L'USPS propose d'utiliser la blockchain pour prévenir la fraude lors des élections présidentielles américaines. Ce système pourra-t-il servir pour le prochain scrutin de novembre 2020 ? Qu'en pensent les experts ?

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Il achète 1 Bitcoin (BTC) toutes les semaines et son réseau social est le premier à avoir accueilli l’emoji BTC. Jack Dorsey réaffirme son soutien total à Bitcoin et à la blockchain. L’oiseau bleu continue son vol vers plus de décentralisation.

Un ciel bleu pour Twitter

Le CEO de Twitter, Jack Dorsey, est l’un des plus fervents défenseurs de Bitcoin et de la blockchain, allant jusqu’à affirmer que Bitcoin sera la monnaie unique mondiale d’ici 2030.

Lors de la conférence virtuelle « Oslo Freedom Forum 2020 », Dorsey a réitéré sa position en assurant que Bitcoin et la blockchain représentaient le futur de Twitter.

Dorsey a expliqué au fondateur d’Human Rights, Thor Halvorssen, que Bitcoin sera à l’origine d’un système où les contenus seront permanents et indélébiles.

Le principe fondateur de Bitcoin est de créer un système de confiance dans un milieu où cela n’existe pas, Internet.

Le but de Twitter est de devenir une application-client de ce standard, un but qui a poussé Jack Dorsey à créer Blue Sky.

Blue Sky est une organisation à but non-lucratif, complètement distincte de Twitter : Dorsey a indiqué qu’il souhaitait lancer un service auquel tout le monde peut accéder et contribuer.

Décentraliser pour mieux sécuriser

Après la brèche de sécurité qui avait entraîné le hack de plusieurs comptes sur Twitter, Jack Dorsey semble vouloir faire un pas de plus vers la décentralisation de la plateforme.

Interrogé sur le sujet, Dorsey avait déclaré que la sécurité est une course permanente et un domaine qui est toujours perfectible : dans ce cadre, permettre à chaque individu d’être pleinement responsable revient à accroître la sécurité de tout un chacun.

Dorsey, qui est également le CEO de la société de paiements Square, a invité d’autres crypto-firmes à rejoindre la communauté « Cryptocurrency Open Patent Alliance » : comme son nom l’indique, son but est de regrouper les brevets et préserver l’esprit open-source de l’industrie crypto.

Le réseau social VOICE se veut être décentralisé dès son lancement. Twitter sera-t-il le premier réseau centralisé qui migrera vers la décentralisation ? Un tel changement pousserait-il Facebook et les autres réseaux à en faire de même ? D’un côté un entrepreneur dynamique qui a largement fait ses preuves, de l’autre une crypto avec un énorme potentiel de disruption : on attend de voir les résultats d’une telle combinaison. Cette dernière pourrait réinventer internet ou être tout simplement une dream team qui aura perdu un match décisif et qui tombera dans l’oubli.

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Bitcoin (BTC), à l’instar de l’or, est une protection contre l’inflation. C’est-à-dire qu’il s’apprécie encore plus rapidement que la hausse des prix. Il est une bouée de sauvetage face à la marée inflationniste. Mais au fait, d’où vient la hausse des prix ? Et les chiffres d’inflation que l’on nous présente, sont-ils sincères ou bien reflètent-ils une distorsion totale de la réalité ?

L’inflation dans le monde parallèle de l’INSEE

Parmi les nombreux indicateurs de l’institut National des Statistiques et des Études Économiques, l’indice des prix à la consommation est l’un des indices les plus consultés. Il est très important car il permet de s’assurer du maintien du pouvoir d’achat du SMIC, des pensions de retraite, etc…

Mais malgré sa haute importance, l’indice d’inflation de l’INSEE est suspicieusement tres opaque. Nous ne savons pas grand-chose au-delà du fait que les prix de plus de 300 000 produits sont mesurés chaque mois dans plus de 30 000 points de vente se situant au sein d’une centaine de grandes agglomérations. La transparence s’arrête là.

Dans cette boîte noire, la hausse du prix de chaque produit est censée être pondérée proportionnellement à son poids dans la dépense de consommation des ménages. Dit autrement, la hausse du prix de la baguette de pain – celle que vous achetez tous les jours – aura plus d’impact que l’inflation de la balle de ping-pong. Très bien, sauf nous ne connaissons pas les pondérations. Pire, 90 % de la liste des prix étudiés est secrète. Cette opacité fait qu’il est relativement aisé de trafiquer les chiffres sans que personne n’y trouve à redire…

Nous savons tout de même deux ou trois choses, notamment le fait que l’on ne comptabilise pas la hausse des prix immobiliers dans l’inflation ! Vous avez bien lu, le plus grand achat d’une vie…

Voici comment l’INSEE se justifie sur son site :

