quelques phrases qui, dans le cadre du droit de citation et avec un hommage appuyé, ne nous auront rien coûté. Philippe Ratte inventa avec esprit le mot posthune.

Il est temps de parler de Jean-Joseph Goux

Je commençais à désespérer des philosophes quand sa piste me fut suggérée sans le savoir par un ami professeur de lettres classiques qui se trouvait occupé à écrire un manuel de classes Terminales pour l'année suivante. Le programme portait sur Les Faux Monnayeurs de Gide et mon camarade eut la bonne idée de me signaler Les monnayeurs du langage (Galilée, 1984) dans lequel, m'écrivait-il,  l'auteur analyse la place centrale de cette sombre histoire de monnaie, en bref l'abandon de la monnaie or comme paradigme de la remise en cause des valeurs par abandon du référent réel...

Le temps de me procurer le livre (fort mal distribuĂ©) chez l'Ă©diteur, derriĂšre la MosquĂ©e de Paris, d'en achever trĂšs vite la lecture, de commander aussi ceux que je lirais plus tard et je sus que ce philosophe, moins connu en France qu'aux États-Unis notamment pour son apport au post-structuralisme, promoteur du courant economic criticism qui y a eu un grand dĂ©veloppement, Ă©tait celui qui nous convenait. Ne pensais-je pas, comme lui, que la monnaie est parole, mais que cette parole doit valoir de l'or ?

Je lui Ă©crivis Ă  la Rice University de Houston, oĂč il enseignait encore rĂ©cemment, en ne lui parlant d'abord que du colloque rue d'Ulm, a priori un meilleur appĂąt que l'obligation d'Ă©crire une prĂ©face. Il rĂ©pondit au bout de quelques jours :

Je vous remercie de votre message et de votre intĂ©rĂȘt pour mes monnayeurs du langage. En ce qui concerne le bitcoin, c'est un sujet qui, bien entendu, m'intĂ©resse, qui est dans le fil des prĂ©occupations qui sont les miennes. Cependant, je ne peux pas dire que je maitrise encore toutes les arcanes de cette pratique monĂ©taire qui est Ă  la fois passionnante et souvent Ă©nigmatique et pleine de problĂšmes. Je suis sĂ»r cependant que les arriĂšres plans Ă  la fois financiers, politiques, symboliques, sĂ©miotiques, philosophiques, de la pratique du bitcoin sont considĂ©rables et mĂ©ritent d'ĂȘtre pris en compte et explicitĂ©s. Un colloque sur le sujet me semblerait une belle et prometteuse initiative .

Encore un Ă©change, aussi engageant, et je m'enhardis Ă  lui parler de notre ouvrage.

En juillet il nous apprit qu'il s'Ă©tait installĂ© Ă  Dijon et rĂ©pondit de nouveau fort obligeamment Ă  la prĂ©sentation de la maquette du livre :  Merci pour la maquette du livre dont vous prĂ©parez la publication. J'aurais voulu vous donner plus vite mon impression, mais j'ai Ă©tĂ© un peu bousculĂ© ces derniĂšres semaines. Tout ce dĂ©but est interessant, bien menĂ©, vivant, et donne envie d'aller plus loin. Votre parti pris de rejeter un peu plus loin ce qui pourrait ĂȘtre le plus ardu et le plus indigeste me semble bon. La curiositĂ© est piquĂ©e et le lecteur est prĂȘt a un effort plus grand. Bonne chance pour votre projet .

Le 29 septembre, Adli et moi faisions d'une pierre deux coups et prenions le train pour Dijon, pour le rencontrer avant de participer Ă  la session des  Villes Internet  qui s'y tenait et oĂč le Conseil GĂ©nĂ©ral de la CĂŽte d'Or nous servit de l'eau (locale, mais sans le charme des grands crus voisins qui nous auraient mieux disposĂ©s) interrompant notre participation Ă  ces Ă©vĂ©nements.

La rencontre matinale avec Jean-Joseph Goux dans le bistrot devant la gare, avait au contraire été trÚs enrichissante, et le long échange entre nous trois s'était déroulé de façon sympathique, respectueuse, érudite.

Le 9 décembre nous lui envoyions le manuscrit puis... il nous fallut attendre.

Durant ce temps je poursuivis mes contacts pour trouver de quoi garnir l'événement Bitcoin Pluribus Impar d'un peu de philosophie. Cela me donna le plaisir de faire la connaissance de Pierre Cassou-NogÚs, matheux devenu philosophe, qui accepta aprÚs une intéressante entrevue dans un bistrot prÚs de l'Odéon et délivra une intervention sur le Bitcoin vampire doté d'aura qui me plut énormément ne serait-ce que par l'humour dont il fit preuve pour répondre à la grande question :  qui exploite-t-on, au sens marxien, quand on s'enrichit avec le bitcoin ?  Mais je n'osai pas lui demander de préface, pour ne pas avoir à froisser l'un de mes deux seuls philosophes!

Fin janvier nouveau message de Dijon :  Veuillez m'excuser pour mon long silence. Je ne vous oublie pas, mais j'ai Ă©tĂ© extrĂȘmement bousculĂ© par des engagements prĂ©alables, des obligations familiales et amicales , des dĂ©placements divers. Je lis votre ouvrage avec Ă©normĂ©ment d'intĂ©rĂȘt. C'est une belle contribution Ă  la comprĂ©hension du bitcoin. Ne soyez pas trop impatients. Je n'ose pas fixer une date prĂ©cise pour l'envoi de la prĂ©face, mais je pense qu'il est raisonnable de compter encore quelques semaines. Merci pour votre lettre de voeux. A mon tour je vous adresse mes meilleurs voeux pour l'annĂ©e nouvelle .

La préface nous arriva finalement le 24 février 2017. Nous avons suggéré un ou deux petits changements de vocabulaire technique ; pour le reste nous étions enchantés.

Jean-Joseph Goux participa ensuite Ă  l'Ă©vĂ©nement rue d'Ulm en mai (revoyez sa passionnante intervention ici) et au Repas du Coin qui se tint Ă  Dijon en septembre de la mĂȘme annĂ©e.

Je lui redis ici toute notre sincĂšre reconnaissance.

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