En période de bull run, les chutes du Bitcoin ne sont que passagères. Mais le BTC est-il toujours en marché haussier après une chute de 20 % et un passage sous les 100 000 $ ? Selon un analyste, le roi des cryptomonnaies est contrôlé par les acheteurs tant qu’il est au-delà de sa moyenne mobile sur un an. De plus, même si le cours a chuté sous le prix moyen d’achat des détenteurs à court terme, ces opérateurs continuent d’accumuler. Quelle est la situation on-chain et technique après une période de baisse sur le Bitcoin ? On fait le point sur la première capitalisation des cryptomonnaies dans The Market Check !

Le cours du Bitcoin a perdu un niveau on-chain important

Les détenteurs à court terme sont des entités qui ont acquis des BTC au cours des 155 derniers jours. Or, grâce aux données on-chain, on est capable de suivre l’évolution du prix moyen d’achat des détenteurs à court terme (courbe orange). Cette métrique est importante, car le roi des cryptomonnaies a tendance réagir autour de ce niveau. En septembre, le BTC a rebondi deux fois sur la courbe orange, et à la fin du mois d’octobre, le seuil on-chain a fait résistance :

Suite au rejet, le cours du Bitcoin a enregistré de la volatilité baissière, et il a chuté sous les 100 000 $. Le cours est fragile en théorie tant qu’il ne repasse pas nettement au-delà de la courbe orange. Elle est localisée à 111 700 $ au moment d’écrire ces lignes.

Malgré tout, on note que le BTC a chuté plusieurs fois sous le seuil on-chain depuis le début du cycle haussier. Le roi des cryptomonnaies pourrait donc encore une fois parvenir à repartir à la hausse lorsque la pression vendeuse se sera atténuée.

Retour sur la moyenne mobile à 365 jours pour le Bitcoin

Les moyennes mobiles à 128 jours (bleu) et à 200 jours (rouge) n’ont pas engendré un rebond suffisant pour aller chercher un nouvel ATH sur le Bitcoin. Dès lors, le roi des cryptomonnaies a retrouvé la moyenne mobile à 365 jours (orange) :

En début d’année, ce niveau technique avait permis au cours de se relancer. Et on peut espérer que le même scénario va se mettre en place avec le retour autour des 100 000 $. Car pour l’instant, les trois moyennes mobiles sont toujours orientées à la hausse. Par conséquent, même si les vendeurs ont la main à court terme, la tendance de fond est toujours haussière selon ces indicateurs techniques.

Période de peur sur le marché des cryptomonnaies

Une chute de 20 % en période de bull market est plutôt classique pour le cours du Bitcoin. Mais même si cette baisse n’est pas catastrophique si on prend en compte la hausse du roi des cryptos sur les dernières années, elle est suffisante pour plonger le marché dans la peur :

Pour la troisième fois depuis le plus bas enregistré en 2022, le Crypto Fear and Greed est revenu dans la zone rouge (peur extrême). Or, les deux dernières fois, cette situation avait coïncidé avec un retour de la demande.

Le MVRV Z-Score n’est toujours pas revenu en zone de surchauffe sur ce cycle haussier

Le Bitcoin est passé de 15 000 $ à plus de 125 000 $ en l’espace de quelques années. Si cette hausse est fulgurante pour le roi des cryptomonnaies, c’est insuffisant pour être considéré comme un excès haussier selon le MVRV Z-Score :

Le MVRV Z-Score est un indicateur qui fonctionne très bien pour détecter les plus bas de marché ainsi que les tops de marché. En ce moment, la métrique est en train de chuter, et elle est bien loin de la zone de surchauffe (rouge). Elle est donc toujours encourageante, mais attention, car le marché a considérablement évolué sur ces dernières années, et le MVRV Z-Score pourrait devenir moins efficace.

Les points clés à retenir

Le cours du Bitcoin pourrait être loin d’un top final si on se réfère au MVRV Z-Score. Avec une chute de plus de 20 %, le BTC se retrouve sur un niveau critique autour de la moyenne mobile à 365 jours. Celle-ci pourrait bien relancer le cours, comme en début d’année. Mais si les acheteurs restent endormis, la baisse pourrait continuer et la tendance haussière pourrait finir par être remise en cause. Malheureusement, la Fed de J. Powell ne semble pas vouloir voler au secours du Bitcoin.

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La nouvelle donne de la SEC. Depuis le changement de patron au sein de la Securities and Exchange Commission (SEC), sa politique est devenue infiniment plus favorable à Bitcoin et aux cryptomonnaies. En effet, Paul Atkins a rapidement mis en place une nouvelle approche réglementaire destinée à accompagner la jeune classe d’actifs, plutôt que de tenter de l’asphyxier comme son prédécesseur anti-crypto Gary Gensler. Une dynamique qui vient de donner lieu à un discours important, dont le but était de définir les rares cas de figure sous lesquels la SEC compte intervenir dans le domaine des cryptomonnaies.

Paul Atkins précise sa « nouvelle approche réglementaire » pro-innovation

Paul Atkins, le nouveau patron de la Securities and Exchange Commission, semble bien décidé à continuer le changement radicalement de politique au sujet des cryptomonnaies. Une volonté réaffirmée encore tout récemment, à l’occasion d’un discours dont le but était de préciser les objectifs de cette nouvelle approche réglementaire.

Lors de la Ninth Annual Fintech Conference de la Fed régionale de Philadelphie, le président de la SEC à souhaiter faire un point le plus clair possible sur les cryptomonnaies considérées comme des valeurs mobilières (securities). Ce qui constitue déjà en soi un sacré contraste avec son prédécesseur Gary Gensler, que Paul Atkins semble tacler au passage sur X. Regardez l’extrait qu’il choisit de son discours :

« Dans une société libre, les règles qui régissent la vie économique devraient être connues, raisonnées et dûment circonscrites. Lorsque nous étirions les lois sur les valeurs mobilières au-delà de leur portée appropriée, lorsque nous traitions chaque innovation comme présumée suspecte, nous nous égarions de ce principe fondamental. [À l’inverse,] lorsque nous reconnaissons les limites de notre autorité, lorsque nous admettons que les contrats d’investissement peuvent prendre fin et que les réseaux [blockchains] peuvent se tenir sur leurs propres mérites, nous l’honorons. »

Paul Atkins, président de Securities and Exchange Commission des États-Unis

Quels tokens sont des valeurs mobilières du point de vue de la SEC ?

La question est donc : quels cryptos/tokens doivent être considérés comme des securities ? C’est-à-dire, comme des actifs numériques dont la promesse de valeur future dépend des efforts de gestion d’une tierce partie.

Pour Paul Atkins, c’est déjà une définition qui NE concerne PAS les cryptomonnaies « liées à un réseau blockchain fonctionnel et décentralisé ». Comme par exemple le BTC pour Bitcoin, l’ETH pour Ethereum, le SOL pour Solana, etc. Dans le même temps, Paul Atkins exclut également les jetons de collection numérique que sont les NFT (les tokens non fongibles) et autres outils numériques. C’est-à-dire les actifs numériques qui fournissent une fonction pratique, comme un billet, une adhésion ou un badge.

Dans les faits, la majorité des cryptomonnaies en circulation ne tombent pas sous la juridiction de la SEC (l’exact inverse de ce que prétendait la précédente présidence). Toutefois, Paul Atkins précise que les valeurs mobilières tokenisées – c’est-à-dire les représentations de valeurs mobilières déjà réglementées par la SEC (comme des actions d’entreprises) qui se négocient on-chain  – resteront sous la juridiction du régulateur US.

Le nouveau patron de la SEC souhaite  recentrer son action sur les valeurs mobilières, et dans ce cadre, les cryptomonnaies semblent donc très peu concernées, sauf dans des cas d’évidence comme pour les actions tokenisés, qui sont simplement des securities numérisées sur blockchains (tokenisation RWA). Paul Atkins déclare que « si la formation de capital doit continuer à être supervisée par la SEC, nous ne devrions pas freiner l’innovation et le choix des investisseurs ».

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Sur le marché des cryptomonnaies, les tendances s’enchaînent à un rythme effréné. Actuellement, les DEX de contrats perpétuels sont en pleine effervescence et ne cessent de faire parler d’eux. Parmi les acteurs émergents, Aster occupe le devant de la scène depuis quelques semaines, porté par une flambée du prix de son token, une visibilité renforcée grâce à Changpeng Zhao (CZ – ex-CEO de Binance) sur X, et trois airdrops consécutifs.

Vous souhaitez être éligible au 4ᵉ airdrop ou simplement apprendre à utiliser la plateforme ? On vous propose ici un guide qui détaille toutes les étapes à suivre pour utiliser ce DEX ainsi qu’un tour d’horizon des fonctionnalités qu’il propose. Et rassurez-vous : pas besoin d’être un expert ni un trader aguerri pour en profiter. C’est parti !