« L’IPC n’intégre pas les achats de logements. En effet, il s’agit d’investissement, et l’IPC porte sur la consommation. Les achats en logement ne constituent pas de la consommation, car ils accroissent le patrimoine des ménages ; contrairement à un bien consommé, le logement ne disparaît pas avec son utilisation et peut se revendre. »

INSEE

Du grand n’importe quoi. Allez expliquer ça aux nouvelles générations pour qui il est impossible de devenir propriétaire et qui sont obligées de vivre en collocation… Seule l’inflation des loyers est prise en compte par l’INSEE. Mais la mascarade continue car la pondération déformante de l’INSEE fait que la part des loyers ne pèse que 6.1 % (données de 2018) dans son panier. Pour le dire autrement, l’INSEE part du principe que le budget de l’ensemble des Français pour se loger ne représente que 6 % de leurs dépenses. Mais qui dépense seulement 6 % de ses revenus pour se loger ?

Nous pouvons aussi parler des fameux effets « innovation » et « qualité ». Par exemple, sous prétexte que la puissance des ordinateurs augmente, d’après l’INSEE, la valeur d’un ordinateur a été divisée par 20… Dans le monde imaginaire de l’INSEE, les ordinateurs ne coûtent qu’une cinquantaine d’euros !

Bref, les chiffres d’inflation sont très loin de la vérité et c’est pour cette raison que les valeurs refuges telles que l’or et le Bitcoin ont, et auront de plus en plus, le vent en poupe.

Et aux États-Unis ?

L’institut des statistiques américain, le « BLS » (Bureau of labor statistics), prend également en compte un nombre peu raisonnable de prix dans son calcul. Plus de 80 000 qui ont pour effet, comme en France et partout ailleurs, de dissimuler la réalité dans un magma confus de données diluées.

Le BLS utilise aussi les techniques manifestement biaisées de l’INSEE dont nous venons de parler. Il a par exemple été calculé que le prix d’une voiture neuve aux États-Unis était passé de 6 847 dollars en 1979 à 27 940 dollars en 2004. En utilisant des “ajustements hédoniques” (le fameux effet qualité), le BLS a calculé que le prix d’une voiture neuve était passé de 6 847 dollars en 1979 à seulement 11 708 dollars en 2004.

Les technocrates sans scrupules n’hésitent pas à changer tout simplement la façon dont ils calculent l’inflation ! Le gouvernement US a ainsi modifié le calcul en 1983, alors que l’inflation s’approchait de 12 % (sur un an), avant de remettre le couvert en 1996 avec la commission Boskin. Tous ces changements ont à chaque fois fait de l’indice d’inflation un plus mauvais indicateur de la véritable hausse du coût de la vie. On estime que le gouvernement US a pu économiser 700 milliards $ entre 1996 et 2006 grâce aux artifices comptables de Boskin.

Notons que le BLS publie en outre un indice d’inflation excluant certains prix jugés « trop volatils » comme la nourriture et l’énergie… Soit les deux postes de dépense les plus importants après le logement. Or le gouvernement US se base sur cet indice biaisé pour calculer la revalorisation des salaires, des prestations sociales, etc…

Et alors que le taux d’inflation calculé par le BLS entre 2008 et 2012 fut officiellement de 10.2 %, le site internet Chapwoodindex.com a lui mesuré que l’inflation fut de 10 % sur la seule année de 2012 dans de nombreuses grandes villes.

Les indices des prix ne reflètent plus de manière appropriée la véritable perte de pouvoir d’achat des masses. Ainsi, même si les pensions de retraite ou le salaire minimum sont indexés sur l’inflation, la sous-estimation des chiffres fait que l’on s’appauvrit de toute façon.

Voici les chiffres d’inflation du ChapwoodIndex qui retranscrivent beaucoup plus fidèlement l’inflation ambiante aux États-Unis :

La véritable inflation annuelle se situe entre 5 % et 10 %. Et non pas de 1 % ou 2 % comme on voudrait nous le faire croire. S’il n’est plus possible d’élever des enfants avec un seul salaire, comme c’était encore la norme il n’y a pas si longtemps, c’est précisément parce que l’inflation est bien plus élevée que ce que l’on nous annonce.

Une inflation monétaire sciemment orchestrée à laquelle va venir s’ajouter celle liée à la raréfaction des matières premières. Ces dernières n’ont effetivement jamais vraiment manquées jusqu’à présent. Ce qui n’est plus vrai pour l’or noir… Nous avons apparemment franchi le pic pétrolier en 2018 (pétrole de roche mère et de sables bitumineux inclus).

D’où vient l’inflation et à qui profite le crime ?

Le phénomène d’inflation est un arbitrage entre la quantité d’argent disponible et la quantité de choses pouvant être achetées. Certains parlent de « vitesse de circulation » pour se faire mousser avec de l’ésotérisme financier. Mais on peut surtout résumer en indiquant que l’inflation provient d’une augmentation de la quantité d’argent disponible, toutes choses égales par ailleurs. Ou bien par une raréfaction de la production, toutes choses égales par ailleurs aussi.

