Actu-crypto

🔒
❌ About FreshRSS
There are new articles available, click to refresh the page.
Before yesterdayYour RSS feeds

Découvrez quatre services de la DeFi à travers le démonstrateur CoFinance

June 9th 2021 at 11:18

Nouveau systĂšme financier basĂ© sur les technologie blockchain et les cryptoactifs, la finance dĂ©centralisĂ©e (DeFi, pour Decentralized Finance en anglais) offre une alternative numĂ©rique au systĂšme traditionnel, qu’elle vient Ă  la fois complĂ©ter et concurrencer.

CaractĂ©risĂ© par sa modularitĂ©, ce systĂšme se compose de multiples services centrĂ©s sur des besoins spĂ©cifiques (Ă©changes de crypto-actifs, stablecoins, prĂȘts, produits dĂ©rivĂ©s, fonds d’investissement, marchĂ©s prĂ©dictifs
) qui se combinent les uns avec les autres faisant ainsi Ă©merger de nouveaux usages chez les clients.

Au mois de Juin 2021, 60 milliards de dollars sont gĂ©rĂ©s par les smart-contracts et applicatifs de la DeFi, en progression exponentielle de 6000% par rapport Ă  l’annĂ©e derniĂšre. On y retrouve  dĂ©jĂ  des services sur toutes les verticales financiĂšres existantes. Le nombre d’utilisateurs a grimpĂ© de 0,2 Ă  2,5 millions en 1 an, ne reprĂ©sentant encore que 2% des dĂ©tenteurs de cryptoactifs dans le monde. 

Convaincus de la dimension stratĂ©gique de cette transformation et Ă  l’image d’acteurs comme BNY Mellon, Morgan Stanley, JP Morgan, StateStreet ou Citi qui ont fait part de leur volontĂ© de proposer des services relatifs Ă  la DeFi, Blockchain Partner by KPMG se positionne sur cette industrie Ă©mergente avec un dĂ©monstrateur agrĂ©geant 4 des principales solutions actuelles de la DeFi.

Co.Finance agrĂšge 4 des principales solutions DeFi : Uniswap (Echange dĂ©centralisĂ©), Aave (PrĂȘts et emprunts), Yearn finance (Fond d’investissement) et Unslashed finance (Assurance)

Actuellement, la multiplication des projets rend l’agrĂ©gation de plusieurs solutions nĂ©cessaire afin d’identifier les meilleures opportunitĂ©s, d’optimiser les frais et de limiter les risques en favorisant la diversification de portefeuille. Notre objectif est d’aider les dĂ©cideurs Ă  comprendre les enjeux liĂ©s Ă  l’essor de la DeFi en construisant une solution permettant de contrĂŽler et de gĂ©rer ses actifs numĂ©riques depuis une seule et mĂȘme interface.

Le Dashboard de Co.Finance permet de monitorer et gérer ses investissements et positions en une seule interface

En outre, les projets blockchain et crypto, plus que jamais, ont besoin d’asseoir leur lĂ©gitimitĂ© et leur crĂ©dibilitĂ© face aux acteurs traditionnels. Un des challenges pour faciliter l’adoption de ces solutions est de proposer des interfaces facilement intelligibles, qui masquent  la complexité  lexicale et technique inhĂ©rente aux  blockchains. Ainsi, l’interface de Co.Fi a Ă©tĂ© pensĂ©e pour ĂȘtre intuitive, sĂ©curisante et agrĂ©able Ă  utiliser au quotidien, dans le but de rendre cet Ă©cosystĂšme plus accessible en simplifiant l’UX au maximum.

Pour approfondir ces enjeux, venez dĂ©couvrir notre dĂ©monstrateur Ă  Vivatech sur le stand de KPMG, ou contactez-nous Ă  l’adresse suivante : cbalva@kpmg.fr

Blockchain Partner rejoint les Ă©quipes de KPMG France

March 15th 2021 at 09:43

Cinq ans jour pour jour aprÚs la fondation de Blockchain Partner (15/03/2016), les équipes dirigées par Claire Balva, Présidente, Alexandre Stachtchenko, Directeur Général et Maxime Hagenbourger, Directeur technique, rejoignent les équipes de KPMG France pour former la référence du conseil blockchain et crypto-actifs.