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Aster.

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Présentation générale d’Aster

Née de la fusion fin 2024 entre Astherus (un protocole de liquidité multi-actifs/yield) et APX Finance (un protocole spécialisé dans les contrats perpétuels), Aster DEX est une plateforme de trading décentralisée qui propose principalement des contrats perpétuels et quelques jetons en spot (l’offre s’élargit avec le temps). Soutenue par YZi Labs (ex-Binance Labs – la branche d’incubation/finance de Binance) et bénéficiant du soutien public de CZ, elle a fait le buzz sur les réseaux sociaux, a enregistré des volumes records et vu une envolée du prix de son jeton de gouvernance (TGE le 17 septembre 2025).

Elle se distingue de la concurrence avec notamment :

• Le levier maximal le plus important du marché : 1001x ;
• Des frais ultra-compétitifs : 0,005 % pour les makers, pouvant être encore réduit grâce au programme VIP (voir plus bas) ;
• Un support multichaînes : BNB Chain, Ethereum, Arbitrum et Solana ;
• Des fonctionnalités avancées telles que la possibilité de passer des ordres cachés et une protection contre la MEV ;
• La possibilité de trader des cryptomonnaies et des actions sur une même interface (en contrats perpétuels) ;
• La possibilité de générer du rendement avec le collatéral servant à ouvrir les trades.

Pour son deuxième airdrop, Aster s’est aussi démarqué de ce qui se fait habituellement en proposant aux heureux élus de recevoir des jetons ASTER ou d’être remboursé à 100 % des frais occasionnés par leur trades durant la 2ᵉ saison. Avec ce système, tous les utilisateurs sont forcément gagnants.

Public cible

En quelques semaines, la plateforme a déjà attiré plusieurs millions d’utilisateurs. Aster s’adresse essentiellement aux traders actifs recherchant des outils professionnels, et à ceux qui apprécient d’avoir le contrôle de leurs fonds grâce à son modèle non-custodial.

La plateforme reste cependant complexe pour les débutants, non régulée comme tout DEX, avec un token ASTER extrêmement volatil. Elle nécessite d’être à l’aise avec l’utilisation d’un wallet non custodial et de savoir interagir avec un smart contact. Elle demande aussi de bien comprendre les risques associés sur lesquels nous reviendrons plus loin.

Pour ne pas voir votre portfolio fondre comme la neige au soleil, vous devez entre autres savoir gérer les risques de liquidation et les frais de financement si vous voulez vous exposer aux contrats perpétuels.

Tour d’horizon des produits et des fonctionnalités

Les contrats perpétuels

Produits phares de la plateforme, Aster propose plus de 120 contrats perpétuels à échanger.

Aster se démarque de la concurrence en proposant une large palette de cryptomonnaies, mais aussi 9 actions US (Tesla, Amazon, Apple, Nvidia, Microsoft, Meta, Google, Sharplink gaming et Invesco QQQ) échangeables 7/7j et 24/24h.

L’effet de levier dépend des actifs et va de 5x à 300x.

Que ce soit pour le trading spot ou les contrats perpétuels, Aster intègre l’interface de TradingView avec ses multiples indicateurs techniques, ses outils de dessin et ses fonctions avancées.

Le carnet d’ordre est positionné sur la gauche de la courbe des prix.

Aster offre la possibilité de passer tous types d’ordres :

• Ordre au marché : exécution immédiate (priorité à la vitesse mais frais plus importants) ;
• Ordre limité : prix fixé, idéal pour les entrées planifiées et les frais réduits ;
• Ordre stop marché : déclenchement automatique au prix fixé, et exécution immédiate à n’importe quel prix ;
• Ordre stop limité : déclenchement automatique au prix fixé et exécution au prix voulu (exécution incertaine) ;
• Stop suiveur : suit le prix et se déclenche si le prix s’inverse d’un pourcentage (ou montant) prédéterminé.
• Post-only : évite les frais de taker en s’annulant s’il coïncide avec un ordre apparaissant dans le carnet.

Il est bien entendu possible de configurer des Take-Profit et Stop-Loss à tout moment.

Enfin, en allant dans les options avancées, il est possible de passer des ordres cachés invisibles dans l’orderbook, pour réduire votre impact sur le marché et éviter de vous faire chasser par les bots. L’objectif principal de cette fonctionnalité est de protéger les gros traders en cachant leurs ordres afin d’éviter des manipulations de marché visant à provoquer leur liquidation.

Aster propose aussi un « Hedge Mode » qui offre la possibilité d’ouvrir des positions longues et courtes simultanément sur la même paire, pour gérer le risque ou faire du delta-neutre.

Tous les trades peuvent être passés de manière isolée ou en marge croisée en utilisant différents actifs comme collatéral (si vous utilisez les assets d’Aster (voir plus loin), vous devez forcément utiliser la marge croisée).

Les frais pour le trading de contrats perpétuels

Aster pratique des frais parmi les plus bas du marché pour les cryptos :

• 0.005 % pour les ordres limites (maker)
• 0.04 % pour les ordres au marché (taker)

Pour les actions US, ils étaient légèrement plus importants mais ASTER les a récemment diminués pour en faire l’un des meilleures offres du marché :

• 0 % pour les ordres limite (maker)
• 0.1 % pour les ordres au marché (taker)

Si vous payez vos frais en ASTER (il suffit d’en avoir dans votre portefeuille perps) vous bénéficiez de 5 % de réduction.

À partir de 5 millions de volume sur 14 jours glissants, vous devenez VIP et obtenez des frais réduits :

Les frais de liquidation sont de 0.5 % et les frais de financement varient en fonction des actifs tradés.

Le levier 1001x

Il est possible d’appliquer un effet de levier allant de 75x à 1001x sur une trentaine de cryptomonnaies, mais aussi en forex sur 6 monnaies fiat face à l’USD, à 9 actions US et à l’or via le PAXG de Paxos.

Ce type de trade est extrêmement risqué et vous pouvez perdre tout le capital engagé en quelques secondes si le prix part dans la direction opposée à celle que vous aviez prévue. Une variation de 0,10% suffit pour provoquer une liquidation.

Frais et conditions

Les frais sont différents de ceux appliqués pour les contrats perpétuels classiques et dépendent de l’effet de levier appliqué et de l’actif :

• Levier < 500x :
  • Ajout de marge possible sur positions ouvertes
  • Frais standard de 0,08% à l’ouverture/fermeture
• Levier ≥ 500x :
  • Ajout de marge impossible
  • ROI net maximal plafonné (500% pour 500-750×, 300% pour 1001×)
• BTC / USD :
  • Levier maximum 1001×
  • Frais 0% à l’ouverture pour leviers ≥500× + frais de 15 % du PnL à la clôture avec un minimum de 0.03 %
  • Slippage réduit
• ETH / USD :
  • Levier max 1001×, frais standard 0,08%
• Autres cryptos :
  • Levier max 75×, frais standard 0,08%
• Forex :
  • Levier max 200×, frais réduits à 0,02%

Le trading spot

Aster propose actuellement une 20aine de cryptomonnaies en trading spot mais l’offre s’élargit semaine après semaine.

Vous y trouverez les jetons les plus populaires du marché (BTC, ETH, BNB, …) mais aussi des tokens beaucoup moins connus (币安人生, 財務自由, 4 , 客服小何….).

L’interface et les types d’ordre sont identiques à ceux des contrats perpétuels

Frais du trading spot

Ici aussi Aster est ultra agressif avec des frais parmi les plus bas du marché :

• 0.04 % pour les ordres au marché (taker)
• 0.005 % pour les ordres limite (maker)

Vous bénéficiez aussi de 5 % de réduction en payant en token ASTER.

Les produits à rendement

Aster propose 5 jetons qui offrent des revenus passifs. Vous les trouverez dans l’onglet « More » puis « Earn » (1). Pour savoir d’où provient le rendement annoncé, passez votre souris sur le « i » à côté de l’APY (2).

L’USDF est un stablecoin de la Binance Chain qui se positionne entre les stablecoins centralisés (USDT, USDC) et décentralisés (DAI, USDe).

Les asBNB et asUSDF peuvent être utilisés comme collatéral pour ouvrir vos trades. Pour ce faire, rendez-vous dans l’onglet de trading et cliquez sur « Multi asset mode » puis confirmez.

Les points et le programme de parrainage

Après avoir déployé avec succès plusieurs phases d’airdrop (Aster Spectra stage 1, Aster Genesis Stage 2, Aster Dawn Stage 3), Aster remet le couvert avec une nouvelle : ASTER HARVEST STAGE 4. Cette quatrième phase se déroule pendant 6 semaines, du 10 novembre 0h00 UTC au 21 décembre 23h59 UTC. L’allocation totale pour le Stage 4 est de 1.5%.