Maintenant que nous avons posé les bases, vient la question de la quantité d’argent. Qui décide de la quantité d’argent disponible ? Ce sont les banques. Ces dernières ont mis en place un système de création monétaire que l’on pourrait qualifier de « fuite en avant ponzienne ».

Les banques, pour des raisons que nous avons expliquées dans cet article, sont obligées de prêter toujours plus. Il le faut pour que le système ne s’écroule pas sous son poids. La plus grande source inflationniste en France est sans conteste l’immobilier (entre 5 % et 10 % par an).

L’État et les entreprises empruntent également et participent donc à injecter de l’argent dans l’économie. Mais la majorité de l’argent disponible provient originellement de prêts immobiliers. Des prêts dont les montants sont augmentés années après années afin d’entretenir cette inflation absolument indispensable.

Indispensable pour l’État qui peut alors faire baisser artificiellement le poids de sa dette via l’augmentation de ses recettes. En effet, la TVA, taux fixe sur tout ce qui est vendu, augmente d’autant que l’inflation).

Mais aussi pour les possédants et surtout quelques dizaines de milliardaires. Voyez comment la Banque Centrale Européenne, avec sa planche à billets, gonfle non seulement la bulle immobilière mais aussi la bulle boursière. La bourse monte à chaque fois que les Banques Centrales activent le fameux « Quantitative Easing ». La raison étant que cet argent qui se déverse permet aux multinationales d’emprunter pour racheter leurs propres actions. Sans compter la ré-allocation de l’épargne vers le casino boursier faute de dettes souveraines disponibles. (car rachetées par la BCE via le QE).

Nous sommes les dupes d’un système profitant à une petite caste d’hyper-riches s’abreuvant quasiment directement au goulot des Banques Centrales. La majorité sans patrimoine souffre directement de l’inflation alors que les milliardaires s’enrichissent sans rien faire.

Les nouvelles générations sont les grandes perdantes de ce cirque inflationniste mais qu’elles se rassurent… L’histoire est très claire sur la question. Un ponzi finit toujours par éclater avec une redistribution des cartes à la clef. Et en attendant le grand soir, le Bitcoin, boudé par les boomers technophobes, offre de très belles perspectives pour se constituer un patrimoine. Le jour où le Bitcoin vaudra autant que l’or, son prix aura été multiplié par 50… N’attendez plus pour vous protéger de l’inflation. Investissez dans la meilleure réserve de valeur du XXI siècle.

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La blockchain et le monde du showbiz : de quoi augmenter la popularité de la cryptosphère ! La plateforme de réalité virtuelle Sensorium (SENSO) a réussi à attirer dans son univers, la star des platines David Guetta.

David Guetta mixe sur la blockchain

Après la rockstar Gene Simmons, c’est au tour du DJ David Guetta de rejoindre l’univers de la blockchain.

Le DJ vient en effet de signer un contrat avec Sensorium Galaxy, une plateforme de réalité virtuelle qui devrait être lancée dans le courant de 2021.

Sensorium possède son propre token ERC-20 appelé SENSO. Le responsable du développement blockchain et technologie, Alex Blagirev, indique que SENSO possède un mode de fonctionnement similaire à d’autres tokens de jeux, tels que le V-Bucks de Fortnite ; SENSO sera le principal mode de paiement de la plateforme.

Le choix d’Ethereum (ETH) à la place de Bitcoin (BTC) se justifie par la flexibilité, la sécurité et le degré de compatibilité offerts par le réseau Ethereum.

Selon Blagirev, Ethereum est la blockchain la plus populaire du marché, accessible à n’importe quel portefeuille et à n’importe quel exchange du marché.

L’intégration des smarts contracts a joué par ailleurs un rôle important dans la conception de SENSO, pour faciliter la transparence et gagner la confiance des utilisateurs finaux.

Blagirev souligne que Sensorium envisage éventuellement de quitter Ethereum dans le futtur pour développer sa propre blockchain.

Sensorium : des millions de dollars pour éveiller vos sens

Sensorium aurait obtenu un financement du milliardaire russe Mikhail Pokhorov et de la plateforme de streaming TIDAL, du rappeur Jay-Z.

TIDAL aurait acheté des tokens SENSO d’une valeur de 7 millions de dollars, vendus par Sensorium.

David Guetta, qui avait déjà participé à plusieurs livestreams à la suite de la pandémie, affirme que les possibilités offertes par Sensorium sont supérieures aux standards actuels du marché.

Dans le cadre de son contrat, Guetta devrait concevoir une série de performances exclusives pour l’univers alternatif, des performances qui seront accessibles uniquement via SENSO.