En cinq ans, le marchĂ© des blockchains et cryptomonnaies a considĂ©rablement Ă©voluĂ© : aprĂšs une large phase de dĂ©couverte et d’expĂ©rimentations par les organisations, les projets impliquant des briques “blockchain” nĂ©cessitent de plus en plus d’expertises sectorielles pointues dans les divers domaines oĂč ces innovations se dĂ©veloppent (finance, assurance, industrie, distribution, immobilier, etc.). Nos clients sont de plus en plus demandeurs d’accompagnement en droit, fiscalitĂ© et gestion des risques tout au long de leurs projets. De façon logique, Ă  mesure que les usages des blockchains se dĂ©ploient et que les cryptomonnaies se font une place au sein des entreprises, la palette des compĂ©tences recherchĂ©es s’élargit.

Pour pouvoir rĂ©pondre au mieux Ă  ces besoins, nous avons dĂ©cidĂ© de nous allier Ă  KPMG France, leader de l’audit et du conseil.

Cette intĂ©gration nous permet en effet d’enrichir considĂ©rablement notre offre de services. Les expertises sectorielles sur lesquelles s’appuie KPMG France seront prĂ©cieuses pour accĂ©lĂ©rer le dĂ©ploiement de ces technologies dans les logiques « mĂ©tiers », au plus prĂšs des besoins existants des organisations. Par ailleurs, KPMG France dispose d’une expertise juridique et fiscale largement reconnue, qui profitera Ă  nos clients existants et Ă  venir.

Au-delĂ  de nos complĂ©mentaritĂ©s d’expertises, nous partageons avec KPMG France une vision commune de l’évolution de ce marchĂ©, qui n’en est qu’à ses dĂ©buts. La crypto-Ă©conomie, dont les usages restent encore Ă©mergents mais en forte croissance, constitue une vague d’innovations de grande ampleur qui rebat les cartes de l’économie numĂ©rique et ouvre la voie Ă  de multiples opportunitĂ©s.

Webinar Blockchain & Assurance

November 12th 2020 at 22:56

Suite au succÚs de nos précédents webinars (Gaming, Immobilier, DeFi), Blockchain Partner organise le 24 novembre 2020 à 11h un webinar (gratuit) à destination des assureurs, sur le sujet blockchain & cryptoactifs.

Au programme : 

1- Comprendre les blockchains et les cryptoactifs
2- Exemples d’applications blockchain pour l’assurance : assurance indicielle, assurance P2P, polices d’assurance tokenisĂ©es, marchĂ©s prĂ©dictifs
3- Assurer les nouveaux risques liés aux cryptoactifs : un nouveau marché pour le secteur assurantiel
4- Questions & Réponses  

Le webinar aura lieu sur Google Meet. Le nombre de places étant limité, inscrivez-vous pour y participer !

IdentitĂ©s numĂ©riques : le CNNum soutient l’usage des ZKP

June 16th 2020 at 16:15

Le Conseil National du NumĂ©rique a publiĂ© lundi la synthĂšse de ses travaux sur les « identitĂ©s numĂ©riques » comme « clĂ©s de voĂ»te de la citoyennetĂ© numĂ©rique ». Le groupe de travail, composĂ© de Karine Dognin-Sauze, Mohammed Boumediane, Jean-Michel Mis, Gilles Babinet, Olivier Clatz et GaĂ«l Duval, a conduit ses travaux de janvier 2019 Ă  mars 2020 et a prĂ©sentĂ© son rapport Ă  CĂ©dric O, SecrĂ©taire d’Etat chargĂ© du numĂ©rique.

Nous relevons avec intĂ©rĂȘt que le CNNum plaide pour « offrir des moyens de vĂ©rification d’informations sans diffusion des donnĂ©es d’identitĂ© des citoyens Ă  travers des solutions s’appuyant sur le zero knowledge proof » (ZKP).