Aster valorise l’approche communautaire en offrant des multiplicateurs de récompenses pour le farming d’équipe. Pour gagner un maximum de points, vous pouvez utiliser notre lien de parrainage lors de votre première connexion. Cette affiliation nous reverse 10% des frais générés, ce qui soutient notre travail. Merci à ceux d’entre vous qui l’utiliseront ! Si vous avez déjà rejoint Aster sans utiliser de lien de parrainage, vous pouvez toujours vous joindre à notre équipe en allant dans l’onglet « Reward » puis « Points » puis en entrant le code B557Fd.

Vous pourrez à votre tour générer un code de parrainage pour inviter de nouveaux membres (et toucher des récompenses).

Si vous êtes intéressé pour farmer l’airdrop, nous avons écrit un article qui explique comment marquer un maximum de points. La nouveauté pour la saison 3 avait été la prise en compte du trading spot. La saison 4 qui vient de débuter introduit quant à elle la possibilité de gagner des points  supplémentaires en utilisant le token $ASTER en tant que collatéral. 

En résumé, l’activité est mesurée à l’aide des points, calculés chaque semaine. À la fin de chaque semaine, appelée epoch, les points sont remis à zéro, et le farming redémarre. Ainsi, une allocation hebdomadaire de 0,25 % des tokens $ASTER est mise en jeu à chaque epoch.

Plusieurs critères sont retenus pour générer des points :

• Le volume de trading : basé seulement sur le volume des trades en mode Perpetuals et Spot. Les ordres takers valent 2× plus que les ordres makers.
• Le temps de détention : plus une position est gardée longtemps, plus elle rapporte de points (plafond = 2× le volume hebdomadaire).
• La détention d’actifs d’Aster (ASTER, asBNB et USDF) : utiliser ces actifs comme marge donne des points .
• Votre PnL : les traders performants gagnent plus de points que ceux qui perdent de l’argent.
• Le parrainage : si vous utilisez notre lien de parrainage lors de votre première connexion, nous récupérons 10% des frais que vous générez. Si vous parrainez à votre tour, vous toucherez la même chose.

Le total des points se calcule de la manière suivante :

Points = (Trade points + Position points + Aster Assets points + Profit points + Loss points) × Team boost + Referral points

Rocket Launch

Pour soutenir la croissance des projets émergents et offrir à ses utilisateurs un accès early, Aster à mis en place « Rocket Launch ».

Lorsqu’une campagne est en cours, des récompenses sont versées aux utilisateurs qui tradent le jeton concerné (via une pool de récompenses financée conjointement par $ASTER et le jeton natif du projet). Pour participer, les utilisateurs doivent détenir un certain montant de jetons ASTER pendant la durée de la campagne.

Les récompenses seront distribuées sur les comptes spot des utilisateurs dans les 14 jours suivant la fin de la campagne.

Comment utiliser la plateforme ?

Aster est accessible via sa version web ou en téléchargeant l’application sur Android via Google Play Store ou sur iOS via Apple Store.

Pour interagir avec le protocole, vous devez disposer d’un wallet non custodial (style Rabby ou Metamask) et savoir l’utiliser.

Comme pour la plupart des dApps, aucun KYC n’est requis et vous pouvez utiliser la plateforme en tout anonymat.

Se connecter à Aster

Pour vous connecter à la plateforme, utilisez simplement le bouton « Connect wallet » situé en haut à droite de l’interface.

Choisissez le wallet que vous utilisez et signez l’autorisation qui s’affiche. La connexion se fait sur la BNB Chain. Il vous faut donc un peu de BNB sur votre adresse pour être en mesure de payer les frais de gas.

Déposer des fonds

Pour pouvoir utiliser la plateforme, vous devez y déposer des fonds. Cliquez sur « Deposit » à droite de l’interface. Choisissez ensuite le compte que vous voulez alimenter (contrats perpétuels ou spot) (1) la blockchain sur laquelle se trouve vos fonds (BNB Chain, Solana, Ethereum, Arbitrum) (2) et le jeton et le montant que vous souhaitez déposer (choix entre une dizaine de tokens) (3).

Vous verrez apparaître vos assets dans l’onglet « Portefolio ».

Trader

Allez sur l’onglet qui vous intéresse (Perpetual / 1001x / Spot) (1), puis sélectionnez le jeton sur lequel vous voulez prendre position (2). Déterminez tous les paramètres de votre trade (levier, marge croisée ou non, type d’ordre, long ou short…) (3) puis validez.

Vous verrez apparaître les détails de vos positions en cours en bas de l’écran avec la possibilité de mettre en place des SL/TP (4) ou de fermer vos ordres manuellement (5).

Les risques

Les risques principaux sont liés à la volatilité des prix, amplifiée par l’effet de levier :

• Volatilité extrême amplifiée par l’effet de levier : les cryptomonnaies sont intrinsèquement volatiles, avec des fluctuations pouvant fréquemment atteindre ±20% en 24h. Avec un levier 100x, cette volatilité est amplifiée : un mouvement de 1% contre vous signifie une perte de 100% de votre marge (0.1 % pour un levier de 1000x) ;
• Liquidations brutales : le prix de liquidation est très proche du prix d’entrée sur les positions à haut levier. Les liquidations surviennent sans avertissement lors de pics de volatilité et les « liquidations en cascade » peuvent amplifier les mouvements de marché ;
• Frais de financement : les frais de financement sont prélevés toutes les 4 heures, même sur positions non rentables. Ils peuvent être positifs ou négatifs et ont un impact non négligeable sur les positions maintenues pendant longtemps ;

Au-delà des risques classiques du trading à effet de levier, Aster présente des vulnérabilités techniques spécifiques aux protocoles décentralisés :

• Sécurité des smarts contracts : la plateforme reste exposée à d’éventuelles failles de code pouvant mener à des hacks, malgré les audits réalisés. Une vulnérabilité non détectée pourrait compromettre les fonds des utilisateurs.
• Fiabilité des oracles : la justesse des prix des actifs dépend des oracles. Toute défaillance ou manipulation de ces sources pourrait fausser la valorisation des actifs, déclenchant des liquidations injustifiées.
• Dépendance aux blockchains sous-jacentes : Aster hérite aussi des risques des réseaux qu’elle utilise (BNB Chain, Ethereum, Solana, Arbitrum).

Pour conclure

Aster est une plateforme sophistiquée offrant des possibilités avancées pour les traders avertis, tout en présentant des risques substantiels qu’il importe de bien appréhender. Les investisseurs prudents peuvent cependant adopter plusieurs stratégies pour naviguer sur Aster en toute sérénité : privilégier des leviers modérés, se concentrer sur le trading spot, ou allouer une partie de leur portefeuille aux produits à rendement. Ces approches offrent un accès à la plateforme tout en limitant les risques.

Une autre stratégie, plus spéculative, consiste à accumuler un maximum de points en vue du prochain airdrop. Si vous n’êtes pas trader vous pouvez simplement ouvrir des positions opposées sur différentes plateformes ou via plusieurs portefeuilles pour faire du volume sans être exposé à la volatilité (attention aux frais de financement).

Aster propose un environnement trading aussi riche que complexe, où chaque participant doit soigneusement calibrer son engagement en fonction de sa tolérance au risque et de ses compétences techniques. La prudence, l’éducation et l’expérience demeurent les meilleurs atouts pour profiter des possibilités offertes sans se brûler les ailes.

Le projet n’en est qu’à ses débuts et Aster pourrait envisager de développer sa propre Layer 1, à l’image d’Hyperliquid, ouvrant ainsi la voie à la création de nouveaux projets au sein de son écosystème.

L’article Aster : Guide et tuto pour utiliser la plateforme – Le bon plan crypto est apparu en premier sur Journal du Coin.

La course à l’ETF XRP. Alors que l’on attend toujours le lancement des ETF XRP de Franklin Templeton et de ProShares, un autre acteur pourrait bien leur passer devant. En effet, Canary Capital vient de déposer le fameux formulaire 8-A auprès de la SEC qui précède généralement de quelques jours le lancement officiel du produit financier. C’est donc peut-être dès demain que les parts de ce nouveau fonds négocié en bourse seront disponibles sur le NASDAQ.

Canary Capital pourrait être le troisième émetteur à lancer un ETF XRP

Après le RexShares XRP ETF lancé le 19 septembre dernier et le Osprey XRP ETF lancé le 26 septembre, c’est peut-être au tour de Canary Capital de proposer son propre ETF XRP.