Le porno pourrait propulser Bitcoin au 7ème ciel, les mix de David Guetta pourraient donner le bon rythme à SENSO et à la cryptosphère en général, pour qu’ils avancent sur le chemin de la réussite. Satoshi Nakamoto a créé Bitcoin et la blockchain pour des raisons sérieuses mais, leur adoption massive pourrait finalement provenir de l’industrie du divertissement. Après tout, les acteurs du show biz ont déjà l’habitude d’attirer et de séduire les foules.

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Qui n’a jamais entendu parler de John McAfee ? Mais si, vous savez, le célèbre créateur de l’anti-virus du même nom. Non ? Alors si je vous dis que c’est celui qui avait parié de manger ses parties génitales en direct à la télévision avant de se rétracter ? Toujours pas ? Bon… Et vous vous souvenez des ICO qu’il a allègrement promues sans jamais en informer sa communauté ? Dans tous les cas, la SEC semble s’en souvenir, elle. Et nous assistons peut-être à un clap de fin pour la personnalité crypto la plus folle et parano de l’écosystème ! Explications.

Un passé sulfureux

John McAfee fait parti de ces inconditionnels de l’écosystème. Tout le monde l’a au moins vu une fois, que ce soit pour son concept “Coin of the Week”, ou ses ICO en tant que conseiller, ou encore la création de ses cryptomonnaies douteuses d’un point de vue plagiat (comme Ghost).

Ce personnage clivant a su faire fortune dans cet écosystème, jouant de sa popularité pour soutirer de jolies sommes à des projets en quête de visibilité.

Le problème avec cela, c’est la transparence de ces opérations. En effet, vous n’êtes pas sans savoir qu’il est interdit de faire de la publicité dissimulée aux Etats-Unis (et en France aussi au passage, bien que ce soit parfois “oublié”).

La SEC se paie un voyage en Espagne

La SEC en a eu marre de voir John McAfee agir ainsi au nez et à la barbe de l’Oncle Sam. Elle a donc fait de l’arrestation du sulfureux personnage une priorité, et c’est désormais chose faite !

En effet, l’information est récemment tombée : John McAfee a été arrêté en Espagne et est désormais en procédure d’extradition vers les Etats-Unis.

Coup dur pour ce dernier, surtout que les peines encourues sont assez conséquentes… En effet, il pourrait encourir jusqu’à 30 ans de prison !

Parmi les chefs d’accusation de la SEC envers John McAfee, ce sont notamment les 23.1 millions de $ gagnés grâce aux ICOs qui ne passent pas.

John McAfee communique souvent sur le fait que jamais on ne pourra le faire taire. C’est peut-être vrai. Néanmoins, s’il finit derrière les barreaux, il ne restera que ses camarades de cellule pour l’entendre parler de son shitcoin préféré ! Pour rappel, la SEC n’en est pas à son coup d’essai, puisque d’autres célébrités comme DJ Khaled ou Floyd Mayweather avaient déjà eu des problèmes avec cette administration. Au final, peut-être que tout cela apportera un peu plus de transparence et d’honnêteté dans cet écosystème qui, parfois, en manque cruellement !

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L’adoption des cryptomonnaies et de Bitcoin (BTC) dans le monde peut être appréciée en tenant compte du nombre de personnes détenant des actifs cryptographiques. Cet exercice a d’ailleurs été récemment réalisé par les chercheurs du Cambridge Centre for Alternative Finance. Ces derniers ont révélé que 100 millions de personnes dans le monde détiennent actuellement du Bitcoin  et d’autres actifs basés sur des blockchains. Un chiffre symbolique qui prouve une fois de plus la domination croissante de la cryptomonnaie au plan mondial.

Une augmentation de 189% par rapport à 2018

Une précédente étude comparative mondiale estimait à 35 millions le nombre d’utilisateurs de cryptomonnaies en 2018. Par rapport aux 100 millions d’utilisateurs estimés par la présente étude du Cambridge Centre for Alternative Finance cela représente une augmentation de 189%. Rien que sur le troisième trimestre de cette année, il y a eu jusqu’à 191 millions de nouveaux comptes ouverts dans les exchanges. Des chiffres impressionnants qui ne prennent même pas en compte le nombre de portefeuilles qui sont auto hébergés.

Pour expliquer cette augmentation significative, les chercheurs avancent deux principales raisons.  Il s’agit tout d’abord de l’augmentation de 37% du nombre de comptes suivi du « fait qu’une plus grande part des comptes est systématiquement liée à l’identité d’un individu ». Les chercheurs affirment d’ailleurs que c’est ce qui leur a permis « d’augmenter l’estimation du nombre minimum d’utilisateurs associés aux comptes chez chaque fournisseur de services ».