Les ZKP sont effectivement trĂšs prometteuses dans le cadre de l’identitĂ© numĂ©rique : c’est le sens de nos travaux de R&D sur le sujet, entamĂ©s l’an dernier et prĂ©sentĂ©s dans notre synthĂšse intitulĂ©e « Vers une identitĂ© numĂ©rique private by design ».

Le sujet est particuliĂšrement d’actualitĂ© avec le dĂ©bat autour du contrĂŽle de l’ñge concernant les sites pour adultes, qui a Ă©tĂ© approuvĂ© par l’AssemblĂ©e nationale et le SĂ©nat. La question de la mĂ©thode de vĂ©rification de l’ñge peut se prĂȘter Ă  l’exploration des ZKP.

L’exemple britannique a montrĂ© que cette volontĂ© de contrĂŽler l’ñge des visiteurs des sites pornographiques est condamnĂ©e Ă  rester un vƓu pieux tant qu’elle n’est pas accompagnĂ©e d’une solution technique crĂ©dible pour prĂ©server la confidentialitĂ© des internautes. Les ZKP, couplĂ©es aux technologies blockchain, pourraient rĂ©pondre Ă  ce problĂšme : Ă  tout le moins, elles mĂ©riteraient d’ĂȘtre Ă©tudiĂ©es et testĂ©es comme solution potentielle.

Nous sommes donc heureux de constater que les rĂ©flexions autour de l’usage des ZKP pour l’identitĂ© essaiment, et espĂ©rons pouvoir approfondir et mettre en pratique ces travaux au cours des prochains mois, comme nous avons commencĂ© Ă  le faire avec certains acteurs publics. Nous sommes Ă  disposition pour avancer sur le sujet.

***

Ci-dessous, retrouvez le passage entier du rapport du CNNum sur l’usage des ZKP pour l’identitĂ© numĂ©rique (page 89 du document) :

« Afin que l’identitĂ© numĂ©rique rĂ©ponde aux besoins des citoyens en termes de protection de la vie privĂ©e, et pour qu’elle puisse faire Ă©merger des nouveaux usages respectueux, celle-ci doit pouvoir offrir des moyens de vĂ©rification d’information sans une diffusion complĂšte des donnĂ©es d’identitĂ© des citoyens Ă  travers des solutions s’appuyant sur le zero knowledge proof (ZKP, en français : preuve Ă  divulgation nulle de connaissance). Il s’agit d’un prĂ©requis pour rĂ©pondre au principe de proportionnalitĂ© et Ă  l’idĂ©e de frugalitĂ© des donnĂ©es.

En effet, le choix d’inclure ce type de technologies dans l’identitĂ© numĂ©rique permettrait d’amĂ©liorer le rapport de confiance qu’ont les individus Ă  l’identitĂ© numĂ©rique, rĂ©pondant aux craintes de surveillance et au nĂ©cessaire besoin d’espace de vie privĂ©e. CombinĂ© Ă  une CNIe, l’utilisation du ZKP permettrait aux usagers d’accĂ©der Ă  certains services sans avoir Ă  donner l’ensemble de leur identitĂ©, qui est une information non pertinente pour l’usage visĂ©. Par exemple, obtenir des tarif d’accĂšs prĂ©fĂ©rentiels aux Ă©quipements sportifs pour les habitants d’une collectivitĂ© locale sans avoir Ă  rĂ©vĂ©ler l’ensemble de leurs donnĂ©es d’identitĂ©. »

IdentitĂ©s numĂ©riques : le CNNum soutient l’usage des ZKP

June 16th 2020 at 16:15

Le Conseil National du NumĂ©rique a publiĂ© lundi la synthĂšse de ses travaux sur les « identitĂ©s numĂ©riques » comme « clĂ©s de voĂ»te de la citoyennetĂ© numĂ©rique ». Le groupe de travail, composĂ© de Karine Dognin-Sauze, Mohammed Boumediane, Jean-Michel Mis, Gilles Babinet, Olivier Clatz et GaĂ«l Duval, a conduit ses travaux de janvier 2019 Ă  mars 2020 et a prĂ©sentĂ© son rapport Ă  CĂ©dric O, SecrĂ©taire d’Etat chargĂ© du numĂ©rique.