La société basée à Nashville dans le Tennessee a en effet déposé le formulaire 8-A auprès de la SEC qui est une obligation règlementaire pour toutes les entreprises qui veulent enregistrer des titres financiers et cela signifie que le lancement est imminent.

Selon les spécialistes du secteur, on pourrait même voir les parts de ce nouveau fonds négocié en bourse débarquer sur le NASDAQ dès demain, jeudi 13 novembre :

« Canary Capital a déposé le formulaire 8-A pour son ETF XRP hier soir, ce qui indique un lancement demain ou après-demain. (…) Ce n’est pas encore fait mais toutes les cases sont cochées. Restez à l’écoute. »

Eric Balchunas, spécialiste des ETF chez Bloomberg – Source : Compte X

Qui sera le prochain à lancer un ETF XRP ?

Avec le dépôt de ce formulaire, Canary Capital devance donc Franklin Templeton et ProShares qui ont pourtant été approuvés par la SEC le même jour, le 15 août dernier, mais qui n’ont toujours pas lancé leurs produits financiers.

Pour rappel, Franklin Templeton a vu son ETF XRP validé par la SEC en même temps que celui de BlackRock et de Fidelity qui ont tous les deux été lancés le 5 septembre dernier alors que ProShares avait vu le sien approuvé le 12 septembre.

Les observateurs s’attendent donc à voir ces deux acteurs majeurs du secteur lancer leurs produits financiers d’un jour à l’autre, mais c’est finalement Canary Capital qui pourrait bien créer la surprise en passant devant tout le monde !

Le marché des ETF XRP aux États-Unis est donc sur le point de s’agrandir avec un troisième produit financier qui sera disponible sur le NASDAQ et on attend toujours les lancements de Franklin Templeton et de ProShares pour compléter le tableau. La folie des ETF crypto n’est pas près de s’arrêter, même si on ne le sent pas vraiment sur les cours…

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Les mains faibles rendent riches les baleines. Les whales, ou baleines, sont des investisseurs qui possèdent d’importants fonds en cryptomonnaie. Ces derniers sont souvent à l’origine de tendance sur le marché. Ainsi, lorsqu’ils accumulent un actif, cela peut être signe d’une hausse à venir. En tout cas, c’est exactement ce qu’il se passe actuellement pour Ethereum (ETH). Alors que le cours de l’ether peinent énormément à repartir à la hausse depuis plusieurs semaines, les baleines profitent de l’occasion pour accumuler des millions de dollars d’ETH des ventes panique des petits investisseurs.

Les baleines accumulent les ETH à des prix soldés grâce aux krills

Dans la plupart des marchés financiers, plutôt de regarder seulement les cours qui font parfois des montagnes russes, il vaut mieux observer les baleines, ces très gros traders qui vont souvent à contre-courant de la masse de petits investisseurs (les krills), et qui savent souvent anticiper les mouvements à long terme.

Et si on observe ces baleines dans le secteur des cryptomonnaies, comme dans une récente analyse de Decrypt, on constate que ces très riches investisseurs ont massivement acheté Ethereum ces derniers jours.

Seulement trois de ces entités ont ainsi récemment acheté pour un total combiné de plus de 102 800 ethers et wrapped ETH, représentant une somme globale de plus de 360 000 millions de dollars au cours actuelle de cette cryptomonnaie.

Ces gros traders flairent-ils la reprise du bull run pour Ethereum ?

Pour Rachel Lin, la CEO de SynFutures citée par Decrypt, ces acquisitions massives peuvent être liées à des investisseurs institutionnels ou à des trésoreries d’entreprises (Digital Asset Treasuries, ou DAT) qui profitent de la baisse des prix pour accumuler les ETH vendus par les mains faibles.

« La taille et la rapidité (…) suggèrent des participants institutionnels ou des acheteurs de trésorerie plutôt que des particuliers. (…) L’accumulation peut se poursuivre si les risques macroéconomiques ne remontent pas en flèche. »

Rachel Lin, la CEO de SynFutures

L’incertitude macroéconomique reste donc un facteur limitant pour les prix pour l’instant, mais les très gros investisseurs semblent manifestement confiants dans l’avenir à moyen/long pour l’ETH. D’autant qu’une nouvelle mise à jour, le hard fork Fusaka, devrait être déployé sur le réseau principal d’Ethereum le 3 décembre 2025.

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Blockchain for planet. La société de stockage d’énergie solaire Turbo Energy a annoncé un partenariat avec Taurus et la Stellar Development Foundation pour financer des projets d’énergie propre. Cette collaboration vise à tokeniser le financement des installations solaires hybrides et de batteries, en utilisant la blockchain Stellar (XLM). Le projet pilote débutera dans un supermarché en Espagne.

Turbo Energy, Taurus et Stellar s’associent pour financer l’énergie propre

Turbo Energy est une société spécialisée dans le stockage d’énergie solaire et elle souhaite désormais se tourner vers la blockchain pour financer des projets d’énergie propre. C’est pourquoi Turbo Energy vient d’annoncer un partenariat avec Taurus et la Stellar Development Foundation pour tokeniser le financement de projets solaires hybrides.

Selon le document officiel, ce partenariat permettra de créer des jetons représentant des parts fractionnées du financement de projets solaires. Ils seront émis et gérés sur la plateforme de tokenisation de Taurus, et enregistrés sur la blockchain Stellar.

Cette initiative vise à démocratiser l’accès aux investissements durables en réduisant les coûts d’entrée et il débutera avec un projet pilote dans un supermarché en Espagne.

Tokenisation et énergie propre, une combinaison gagnante

La tokenisation du financement de l’énergie propre n’est cependant pas une idée nouvelle. Plusieurs initiatives similaires ont vu le jour ces dernières années, portées par l’essor de la finance décentralisée (DeFi) et de la tokenisation des actifs réels (RWA).

Par exemple, la plateforme Sun Exchange permet d’investir dans des panneaux solaires en Afrique du Sud en achetant des parts tokenisées. De même, la société Power Ledger propose une solution de trading d’énergie entre particuliers basée sur une blockchain.

Ces projets partagent un objectif commun : faciliter le financement de l’énergie propre en éliminant les intermédiaires et en réduisant les barrières à l’entrée. Ils s’inscrivent dans une tendance plus large appelée Energy-as-a-Service (EaaS), où les entreprises fournissent des systèmes solaires et de stockage sous forme de contrats de service plutôt que d’achats directs. Selon le cabinet Grand View Research, le marché de l’EaaS était évalué à 74,4 milliards de dollars en 2024, et devrait presque doubler d’ici 2030.

Encore un bel exemple de synergie possible entre la technologie blockchain et les énergies renouvelables qui permet d’optimiser les ressources et les financements. Pour Taurus et Stellar, l’aventure conjointe continue, après une première collaboration l’année dernière.

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Gaz discount ! Les frais de transaction sur Ethereum ont récemment atteint leurs plus bas niveaux. Si les utilisateurs peuvent s’en réjouir, cette tendance à la baisse inquiète certains observateurs. Explications.

Les frais baissent sur Ethereum…

Qu’il semble loin le temps où il fallait attendre le moment le plus favorable, ne serait-ce que pour effectuer les opérations les plus basiques sur le réseau Ethereum. En effet, les frais de transaction pouvaient atteindre des sommets sur la blockchain qui ambitionnait de “démocratiser la finance”. En réalité, les fees étaient tellement prohibitifs que seule une poignée d’acteurs déjà bien pourvus en ETH pouvait se permettre d’utiliser la DeFi sans trop regarder à la dépense. Ce n’était clairement pas à la portée de tous. En 2021, Ethereum était plutôt élitiste.

Cependant, la situation s’est nettement améliorée depuis quelques mois. Cette diminution des frais permet d’utiliser le réseau avec beaucoup moins de scrupules. 

Ainsi, le dimanche 9 novembre, les frais de transaction étaient de 0,097 Gwei. Autrement dit, au raz des pâquerettes. Actuellement, il est possible de faire un swap pour l’équivalent de quelques cents et de vendre un NFT pour moins de 30 cents en gas.  

C’est une aubaine pour les utilisateurs plus modestes ou pour les traders qui multiplient les échanges. Plus besoin de surveiller etherscan à des heures incongrues pour déclencher une opération au moment où les frais diminuent enfin.

Néanmoins, cette situation pourrait s’avérer problématique si elle devait se prolonger. 

… ce n’est pas une bonne nouvelle pour tout le monde

Plusieurs facteurs expliquent cette diminution drastique des frais de gas. 

D’un point de vue structurel, la mise à jour Dencun en mars 2024 a introduit les Blobs. Cela a eu pour effet de déporter une partie des données hors chaine et donc de diminuer les revenus de la chaîne principale. Avant ça, l’EIP-1559 introduite en 2021 lors du hard fork London, avait déjà remodelé le calcul des frais de transaction.