Une méthodologie basée sur la géolocalisation des utilisateurs

Cette approche fut utilisée en raison de l’activité des comptes détenus auprès des exchanges qui varie d’une région à une autre. En effet, les plus grandes activités sont signalées en Amérique du Nord et en Europe avec 40 % du total des utilisateurs considérés comme actifs selon les chercheurs. On tombe ensuite à des taux de 16% et 10% pour les exchanges et les autres structures crytpos basées respectivement en Amérique latine et dans les pays de l’APAC.

Les chercheurs ont également pris en compte des données publiques et des enquêtes, en utilisant une combinaison de données d’utilisateurs vérifiées. Tout en admettant l’existence de limite à la méthodologie utilisée, les chercheurs ont quand même attesté de la fiabilité de l’estimation qu’ils ont faite du nombre total de détenteurs de comptes de cryptomonnaies dans le monde.

Les conclusions de la présente étude prouvent que l’usage des cryptomonnaies à travers le monde a franchi un nouveau palier. Il serait néanmoins beaucoup plus pertinent de se pencher sur la part réellement occupée par les cryptomonnaies dans les échanges effectués au quotidien par ses utilisateurs.

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L’année 2020 a marqué un tournant dans la perception du Bitcoin (BTC). Des grosses compagnies font du Bitcoin leur actif de réserve, et de plus en plus d’investisseurs institutionnels optent pour le Bitcoin pour se prémunir de la grande inflation monétaire que nous subissons. Dans les années à venir, la situation va s’accélérer car le Bitcoin deviendra le standard pour les membres des Générations Z et Alpha. Dans cet article, je vous propose de découvrir 3 raisons majeures qui soutiennent cette idée.

Préambule

Depuis le lancement officiel du Bitcoin le 3 Janvier 2009, l’adoption avance à son rythme bloc après bloc. A certains moments, l’adoption du Bitcoin s’accélère. A d’autres, elle se ralentit et continue à progresser lentement mais sûrement.

L’année 2020 est définitivement un moment spécial où l’adoption du Bitcoin s’accélère fortement.

Avec l’année que nous vivons actuellement, tout le monde s’est rendu compte de l’incertitude totale du monde dans lequel nous vivons. Ainsi, nul ne peut dire si l’année 2021 continuera à voir l’adoption du Bitcoin s’accélérer de plus en plus rapidement.

Les événements actuels, avec MicroStrategy qui fait du Bitcoin son actif principal de trésorerie à hauteur de 425 millions de dollars, me laissent penser que la courbe de progression ne s’infléchira pas. Néanmoins, restons prudents. 

Quoi qu’il en soit, s’il demeure des incertitudes à court terme, il semble en revanche évident que le Bitcoin sera de plus en plus adopté dans les 10, 20, ou 30 ans à venir. Vous devez vous demander ce qui me rend aussi sûr de moi pour vous affirmer cela.

C’est la démographie qui me pousse à être aussi confiant dans l’explosion de l’adoption du Bitcoin dans les années à venir.

Alors que les Millennials arrivent petit à petit au pouvoir, c’est la Génération Z qui pointe déjà le bout de son nez derrière. Et après cette Génération Z, nous aurons à faire à l’émergence de la génération suivante : la Génération Alpha. Pour les membres des Générations Z et Alpha, le Bitcoin sera le standard par rapport au système bancaire actuel.

A cela, je vois au moins trois grandes raisons que je vais vous détailler dans la suite de cet article.

1. Bitcoin est digital et simple d’utilisation

Les membres de la Génération Z sont pratiquement nés avec un smartphone dans leurs mains. Ceux de la Génération Alpha naîtront directement avec un smartphone dans leurs mains au rythme où vont les choses.

Les membres des générations futures seront des utilisateurs voraces de smartphones.

Ils voudront pouvoir tout faire via leurs smartphones. Cela inclut donc le fait de pouvoir gérer leur argent sans avoir besoin d’échanger avec des humains. Le système bancaire actuel leur paraît bien trop compliqué.

Pour créer un compte bancaire, vous devez actuellement remplir tout un tas de formalités administratives :

• Faire une photo d’identité.
• Donner des informations sur votre vie, et celle de vos parents.
• Faire un dépôt initial afin de pouvoir ouvrir votre compte bancaire.
• Prouver votre adresse avec des factures.
• Donner votre numéro de sécurité sociale afin que les services fiscaux puissent mieux surveiller vos activités si nécessaire.

Toutes ces démarches pouvaient paraître normales aux Baby Boomers et aux membres de la Génération X.

Pour les Millennials, c’est devenu pénible, et beaucoup essaient de migrer vers des solutions avec beaucoup moins de formalités administratives. Les membres de la Génération Z et de la Génération Alpha préfèreront opter pour des systèmes sans aucune formalité administrative tels que le Bitcoin.

Le Bitcoin se pose là en solution pour ces générations qui prendront le pouvoir dans le futur.