Nous relevons avec intĂ©rĂȘt que le CNNum plaide pour « offrir des moyens de vĂ©rification d’informations sans diffusion des donnĂ©es d’identitĂ© des citoyens Ă  travers des solutions s’appuyant sur le zero knowledge proof » (ZKP).

Les ZKP sont effectivement trĂšs prometteuses dans le cadre de l’identitĂ© numĂ©rique : c’est le sens de nos travaux de R&D sur le sujet, entamĂ©s l’an dernier et prĂ©sentĂ©s dans notre synthĂšse intitulĂ©e « Vers une identitĂ© numĂ©rique private by design ».

Le sujet est particuliĂšrement d’actualitĂ© avec le dĂ©bat autour du contrĂŽle de l’ñge concernant les sites pour adultes, qui a Ă©tĂ© approuvĂ© par l’AssemblĂ©e nationale et le SĂ©nat. La question de la mĂ©thode de vĂ©rification de l’ñge peut se prĂȘter Ă  l’exploration des ZKP.

L’exemple britannique a montrĂ© que cette volontĂ© de contrĂŽler l’ñge des visiteurs des sites pornographiques est condamnĂ©e Ă  rester un vƓu pieux tant qu’elle n’est pas accompagnĂ©e d’une solution technique crĂ©dible pour prĂ©server la confidentialitĂ© des internautes. Les ZKP, couplĂ©es aux technologies blockchain, pourraient rĂ©pondre Ă  ce problĂšme : Ă  tout le moins, elles mĂ©riteraient d’ĂȘtre Ă©tudiĂ©es et testĂ©es comme solution potentielle.

Nous sommes donc heureux de constater que les rĂ©flexions autour de l’usage des ZKP pour l’identitĂ© essaiment, et espĂ©rons pouvoir approfondir et mettre en pratique ces travaux au cours des prochains mois, comme nous avons commencĂ© Ă  le faire avec certains acteurs publics. Nous sommes Ă  disposition pour avancer sur le sujet.

***

Ci-dessous, retrouvez le passage entier du rapport du CNNum sur l’usage des ZKP pour l’identitĂ© numĂ©rique (page 89 du document) :

« Afin que l’identitĂ© numĂ©rique rĂ©ponde aux besoins des citoyens en termes de protection de la vie privĂ©e, et pour qu’elle puisse faire Ă©merger des nouveaux usages respectueux, celle-ci doit pouvoir offrir des moyens de vĂ©rification d’information sans une diffusion complĂšte des donnĂ©es d’identitĂ© des citoyens Ă  travers des solutions s’appuyant sur le zero knowledge proof (ZKP, en français : preuve Ă  divulgation nulle de connaissance). Il s’agit d’un prĂ©requis pour rĂ©pondre au principe de proportionnalitĂ© et Ă  l’idĂ©e de frugalitĂ© des donnĂ©es.

En effet, le choix d’inclure ce type de technologies dans l’identitĂ© numĂ©rique permettrait d’amĂ©liorer le rapport de confiance qu’ont les individus Ă  l’identitĂ© numĂ©rique, rĂ©pondant aux craintes de surveillance et au nĂ©cessaire besoin d’espace de vie privĂ©e. CombinĂ© Ă  une CNIe, l’utilisation du ZKP permettrait aux usagers d’accĂ©der Ă  certains services sans avoir Ă  donner l’ensemble de leur identitĂ©, qui est une information non pertinente pour l’usage visĂ©. Par exemple, obtenir des tarif d’accĂšs prĂ©fĂ©rentiels aux Ă©quipements sportifs pour les habitants d’une collectivitĂ© locale sans avoir Ă  rĂ©vĂ©ler l’ensemble de leurs donnĂ©es d’identitĂ©. »

L’article IdentitĂ©s numĂ©riques : le CNNum soutient l’usage des ZKP est apparu en premier sur Blockchain Partner.

❌