D’un point de vue conjoncturel, il y a une baisse d’activité notable sur Ethereum, en partie liée aux conditions de marché. 

Là où le bât blesse, c’est que la rémunération des validateurs s’en trouve largement réduite par la même occasion. Leur rôle est de valider les transactions et de sécuriser le réseau. Si les frais devaient rester à ce niveau, les validateurs pourraient se détourner d’Ethereum au profit d’alternatives plus intéressantes financièrement. Cela poserait, à terme, un risque pour la sécurité du réseau. 

Le modèle économique d’Ethereum doit-il changer ? En tout état de cause, des frais de transaction trop bas ne seraient pas une solution durable pour la blockchain numéro 2.

Si certains s’inquiètent de la situation, cela n’empêche pas Ethereum de tirer son épingle du jeu. En effet, le réseau peut se vanter d’être le terrain de jeu favori des utilisateurs de stablecoins.  

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Une guerre du Bitcoin ? C’est en tout cas ce que l’on pourrait penser à la lecture d’une récente accusation portée par le Centre national chinois de réponse d’urgence aux virus informatiques (CVERC) qui affirme que les États-Unis auraient « volé » une énorme quantité de bitcoins à un pool de minage chinois en 2020. Ces bitcoins appartenaient à un certain Chen Zhi, un homme d’affaires chinois accusé par la justice américaine d’avoir orchestré une vaste escroquerie et d’avoir utilisé ces fonds pour financer ses activités criminelles.

Les faits : une saisie record de 127 000 BTC par les États-Unis

Le 14 octobre 2025, le Department of Justice (DoJ) des États-Unis avait annoncé avoir saisi 127 272 bitcoins, soit plus de 13 milliards de dollars, dans le cadre d’une enquête sur un réseau criminel opérant en Asie du Sud-Est.

Selon le DoJ, ces bitcoins provenaient d’un pool de minage appelé LuBian, contrôlé par un certain Chen Zhi du Prince Group : une organisation criminelle transnationale au Cambodge, qui aurait mené de vastes arnaques de type pig-butchering (ou « arnaque à la romance »), consistant à séduire des victimes en ligne avant de les inciter à investir dans des plateformes de trading frauduleuses.

Chen Zhi aurait ainsi escroqué des milliers de personnes à travers le monde, notamment aux États-Unis, au Canada, en Australie et en Europe. Il aurait ensuite utilisé les fonds pour financer des activités illégales, comme le trafic de drogue, la traite d’êtres humains ou encore le blanchiment d’argent. Le DoJ a donc décidé de saisir ses bitcoins, considérés comme des produits du crime.

La version chinoise : un « vol » de Bitcoin commis par des pirates US

Mais pour la Chine, cette saisie est qualifiée de « vol ». Dans un rapport publié le 9 novembre 2025, le Centre national chinois de réponse d’urgence aux virus informatiques, une agence nationale de cybersécurité, conteste la version du DoJ et accuse les États-Unis d’avoir « piraté » le pool de minage LuBian en décembre 2020 pour s’emparer des plus de 127 000 bitcoins.

Selon le CVERC, l’analyse des transactions blockchains montre que les 25 adresses de BTC saisis figurant dans l’acte d’accusation du ministère américain de la Justice correspondraient aux adresses finales où ont été conservés les bitcoins volés lors de l’attaque de 2020 contre le pool de minage LuBian.

Cette affaire montre une fois de plus l’importance stratégique grandissante de Bitcoin, et plus généralement des cryptomonnaies, sur la scène internationale. Ce qui est étonnant en revanche (pas vraiment en fait) c’est que la Chine se préoccupe autant de Bitcoin alors, qu’en façade, elle critique sans arrêt le précieux crypto-actif et ses semblables. Hypocrisie nécessaire quand on veut imposer au Peuple une monnaie numérique de banque centrale (MNBC), tout en se souciant officieusement très fortement de ne pas perdre des bitcoins face aux États-Unis.

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Visa pour le monde. Les stablecoins sont devenus en quelques années un des piliers de l’écosystème crypto et même les géants du paiement traditionnel s’y intéressent de près. Ainsi, depuis plusieurs mois, Visa multiplie les annonces liées aux stablecoins et le géant du paiement vient tout juste d’annoncer le lancement d’un projet un pilote pour permettre aux créateurs de contenu d’être payés en USDC.

Visa : le nouveau roi des stablecoins ?

Depuis la fin de l’année 2024, le titan des paiements Visa a multiplié les annonces en lien avec les stablecoins. Ainsi, en décembre 2024, Visa a dévoilé Bridge, une plateforme qui permet aux développeurs de créer des cartes Visa liées à des stablecoins.

Un mois plus tard, en janvier 2025, Visa lance un partenariat avec Yellow Card pour déployer des cartes prépayées en stablecoins à destination du continent africain. En février 2025, c’est au tour de la plateforme Bridge, fraichement lancée par Visa, de dévoiler un partenariat avec Stripe. Il s’agit cette fois de proposer des cartes prépayées en stablecoins à destination des entreprises et des indépendants.

Visa lance un pilote stablecoin pour les créateurs de contenu

Enfin, ces dernières heures, Visa a annoncé le lancement d’un nouveau projet pilote, toujours autour des stablecoins. Cette fois-ci, il s’agit de permettre aux créateurs de contenu d’être payés en USDC, le stablecoin du géant Circle.

En pratique, ce programme permet aux entreprises et plateformes utilisant Visa Direct de financer les paiements en monnaie fiduciaire. De leur côté, les créateurs de contenu peuvent choisir de recevoir ces paiements en USDC.

Selon l’annonce officielle, cela permettrait aux créateurs de contenu d’accéder plus rapidement à leurs revenus. Cela est notamment intéressant pour les créateurs évoluant dans des régions où les devises sont volatiles ou l’accès bancaire est limité :

« Le lancement des paiements en stablecoin vise à permettre un accès véritablement universel à l’argent en quelques minutes – et non en quelques jours – pour n’importe qui, n’importe où dans le monde. Qu’il s’agisse d’un créateur de contenus, d’une entreprise atteignant de nouveaux marchés mondiaux ou d’un travailleur indépendant travaillant au-delà des frontières, tout le monde bénéficie d’un mouvement d’argent plus rapide et plus flexible. »

 Chris Newkirk, président des solutions commerciales et de transfert d’argent chez Visa – Source : The Block

Ce programme pilote est pour le moment lancé avec une poignée de partenaires dont le nom n’a pas été dévoilé, mais une mise à l’échelle est prévue pour la seconde moitié de 2026.

Le secteur des stablecoins est définitivement en effervescence à travers la planète avec plusieurs ambiances en fonction des pays. Aux États-Unis, avec l’entrée en vigueur du GENIUS Act, les projets se multiplient, pendant qu’en Angleterre, on en limite le montant pour la population ! Mais le plus impressionnant, c’est la place qu’ils prennent dans certains pays du sud comme le Venezuela où ces cryptos pas comme les autres rencontrent un succès aussi fulgurant que salvateur.

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Horreur dans le désert. Roman et Anna Novak, résidant à Dubaï et connus pour leur train de vie ostentatoire sur les réseaux sociaux, ont été retrouvés assassinés et enterrés dans le désert des Émirats arabes unis. La disparition du couple, survenue après un voyage près de la frontière avec Oman, a rapidement été traitée comme un enlèvement avec demande de rançon en cryptomonnaies. L’enquête a mené à l’arrestation en Russie de trois suspects, dont deux vétérans du conflit ukrainien et un ex-policier reconverti. Les investigations ont révélé que la tentative d’extorsion était liée aux activités passées de Roman Novak, visé par une enquête pour escroquerie à la crypto. Voici ce que l’on sait de cette affaire.

Des réseaux sociaux au business de crypto

Roman et Anna Novak, 38 et 27 ans, vivaient à Dubaï et se distinguaient donc par l’étalage de leur prétendue fortune. Le couple affichait sans retenue son opulence sur Instagram, n’hésitant pas à s’afficher avec des personnalités fortunées, notamment des milliardaires émiratis, comme le rapporte le Corriere della Sera. Cette image publique de réussite masquerait cependant un historique de manipulation financière opaque, sur fonds de cryptomonnaie, mais on y reviendra.

Le couple a disparu après un déplacement dans la région de Hatta, près d’Oman. Leur chauffeur les avait déposés près d’un site touristique, où ils devaient changer de véhicule. Ensuite, plus rien. Le silence a finalement été rompu par un unique message de Roman Novak affirmant être « bloqué quelque part à la frontière avec Oman » et réclamant une forte somme d’argent. Aucune communication ultérieure n’a été enregistrée.