Pour accéder au réseau Bitcoin, vous n’avez besoin que d’un smartphone, d’une connexion Internet, et de télécharger une application qui vous servira de Wallet.

Le 16 Septembre 2020, la plateforme d’échanges Kraken a reçu l’autorisation de devenir la première crypto banque des Etats-Unis. Cette nouvelle peut vous paraître sans importance, mais elle rentre parfaitement dans ce qui attirera les générations futures.

Kraken va pouvoir définir ce que sera la banque du futur en plaçant en son centre le Bitcoin. Une simplicité d’utilisation sera attendue pour les utilisateurs, mais également la possibilité de pouvoir gérer ses revenus en dollar Américain ou en Bitcoin au sein d’un même compte bancaire.

Les possibilités sont immenses pour Kraken, et ce type de crypto banque pourrait séduire les membres des générations futures. Pourquoi pas imaginer également des prêts en Bitcoin pour acheter un bien immobilier ?

Le tout de manière simplifiée sans nécessité de remplir des tonnes de formalités administratives. Cela a de quoi faire rêver, mais avec un monde où tout devient digital, c’est ce vers quoi nous allons tendre à mon sens.

2. Bitcoin est disponible tout le temps

Vous savez ce que disent les “vieux” des plus jeunes : 

“Ils sont toujours pressés. Les jeunes ne savent pas attendre. La patience est une qualité qui s’est totalement perdue.”

Je pense qu’ils ont totalement raison.

Les jeunes n’ont pas de patience, car ils sont habitués à ce que tout marche très vite. Ils n’ont pas connu les balbutiements d’Internet lorsqu’il fallait attendre plusieurs heures pour télécharger un MP3 sur Napster.

Ils n’ont pas jamais vu une page s’afficher petit à petit de haut en bas à mesure que les images se téléchargeaient.

Pour les membres de la Génération Z, tout doit être instantané. La 5G les confortera dans ce mode de pensée. De fait, lorsqu’ils souhaitent faire un virement bancaire à l’autre bout du monde, ils comprennent mal qu’ils doivent attendre de 2 à 5 jours avec le système interbancaire de paiement SWIFT.

Pire encore, les banques sont fermées le week-end. Vous ne pouvez pas envoyer de l’argent un dimanche à 11h du matin à un ami dans le besoin qui se trouve à l’autre bout du monde. Vous devrez attendre les heures d’ouverture de votre agence bancaire si le montant est trop élevé, ou bien attendre que votre banque fasse l’envoi via le système interbancaire de paiement SWIFT.

Le système bancaire actuel me paraît déjà anachronique. Et pourtant, je suis un Millennial.

Alors imaginez ce que pensent les membres de la Génération Z !

Ils n’accepteront jamais cela, et vont donc encore une fois aller vers des systèmes disponibles tout le temps. Le Bitcoin se posera ici en solution pour les Générations Z et Alpha puisque son réseau fonctionne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et 365 jours par an.

Depuis la création du Bitcoin, son réseau affiche un uptime de 99.985%.

Le Bitcoin vous permet d’envoyer de l’argent à l’autre bout du monde à tout moment en quelques minutes. C’est ce niveau de disponibilité que les membres des Générations Z et Alpha rechercheront dans le futur avec le Bitcoin.

Les banques ne pourront pas s’adapter à ce que propose le Bitcoin. En revanche, un crypto banque comme celle que va créer Kraken pourra faire une différence à ce niveau-là.

3. Bitcoin donne la liberté à ses utilisateurs

Avec le système bancaire actuel, vous n’êtes pas libre. L’argent disponible sur votre compte bancaire peut être confisqué à tout moment par les banques ou les gouvernements.

Le dollar Américain, ou n’importe quelle monnaie fiat, ne vous appartiennent pas réellement.

Lorsque vous souhaitez transférer de l’argent durement gagné en travaillant, vous devez vous justifier. Si vous souhaitez envoyer $50,000 à votre frère situé au Japon, vous allez devoir répondre à des questions qui vous seront posées par votre banque.

Pourtant, vous ne faites rien de mal. C’est votre argent que vous souhaitez utiliser.

Vous aimeriez pouvoir bénéficier de votre droit à la vie privée. Vos banques ne l’entendent pas ainsi. Elles vous diront qu’elles ont le droit de vous poser toutes les questions de leur choix, car ce sont elles qui font les règles du jeu. Si vous n’êtes pas content, ces banques pourront vous mettre dehors.

Ce droit à la censure des banques ne sera jamais accepté par les membres de la Génération Z et de la Génération Alpha.

Ces personnes veulent avoir le droit de vivre leur vie comme elles l’entendent. Là encore, elles décideront naturellement d’opter pour le système le plus protecteur de ses utilisateurs. Ce système est le Bitcoin qui n’a aucun leader et appartient à tous ses utilisateurs.

Dès lors que vous possédez les clés privées associées à vos Bitcoins, vous avez une liberté totale. Vous pouvez mener votre vie suivant vos propres termes.

Enfin, la Génération Z est déjà bien consciente des défauts du système monétaire et financier actuel. Ses membres comprennent que les générations passées ont abusé de ce système et que ce devrait être à eux de payer les pots cassés.

Elles refuseront de faire cela, car elles veulent de la justice. Les générations Z et Alpha voudront avoir leurs chances d’épargner leur argent sans risquer de voir sa valeur diminuer inéluctablement au fil du temps.

Après avoir compris que la valeur du dollar Américain ne cesse de diminuer depuis 1971, toutes ces personnes basculeront naturellement vers le Bitcoin qui leur donnera la liberté d’opter pour le temps long.

Le Bitcoin est un système digital appartenant à tous ses utilisateurs avec des attributs monétaires uniques. Tout ceci en fait le meilleur choix pour des générations futures qui n’auront qu’une seule envie : vivre leur vie comme elles le souhaitent en bénéficiant des mêmes chances que les Baby Boomers ont pu avoir. Le Bitcoin leur donnera la possibilité d’épargner leur argent tout en résistant à tout type de censure. En répondant aux besoins des Générations Z et Alpha, le Bitcoin verra tout naturellement son adoption augmenter fortement dans les années à venir. Le succès du Bitcoin auprès du plus grand nombre n’est qu’une question de temps.

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La DeFi explose mais, elle est encore fragile ; les pratiques « sauvages » de clonage d’un modèle de réussite comme Uniswap (UNI) pourrait mener le secteur à son effondrement. A Bitcoin (BTC) d’en profiter ? Les Sushi de SushiSwap sont-ils en train de se putréfier ? Les succès du début sont en train de faire place à une chute qui pourrait très bien se conclure par un naufrage.

Rien ne vaut l’original ?

Et le vainqueur est Uniswap : avis aux amateurs qui tenteraient comme le Chef Nomi et son SushiSwap de cloner la plateforme.

Les statistiques de Flipside Crypto indiquent qu’Uniswap aurait bénéficié d’un nouvel afflux de liquidités un mois après le lancement de SushiSwap.

Chef Nomi avait conçu SushiSwap avec une structure de rémunération basée sur le token Sushi : les utilisateurs qui migraient sur la plateforme et apportaient des liquidités, recevaient des Sushis en récompense.

Au 9 Septembre 2020, SushiSwap disposait d’une Total Value Locked (TVL) de 800 millions de dollars, laissant Uniswap avec une TVL de 400 millions de dollars.

Mais la trajectoire ascendante de SushiSwap s’est inversée après une succession d’évènements qui ont terni sa réputation.

Sa stratégie de lancement avait été critiquée dès le départ, la plateforme a perdu la confiance des investisseurs à la suite de la liquidation de Sushis d’une valeur de 14 millions de dollars par Chef Nomi.

UNI unit Uniswap et SushiSwap

Entre temps, Uniswap a créé son propre token, l’UNI, qui s’est avéré être un succès. Selon Flipside Crypto, la majorité des acquéreurs des tokens UNI sont de nouveaux utilisateurs et, une partie des fonds additionnels proviendrait des pools de liquidités de SushiSwap.

Les promesses de SushiSwap avaient convaincu initialement les utilisateurs, ce qui n’est plus le cas : la reprise par FTX exchange semble n’avoir aucun impact sur les volumes de la plateforme.

Depuis le lancement d’UNI, la TVL d’Uniswap est passée de 786 millions de dollars à 2,09 milliards de dollars, tandis que celle de SushiSwap vient de tomber à 402 millions de dollars.

JIAOZI prochain X20 de la DeFi ou Crypto-ravioli avarié ? Son sort pourrait également être fixé dans les prochaines semaines ou dans les prochains mois. L’effondrement de SushiSwap pourrait créer un précédent nuisible aux autres clones. La plateforme peut-elle encore compter sur une communauté de fans ? Espérons que Chef Nomi n’ait pas mis du fugu dans ses plats : vu sa préparation ratée, ceux qui l’ont ingurgité devront bientôt dire adieu… à leur investissement.

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Les wrapped Bitcoins (wBTC) représentent-ils l’avenir de Bitcoin (BTC) à la mode DeFi ? La valeur des wBTC a franchi récemment la barre du milliard de dollars.

Chainlink (LINK) apporte sa contribution au développement des wBTC, en mettant à son service son mécanisme de Proof-of-Reserve.

Un audit on-chain pour les wBTC

Le fournisseur de services digitaux, BitGo, a annoncé le 1er Octobre que le mécanisme de Proof-of-Reserve de Chainlink est désormais intégré à sa plateforme afin d’améliorer la transparence de la gestion des actifs tokénisés.