Les autorités ont immédiatement traité l’affaire comme un enlèvement et elles ont donc tenté de localiser les téléphones des victimes. Malheureusement, la géolocalisation des disparus n’a rien donné, car les ravisseurs avaient déjà récupéré les appareils pour brouiller les pistes.

Le commando arrêté en Russie par les autorités

C’est finalement la découverte des corps de Roman et Anna Novak dans le désert émirati qui a permis à l’enquête d’accélérer et la police a arrêté trois suspects en Russie, où ils s’étaient réfugiés après les faits.

Le groupe criminel était composé de deux soldats russes vétérans du conflit en Ukraine et d’un ex-policier reconverti dans le trafic de drogue. Leur objectif était a priori de forcer Roman Novak à leur donner accès à son portefeuille afin de lui soutirer des cryptos.

L’opération a cependant échoué et la rançon n’a pas pu être obtenue. L’assassinat, commis dans la villa même du couple où des indices ont été relevés, fut la conclusion violente de cette tentative d’extorsion ratée.

La source de cet enlèvement résiderait selon les premières informations dans les activités financières de Roman Novak. Celui-ci était visé par une enquête pour avoir mis en place une vaste escroquerie aux cryptomonnaies, ayant abusé de nombreux investisseurs en Asie et au Moyen-Orient. Les ravisseurs ont-ils été envoyés par des investisseurs floués liés au grand banditisme ? Le but était-il de lui prendre de l’argent ou seulement de se venger ? L’enquête devrait le confirmer dans les semaines qui viennent.

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Le Bitcoin a été stoppé par les vendeurs juste en dessous des 130 000 $. Mais pour autant, le marché haussier est-il remis en cause ? Selon le RSI en hebdomadaire, le Bitcoin peut encore s’élancer dans un mouvement haussier. Ethereum s’échange autour des 4 000 $, mais les acteurs institutionnels sont-ils toujours en train de soutenir le prince des cryptos ? On fait le point dans le bulletin d’ETH !

Le cours d’Ethereum retrouve des couleurs à court terme

ETH renoue avec le vert. En effet, le cours d’Ethereum affiche une hausse d’1 % en 24 heures, et de près de 2 % en une semaine. Toutefois, cette réaction acheteuse est encore timide, et le cours chute de 5,6 % en un mois :

Paire	1H	24H	7J	1M	3M	6M
ETH/BTC	-0.6909%	0.07804%	-1.07%	-4.17%	11.42%	85.36%
ETH/USDT	-0.8285%	1.19%	1.89%	-5.57%	5.35%	118.89%

Performances d’Ethereum face à différentes paires. Source : Coincheckup

Depuis un mois, ETH sous-performe le roi des cryptomonnaies (-4 % sur la paire ETH/BTC). Mais il pourrait s’agir d’une simple pause, car la paire ETH/BTC grimpe de plus de 10 % en trois mois et de plus de 85 % en six mois.

Baisse de l’intérêt sur les ETF au comptant d’Ethereum

Entre avril et août, les ETF Ethereum au comptant ont enregistré une hausse des entrées de capitaux. D’ailleurs, cette demande a envoyé le cours d’ETH au niveau de l’ATH de 2021. Mais depuis le 11 août, les acteurs institutionnels ont nettement réduit leurs achats. Ce comportement a entraîné une phase de latéralisation sur ETH avec une hésitation autour des 4 000 $.

Pour le moment, ETH ne séduit plus les opérateurs institutionnels. Et malheureusement, si les entrées ne reviennent pas sur ces produits d’investissement, le cours pourrait finir par perdre les 4 000 $.

Nouvelle chute à venir pour le cours d’ETH ?

Ethereum a montré de la fragilité suite à un top autour de la résistance à 4 700 $. Le cours a chuté sous la trendline haussière et il bloque contre la résistance à 4 000 $ et autour des moyennes mobiles (EMA 9/EMA 18) baissières :

Si le cours ne réagit pas rapidement, une nouvelle chute vers les 3 500 $ est possible. D’autant plus que le RSI est toujours fébrile sous la trendline baissière. En revanche, si le cours récupère les 4 000 $, il pourrait progresser vers la résistance à 4 700 $. Le momentum pourrait se renforcer en cas de cassure de la trendline et de développement au-delà de 63 sur le RSI.

Ethereum a du mal à attirer les institutionnels, et le cours peine à revenir au-delà des 4 000 $. Les acheteurs vont devoir se montrer très vite, car sinon, le cours pourrait poursuivre sa chute. Le marché crypto semble entrer dans une phase où la patience s’impose.

L’article Risque de chute sur ETH qui peine à reprendre les 4 000 $ – Ethereum le 24 octobre est apparu en premier sur Journal du Coin.

Les mineurs moins stressés par les cours ? Bien qu’en très forte hausse sur le long terme, les cours de Bitcoin (BTC) sont soumis à une importante volatilité sur des échelles de temps plus petites. Une volatilité qui n’arrange pas les crypto-mineurs dans leur bilan comptable. Comme le souligne une récente analyse de JPMorgan, les mineurs de BTC investissent massivement dans l’IA (l’intelligence artificielle) pour se diversifier et avoir des rentrées plus stables. Et les investisseurs dans ses crypto-entreprises semblent également apprécier cette seconde activité.

Les mineurs de Bitcoin diversifient leurs revenus avec l’IA

En parallèle de leurs activités de minage de Bitcoin, de nombreuses compagnies crypto-minières cotées en bourse ont diversifié leurs activités dans l’intelligence artificielle (IA). Et cette diversification semble avoir porté ses fruits.

En effet, selon une récente analyse de JPMorgan, les entreprises de crypto-minage ont vu leur capitalisation boursière augmenter depuis le mois de juillet (voir le graphique ci-dessous). Et ce, malgré un cours de Bitcoin qui, lui, est resté dans une fourchette relativement stable de 110 000 à 120 000 dollars (avec quelques pics et creux de courte durée).

Selon JPMorgan, ce serait donc leur diversification dans l’IA qui aurait permis aux mineurs de voir le cours de l’action augmenter. Les investisseurs semblent en effet intéressés par cette activité qui complète et rentabilise les centres de données des crypto-mineurs.

Une activité de minage de plus en plus difficile

De surcroît, cette diversification intervient dans un contexte de pression croissante sur la rentabilité des mineurs. En effet, le dernier halving d’avril 2024 a déjà réduit de moitié les récompenses de bloc, qui sont passés de 6,25 BTC à 3,125 BTC.

Cela a considérablement augmenté le coût moyen de minage d’un bitcoin, estimé actuellement à environ 92 000 dollars selon les analystes de JPMorgan. Et ces derniers projettent que ce coût pourrait même atteindre les 180 000 dollars par BTC après le prochain halving, en 2028.

Face à ces défis, les mineurs allouent donc de plus en plus de ressources à l’IA, offrant « des revenus plus stables et à marge plus élevée », selon la banque.

Surtout que, pour ajouter à la difficulté, la concurrence est rude entre crypto-mineurs, et le hashrate a explosé des records sur le réseau BTC. Si cela renforce la sécurité de Bitcoin, cela implique pour les mineurs d’investir constamment dans la mise à jour de leur matériel informatique et de leurs infrastructures électriques.

L’article Bitcoin : les mineurs « se tournent vers l’IA et se détachent du prix du BTC » (JPMorgan) est apparu en premier sur Journal du Coin.

Seul contre tous. Le minage de Bitcoin est une activité qui nécessite du matériel de pointe et une importante quantité d’électricité, et c’est pourquoi elle est principalement dominée par de grandes entreprises spécialisées en la matière. Néanmoins, certains mineurs en solo continuent de tenter leur chance, et régulièrement, cela paye.

Un mineur en solo décroche le jackpot de 3,125 BTC

Sur le réseau Bitcoin, les mineurs se rassemblent généralement au sein de pools de minage. Cela permet de mutualiser la puissance de calcul et de lisser les récompenses entre les participants.

Pour les mineurs en solo, la stratégie est différente et repose essentiellement sur la chance, vu la faible puissance de calcul dont ils disposent. Mais de temps en temps, ça marche !

Ainsi, jeudi 23 octobre, un mineur en solo a réussi à trouver un bloc, empochant ainsi la récompense de 3,125 BTC, soit un peu plus de 347 000$.

Selon les données partagées par Umbrel, un service qui propose de l’auto-hébergement de services divers, le mineur utilisait Public Pool, un pool de minage décentralisé :

« Un mineur en solo utilisant Public Pool vient de trouver un bloc ! Il a gagné la récompense de 3,125 BTC + 0,016 BTC de frais de transaction. »

Annonce faite par le compte Umbrel – Source : Compte X

En pratique, Public Pool est un pool de minage décentralisé et open source. Chaque mineur reste donc maître de son matériel et de ses récompenses, sans tiers de confiance.