Cette fonctionnalité permet aux applications basées sur Ethereum (ETH) d’automatiser le processus d’audit des wBTC sans recourir aux services d’une entité extérieure off-chain.

Le processus sera donc standardisé, effectué sans intermédiaire de confiance et sans risque d’être censuré.

Pour BitGo, il s’agit de renforcer la crédibilité et la sécurité de l’actif tokénisé de Bitcoin. Pour vérifier les soldes des portefeuilles BitGo, un contrat accèdera à un oracle Chainlink décentralisé toutes les 10 minutes, ce qui correspond au temps moyen de création d’un bloc.

Eviter un 2008 bis grâce à la Proof-of-Reserve

Le co-fondateur de Chainlink, Sergey Nazarov, indiquait à Forbes que le concept de Proof-of-Reserve permet d’apporter la preuve de la condition d’un actif sous-jacent, ce qui est fondamental pour le bon fonctionnement des systèmes financiers.

Nazarov a pris l’exemple de la crise financière de 2008 pour illustrer ses propos : cette crise a parfaitement démontré la divergence entre la valeur réelle d’un actif et la situation du marché.

La collaboration entre Chainlink et BitGo survient au moment où près de 125 300 Bitcoins sont tokénisés sur le réseau Ethereum : au cours actuel, ces BTC seraient évalués à 1,33 milliards de dollars.

Les wBTC représentent la majorité de ces actifs, avec une proportion de 76%. L’intérêt des détenteurs de Bitcoins est sans doute lié au développement des protocoles DeFi, en particulier ceux qui permettent de placer leurs fonds pour être rémunérés en intérêts.

Bitcoin + Ethereum : les wBTC ont un potentiel énorme, le tout étant plus grand que la somme de toutes ses parties. Ethereum fait partie des Baleines BTC – loin devant Lightning Network –  Bitcoin pourrait donc profiter de la réussite d’Ethereum 2.0 – en espérant que les experts DeFi pessimistes se trompent au sujet de ce dernier. La DeFi est un héritage de Bitcoin – sans qui on n’aurait pas de blockchain. A elle maintenant de soutenir l’explosion du cours de la doyenne des cryptos, une manière de lui renvoyer l’ascenseur.

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La volatilité boude encore les marchés ; Bitcoin (BTC) n’a pas tellement bougé aujourd’hui, 6 octobre 2020. C’est mal parti pour un BTC à 20 000 USD d’ici la fin de l’année, les vents ne sont pas favorables à la doyenne des cryptos.

Binance fait barrage à Bitcoin

Selon l’analyste on-chain Cole Garner, l’ascension de Bitcoin serait confrontée à un plafond de 2 800 BTC – soit environ 30 millions de dollars – qui attendent d’être vendus sur Binance (BNB).

Bien qu’un recul ne soit pas forcément imminent, le BTC aura du mal à repartir à la hausse et à dépasser les 11 000 USD.

Sur le très court terme, Bitcoin devrait rester confiner entre les supports et les résistances clés de 10 500 USD – 11 000 USD. Durant les 2 dernières années, Bitcoin a enregistré un 4ème trimestre négatif.

La fin de l’année s’annonce difficile pour la doyenne des cryptos dont le prix est également menacé par l’élection présidentielle US controversée, une éventuelle seconde vague de la COVID-19 pouvant provoquer une paralysie même partielle de l’économie et, un éventuel krach des marchés financiers traditionnels.

Pour le moment, le BTC est dans une zone neutre sur une base journalière et, est bullish sur une période hebdomadaire et mensuelle.

Les taureaux ont pu défendre les 10 500 USD suite à l’annonce de la CFTC sur les poursuites contre BitMEX ; Bitcoin a même absorbé la moitié des pertes lors de cette chute et se négocie à 10 728 USD au moment où nous rédigeons cet article.

Une perfusion de Bitcoins sur les marchés

Cole Garner a également fait remarquer dans une série de tweets d’hier, 5 octobre 2020, que le nombre d’adresses BTC a augmenté considérablement la semaine dernière.

Les données de Glassnode font état de 22 000 nouvelles adresses BTC en un seul jour. Habituellement, ce nombre se situe dans une fourchette de 5 000 – 10 000.

L’augmentation du nombre de ces nouvelles adresses indique un accroissement de l’adoption de Bitcoin, ce qui est fondamental pour soutenir la hausse du prix du BTC.

Les données historiques auront-elles raison de Bitcoin ? Ce dernier enregistrera-t-il un autre 4ème trimestre négatif ? Il faudrait peut-être oublier les 20 000 USD et se demander si Bitcoin se négociera toujours au-dessus des 10 000 USD le 1er janvier 2021. On attend toujours ce fameux levier à l’origine d’une hausse exponentielle. Pour le moment, les 20 000 USD et les 100 000 USD semblent être des prévisions exponentiellement exagérées.

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