Le minage de Bitcoin en solo ou le retour aux origines

Bien que le minage en solo ne soit pas la méthode la plus courante, elle semble tout de même avoir le vent en poupe.

Ainsi, de plus en plus de petites machines de minage font leur apparition sur le marché. Ces dernières sont évidemment bien loin des performances des ASICs présentes dans les pools de minage professionnels. Néanmoins, elles permettent à des particuliers de participer au minage de Bitcoin.

Par exemple, le projet Bitaxe propose des petits mineurs à des prix allant de 155 à 600 $. Évidemment, ces derniers ne sont pas très puissants, mais permettent de mettre un pied dans le minage de BTC.

Ces projets ont pour objectif de proposer des appareils open source et abordables qui correspondent exactement à l’esprit décentralisé du projet Bitcoin. Cela fait plaisir que des petites gens puissent dérocher le gros lot et on a juste envie de dire : à qui le tour ?

L’article Bitcoin : Un mineur solo remporte (encore) le jackpot de 350 000$ est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le Bitcoin a déjà bien corrigé depuis le top, et la situation pourrait encore se dégrader en cas de perte du seuil psychologique à 110 000 $. Il s’agirait d’une situation critique pour le marché des cryptomonnaies, notamment pour les nouvelles whales qui sont déjà dans le rouge depuis que le BTC évolue sous les 113 000 $. Doit-on penser que le Bitcoin est entré en bear market ? Selon un indicateur très connu dans le monde du trading et de l’investissement, il y a des raisons de penser que le cycle actuel pourrait encore se prolonger. Zoom sur la situation du roi des cryptos !

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Le cours du Bitcoin rebondit de plus de 2 % en 24 heures

Le roi des cryptos a finalement réussi à conserver les 110 000 $, et il se dirige une nouvelle fois vers les 115 000 $. Le cours du Bitcoin grimpe de plus de 2 % en 24 heures :

Paire	1H	24H	7J	1M	3M	6M
BTC/ETH	-0.04306%	-1.10%	0.8135%	3.40%	-10.78%	-46.31%
BTC/USDT	0.04500%	2.13%	2.07%	-0.5158%	-5.29%	18.14%

Performances du Bitcoin face à différentes paires. Source : Coincheckup

La réaction acheteuse permet d’afficher une hausse de 2 % en une semaine, mais le BTC reste en baisse de plus de 5 % en trois mois. De son côté, la paire BTC/ETH chute d’1 % en 24 heures, mais elle progresse de 3,4 % en un mois.

Pas de fin de bull run pour le Bitcoin selon le RSI en hebdomadaire ?

Le RSI est un indicateur de momentum très utilisé par les investisseurs et les traders. Finalement, il permet d’évaluer la force ou la faiblesse d’un mouvement, et d’identifier des périodes d’excès. En général, les bull run se terminent lorsqu’il y a une euphorie sur les marchés financiers, et le secteur des cryptomonnaies ne fait pas exception à cette règle. D’ailleurs, on remarque que les précédents bull market du BTC se sont terminés lorsque le RSI surchauffait en hebdomadaire (rouge) :

Le bull run est-il fini avec un top à environ 126 000 $ ? Personne ne le sait vraiment, mais en tout cas, il n’y a pas eu d’excès haussier sur le RSI. Le cycle pourrait se terminer d’une manière différente, mais cet indicateur laisse espérer qu’une nouvelle phase haussière est possible.

Le cours du BTC doit franchir la résistance à 111 000 $ en 4H

En unité de temps 4H, le cours du Bitcoin a rebondi sur le support autour des 106 000 $. Et cela a engendré une hausse au niveau de la résistance à 111 000 $. Une zone que le BTC a du mal à franchir :

La cassure des 111 000 $ ouvrirait la voie à une nouvelle hausse en direction de la résistance à 117 000 $. Mais dans le cas où le cours ralenti une nouvelle fois au niveau de la résistance, une chute vers les 106 000 $ n’est pas à exclure. L’indicateur RSI se développe à la hausse, donc le momentum est dans les mains des acheteurs pour le moment.

Le RSI est encourageant et signale que le Bitcoin n’a pas connu de phase d’excès comme lors des précédents bull run. Le cours revient à hauteur de la résistance à 111 000 $, et si le niveau est cassé, il pourrait accélérer vers les 117 000 $. En parallèle, SpaceX a réalisé un transfert de 270 millions de dollars en Bitcoin. Est-ce un mouvement inquiétant ou une simple réorganisation de portefeuille ?

L’ACTUALITÉ DU BITCOIN QUI COMPTE

• Avec un Bitcoin qui évolue sous les 113 000 $, les whales qui ont acquis des BTC au cours des 155 derniers jours sont en difficulté. Les whales vont-elles paniquer ?

• La dette totale des mineurs de Bitcoin s’est envolée de 500 % en un an. Les mineurs se diversifient dans l’intelligence artificielle (IA) et le High Performance Computing (HPC).

• Problème de sécurité à venir pour le Bitcoin et les cryptomonnaies ? Google avance à grande vitesse avec son processeur Willow.

• La masse monétaire mondiale (M2) explose à la hausse encore une fois. Et en reprenant ce qui s’est passé en 2020-2021, le Bitcoin pourrait potentiellement accélérer vers les 600 000 $.

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Gold Wars. Dans la cryptosphère, il y a des antagonistes emblématiques. Et, dans le domaine, Peter Schiff s’impose comme un opposant aveugle à Bitcoin. Ce maximaliste de l’or ne rate jamais une occasion de prédire la mort prochaine du BTC. Une position hautement pessimiste qu’il vient de réaffirmer dans le cadre de l’annonce de son propre token adossé à l’or ! L’occasion pour le fondateur de Binance, Changpeng « CZ » Zhao, de lui rappeler que son projet repose sur un modèle « trust me bro » infiniment plus discutable que Bitcoin.

Peter Schiff annonce sa propre crypto qui tokenise de l’or

Le retour en force de l’or, qui enchaîne les records de prix ces derniers mois, a remis en lumière cette valeur refuge historique. Mais beaucoup voient ici l’occasion d’un rapprochement entre le métal précieux et la cryptosphère, via la tokenisation RWA (des actifs du monde réel) sur blockchains.

Un certain nombre de projets d’or numérisé sur blockchains, sous forme de stablecoins adossés à des lingots du métal doré, ont d’ailleurs déjà vu le jour depuis plusieurs années. Comme par exemple le XAUT de la société Tether, ou encore le PAXG de Paxos. C’est dans ce contexte que Peter Schiff, pourtant éternel critique de Bitcoin, est venu annoncer qu’il allait exploiter les technologies de la précieuse cryptomonnaie à son propre compte, en lançant son stablecoin d’or tokenisé, comme le rapporte CounterParty TV sur X :

« Peter Schiff révèle qu’il lance sa propre plateforme d’or tokenisé et sa néobanque :
« Je développe une plateforme permettant d’utiliser l’or comme moyen d’échange, de payer ou d’être payé en or. Je vais également fournir une carte de débit permettant de vendre de l’or pour régler des transactions. » »

Changpeng « CZ » Zhao dénonce un modèle « trust me bro » et préfère Bitcoin

L’intervention de l’anti-Bitcoin Peter Schiff n’a pas manqué de faire réagir sur X le fondateur de la crypto-bourse Binance, Changpeng Zhao. Car ce dernier n’est pas du genre à laisser passer ce type d’attaque sans rendre les coups. D’autant plus lorsqu’il s’agit de mettre en évidence les limites du projet de son adversaire.

En effet, CZ reproche au futur token de Peter Schiff de reposer sur un modèle de pure confiance dans un intermédiaire. Car cela revient à une promesse dépendante d’une garde tierce de l’or en garantie, dont il faut accepter de croire qu’elle sera tenue.

« (…) La tokenisation de l’or n’est PAS de l’or « on-chain » (sur blockchain).
C’est tokenisé la confiance que vous donnez à un tiers pour qu’il vous rende de l’or à une date ultérieure, même après un changement de direction, peut-être des décennies plus tard, même pendant une guerre, etc.
C’est un token « fais-moi confiance, frérot«  (« trust me bro »). (…) »

Changpeng Zhao

Or, Bitcoin n’a pas besoin de tiers de confiance : en cas de détention directe, les BTC sont sous votre entier contrôle. Personne ne pourra les geler ou refuser de vous les remettre en cas de faillite ou de crises majeures. Loin d’une opposition stérile, les positions raisonnées sur les deux ors, le physique et le numérique, considèrent que ces deux valeurs refuges que sont l’or et Bitcoin sont complémentaires et bonnes à prendre face aux monnaies fiduciaires des États (dollar, euro…) qui sont inéluctablement vouées à se déprécier via l’inflation.

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Ledger, attrapez les tous ! Il est des jours où l’innovation frappe à notre porte avec la discrétion d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Aujourd’hui, c’est au tour de Ledger, notre fier fleuron français de la sécurité crypto, de secouer le cocotier.

Si vous pensiez que le Nano était cette petite clé USB un peu austère, c’est l’heure de remiser cette image au musée des antiquités numériques. Le nouveau Ledger Nano Gen5 a fait sa mue. Il se rapproche désormais des lignes élégantes et de l’ergonomie de ses grands frères, le Flex et le Stax.

Fini le petit écran minimaliste et les boutons parfois récalcitrants : place à un écran plus grand, tactile, qui offre enfin une expérience utilisateur digne de ce nom.

Mais la véritable révolution n’est pas dans le plastique, elle est dans le vocabulaire, dans le fondement même de ce que doit être cet appareil.

Cet article vous est proposé en partenariat avec Ledger.

Des sanctions contre un stablecoin. Alors que l’Union européenne (UE) vient d’ajouter un 19^ème paquet de sanctions contre la Fédération de Russie, ce dernier en date a la particularité de s’attaquer au succès du stablecoin du rouble A7A5. La Commission de Bruxelles veut empêcher Moscou d’utiliser les actifs numériques pour contourner ses sanctions financières.

L’Union européenne veut couper la Russie des cryptomonnaies

Ce jeudi 23 octobre 2025, un 19^ème paquet de l’Union européenne est venu se rajouter aux 26 000 sanctions (à la louche) imposées par les pays occidentaux contre la Russie. Mais ce dernier à la particularité de s’attarder sur le cas des cryptomonnaies, dont l’universalité et la résistance à la censure permettent de passer les frontières sans permission, et donc en ignorant les sanctions.

L’UE vise ainsi à restreindre l’accès de la Russie aux cryptomonnaies. Selon le Conseil européen, la Russie utiliserait de plus en plus les actifs numériques pour « échapper aux sanctions économiques » imposées depuis le début du conflit en Ukraine.

Le stablecoin du rouble A7A5 sous le coup des sanctions de l’UE

Parmi les mesures phares de cet énième paquet de sanctions destinées à faire s’écrouler l’économie russe, l’interdiction du stablecoin A7A5, indexé au rouble et présent sur les blockchains Ethereum (ETH) et Tron (TRX). Car cet actif numérique serait utilisé pour « financer des activités liées à la guerre ».

Les développeurs, A7 LLC, et le principal fournisseur de ce stablecoin, Old Vector LLC basé au Kirghizistan, sont également dans le viseur des technocrates de Bruxelles, avec notamment le gel de leurs avoirs qui auraient été laissés à la portée de l’UE.

« Les activités récentes ont mis en évidence l’utilisation croissante des cryptomonnaies par la Russie pour contourner les sanctions. Dans ce contexte, le stablecoin A7A5, créé avec le soutien de l’État russe, est apparu comme un outil de premier plan pour financer les activités soutenant la guerre (…). Les transactions impliquant ce stablecoin ont également été interdites dans toute l’UE. »

Extrait du communiqué sur le 19^e paquet de sanctions de l’UE contre la Russie

Interdiction formelle donc d’effectuer des transactions avec ce stablecoin A7A5 pour les résidents de l’Union européenne. Avec ce 19ème paquet de sanctions, l’UE espère freiner l’utilisation croissante des cryptomonnaies par la Russie, notamment pour contourner ses restrictions économiques. Pourtant, il y a quelques jours à peine, le ministère des Finances et la Banque centrale russes viennent d’annoncer la légalisation prochaine des cryptos pour le commerce extérieur. À croire que beaucoup d’autres pays, en dehors de l’UE, souhaitent faire des échanges basés sur les actifs numériques avec la Russie.

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Encore plus de cryptos. La bien connue néobanque Revolut vient de faire un grand pas de plus dans le secteur de Bitcoin (BTC) et des cryptomonnaies en obtenant une licence MiCA (Markets in Crypto-Assets) auprès de la Commission des valeurs mobilières de Chypre (CySEC). Cette autorisation permet à Revolut de proposer des services cryptos réglementés dans les 30 pays de l’Espace économique européen (EEE), marquant ainsi une étape clé dans son expansion.

Crypto 2.0 : la nouvelle plateforme de Revolut

Ce 23 octobre 2025, plusieurs médias rapportent que Revolut a donc obtenu le sésame de la licence MiCA auprès des régulateurs financiers de la Securities and Exchange Commission de Chypre. Cette licence ouvre à la néobanque les portes à 30 pays de l’EEE (qui regroupe les 27 membres de l’UE + l’Islande, la Norvège et le Liechtenstein).

Avec cette nouvelle licence en poche, Revolut va pouvoir lancer en toute sérénité sa plateforme de nouvelle génération, appelée « Crypto 2.0 ». Cette plateforme offrira l’accès à plus de 280 crypto-actifs, du staking « sans frais », et une conversion stablecoin-dollar « sans spread ».

« Cette autorisation nous permet de proposer des produits crypto révolutionnaires avec une transparence et une confiance accrues pour notre base de clients en pleine croissance, tout en réitérant notre engagement envers les cryptomonnaies en tant que classe d’actifs. »

Costas Michael, CEO de Revolut Digital Assets Europe

Une offre crypto renforcée pour les particuliers et les institutionnels

Revolut ne se contente pas de séduire les particuliers. La fintech britannique, qui compte des dizaines de millions de clients dans le monde, a également confirmé l’expansion de son expertise crypto pour les clients institutionnels.

Après avoir lancé Revolut X, une plateforme dédiée aux crypto-traders expérimentés, l’entreprise continue d’élargir son offre avec des produits adaptés aux besoins des professionnels.

Il faut dire qu’il n’y pas de temps à perdre, car la concurrence s’annonce rude avec des rivaux comme Coinbase, Kraken et Robinhood, qui veulent compléter leur plateforme cryptos avec des services bancaires.

Avec cette licence MiCA et le lancement imminent de Crypto 2.0, Revolut veut donc se positionner comme un acteur incontournable du secteur de Bitcoin, notamment en Europe. Avec une gamme de services adaptés aussi bien aux particuliers qu’aux institutionnels. Alors que la régulation des cryptomonnaies avance de plus en plus rapidement à l’échelle mondiale, l’approche proactive de Revolut pourrait bien lui donner une longueur d’avance sur la concurrence.

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Blockchain nationale. Le Liechtenstein est un petit pays d’Europe de l’Ouest, situé entre la Suisse et l’Autriche. Depuis plusieurs années, ce pays s’est imposé comme un des leaders en matière de régulation crypto en adoptant notamment une loi sur les tokens et les fournisseurs de services de technologies de registres distribués (TVTG) en 2019. Celle-ci fournit un cadre juridique clair pour les entreprises blockchain. Désormais, le pays passe à la vitesse supérieure en dévoilant son propre réseau.

Le Liechtenstein dévoile son réseau blockchain

Mercredi 22 octobre, le Liechtenstein a annoncé le lancement de son propre réseau blockchain via un communiqué de presse. Le Liechtenstein Trust Integrity Network (LTIN), c’est son petit nom, est une infrastructure blockchain soutenue par l’État.

Plus précisément, le réseau est opéré par Telecom Liechtenstein et vise à fournir des services blockchain aux institutions qui nécessitent une conformité avec les réglementations européennes. Ce réseau opère d’ailleurs sous la loi sur la blockchain du Liechtenstein et il est donc aligné avec le règlement européen MiCA.

Ce nouveau réseau a été conçu pour répondre aux besoins des entreprises. Il leur permettra d’adopter ces nouvelles technologies tout en minimisant les risques de conformité.

Un réseau pensé pour les entreprises du pays

En pratique, le réseau LTIN offre des services de transaction, de validation et d’identité sécurisés, tout en garantissant que les données et la gouvernance restent sous juridiction européenne.

En plus de cela, le projet s’engage à utiliser 100 % d’énergie renouvelable, ce qui en fait une option durable pour les entreprises soucieuses de leur empreinte carbone.

« Nous sommes ravis de lancer le LTI Network, une infrastructure blockchain de confiance spécialement conçue pour les entreprises. En tant que réseau public, nous offrons une solution conforme et souveraine qui permet aux entreprises de tirer parti de la technologie blockchain tout en respectant les réglementations strictes de l’UE. »

Franz Wirnsperger, président de LTIN – Source : Communiqué de presse

Avec le lancement de LTIN, le Liechtenstein continue de renforcer sa position en tant que leader dans le domaine des nouvelles technologies en Europe, et la concurrence fait rage dans ce secteur.

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